Vendredi 6 novembre 5 06 /11 /Nov 06:00

Sur le damier noir et blanc, impeccablement ciré, du hall d’entrée de Glendale House, on entend résonner les talons hauts de Lady Alexandra. Celle-ci s’apprête à se rendre à un cocktail chez ses amis, Lord Winston et Lady Camilla Harmsworth. Pour l’occasion, elle a revêtu son tailleur noir préféré, dont la sobriété et l’élégance mettent en valeur la perfection de sa silhouette. Un sourire éclaire son visage tandis qu’elle contemple les reflets ambrés de ses cheveux blonds dans le miroir, au-dessus d’une console italien ne de bois doré, encadrée par deux splendides potiches de la Compagnie des Indes.

Elle se sent au mieux de sa forme. Superbe. La plus belle parure d’une femme, c’est le désir qu’elle inspire. Sa jupe, courte mais sans excès, fait ressortir le galbe de ses jambes, tandis que les pans de sa veste, suspendus au-dessus de sa taille pour en souligner la finesse, se croisent avec naturel sur sa poitrine dénudée. La doublure d’organza est là pour tout montrer sans rien laisser voir. La promesse d’un décolleté généreux, ferme, triomphant. C’est le style qu’elle affectionne, à la fois strict sans être austère, provoquant dans la limite du convenable, classique mais original, attirant sans tomber dans la vulgarité. Une broche, figurant un grand nœud double en cristal, épanoui autour d’une pierre centrale à laquelle est reliée une pendeloque en poire, égaye l’ensemble.

- Dépêchons-nous, Béatrice, la voiture est prête ?

- James est prévenu, Madame, il ne devrait pas tarder à arriver. [Au même moment, on entend les pneus de la Bentley crisser sur le gravier, au pied du perron]

- A ce soir, Béatrice, tu n’oublieras pas de préparer ma chambre pour mon retour.

- Non, Madame. [Le chauffeur ouvre la portière, sa casquette à la main. Lady Alexandra s’installe. La soubrette, en haut des marches, et George, légèrement en retrait sur le se uil, regardent la limousine s’éloigner lentement vers la grille du parc.]

Sans perdre un seul instant de liberté, Béatrice fait demi-tour, gravit prestement les degrés de l’escalier qui conduit au premier étage, et s’enferme dans la salle de bains de Lady Alexandra. C’est la pièce qu’elle préfère. Elle peut y partager l’intimité de sa maîtresse, dans une atmosphère feutrée, propice au silence et à l’apaisement. Les couleurs pastel des murs et des tissus enveloppent la pièce d’une lumière tamisée.

Il y flotte un parfum gourmand et sensuel, une fragrance entêtante qui marie la tubéreuse et l’héliotrope. Partout, sur des étagères, dans un ordre impeccable, sont rangés des flacons de toutes les tailles et de toutes les couleurs, des pots remplis de pinceaux, de brosses et de peignes, des tubes de fond de teint, des eaux de toilette, des ombres à paupières, des eye-liners, des crayons à œil et à sourcils, des bâton s de mascara et de rouge à lèvres, des nuanciers de poudres, des vernis à ongles, des toniques hydratants, des laits corporels, des lotions démaquillantes, des masques « coup d’éclat », des défatigants éclairs contour des yeux, des nettoyants moussants doux, des sublimateurs de teint, des baumes embellisseurs...

Plongée dans l’univers secret de la beauté et de la femme, Béatrice s’installe devant le miroir serti d’une double rangée d’ampoules, semblable à celui d’une loge de théâtre. Un mince bandeau élastique rose tire ses cheveux en arrière. Elle observe son visage. Face. Profil. Trois quarts. Les expressions de sa maîtresse lui reviennent à la mémoire. Elle prend un plaisir évident à imiter ses gestes, et plisse les yeux comme elle pour ne distinguer, entre ses cils, qu’ombres et lumières.

- [Dialoguant avec elle-même] Reste calme, Béatrice, Madame ne va pas revenir de sitôt ! Alors ne brûle pas les étapes, prends ton temps et tâche de te rappeler comment elle s’y prend. D’abord, le visage. Elle le nettoie, avant d’appliquer un fond de teint fluide et fondant au moyen d’une éponge souple. Va bien jusqu’à la racine des cheveux. Profites-en pour couvrir l’esquisse d’un cerne, une petite rougeur sur l’aile du nez, un pli infime à la commissure des lèvres. N’oublie pas le cou. Maintenant, passe un léger voile de poudre avec la houppette afin de donner à la peau un aspect mat et satiné.

Son visage se tend sous l’illumination. Béatrice se sourit. Son visage et son corps sont ses meilleurs atouts, le seul capital sur lequel elle peut compter.

- Ensuite les yeux. Ess entiel, les yeux. Tu as la chance de les avoir bleus. Il faut que l’harmonie des couleurs de l’ensemble du maquillage s’appuie sur cette dominante et que tu choisisses, pour la mettre en valeur, une ombre à paupières de la même teinte ou d’un ton complémentaire.

La domestique examine attentivement plusieurs nuances, les compare entre elles, hésite, et se lance. Elle recouvre sa paupière supérieure d’ombre blanc irisé puis, avec un pinceauB10 08 Fard plus fin, elle dépose du bleu très pâle en halo. Tandis qu’elle s’applique à souligner ses cils d’un trait d’eye-liner, la porte de la salle de bains s’ouvre brusquement. Blandine apparaît, son plumeau à la main, interloquée.

- Mais qu’est-ce que tu fabriques ici ?

- Occupe-toi donc de tes affaires et va-t-en !

- Tu peux compter sur moi pour le dire à Madame quand elle rentrera !

- Dénoncer les autres, c’est tout ce que tu sais faire, tu ne penses qu’à ça pour te faire bien voir !

- Et toi, à jouer les midinettes en tortillant du derrière !

- Je te préviens, Blandine, si tu en parles à Madame, je n’hésiterai pas une seconde à lui dire à quoi tu passes ton temps dans la grange avec Edward, le garçon de ferme !

Blandine hausse les épaules, excédée, les yeux au ciel, et repart en claquant la porte rageusement. Béatrice sourit, pousse un profond soupir et approche son visage du miroir pour allonger ses cils avec un mascara bleu. B10 09 blue eye

- Où en étais-je ? Ah oui, maintenant, les joues. Super important aussi les joues ! Mais avec mon visage un peu rond, il vaut mieux que j’applique un ton de blush plus soutenu dans le creux des pommettes. Légèrement rougissante, pas trop, comme une enfant prise en faute, les hommes adorent !

La soubrette imagine la scène, se compB10 10 Poudrier2ose une mine ingénue, baisse les yeux docilement, puis les relève en feignant d’adopter un air coupable.

- C’est parfait, Il faut que je m’entraîne à rougir sur commande et à garder les cils fermés sur les paupières. J’ai bientôt terminé, il me reste la bouche.

Elle agrandit celle-ci en redessinant ses lèvres avec un crayon violet, puis leur donne du volume en appliquant le plus clair des rouges à lèvres au milieu et le plus foncé sur les côtés. Un soupçon de gloss vernit le tout, comme une pellicule de sucre candi autour d’une pomme d’amour.

- Sourire aux hommes, attirer leurs regards sur ma bouche, les laisser fantasmer sur ce coquillage nacré, entrouvert sur un abîme de sensualité. Voilà, j’ai fini. Si j’osais, je me vernirais aussi les ongles. Oh, et puis non, dans mon emploi, il vaut mieux que je reste classique : un teint invisible, des cils fournis et détachés, une bouche impeccable. Je crois que ça plairait à Madame, si je pouvais lui montrer. B10 11 Contour des lèvres

Tout à ses pensées, et alors qu’elle continue à s’admirer dans la glace, Béatrice entend du bruit, de l’autre côté de la cloison, dans la chambre de sa maîtresse.

- Blandine, je vais finir par m’énerver, je t’ai déjà dit de me laisser tranquille !

La porte s’ouvre brutalement. A la place de Blandine, c’est Lady Alexandra qui fait irruption dans la salle de bains. Terrorisée, la soubrette se lève précipitamment.

- Mais Madame, vous êtes déjà revenue ? Je croyais que vous deviez rentrer beaucoup plus tard !

- Eh bien, il ne faut pas croire tout ce que je dis, petite sotte, j’aime beaucoup réserver des surprises à mes domestiques, et puis j’étais sûre que tu allais faire des bêtises dans mon dos ! Est-ce que j’avais tort ?

- Je n’ai rien fait de mal, Madame. B10 12 Lipstick

- Tais-toi, insolente, approche-toi, non mais tu as vu comment tu t’es grimée ? Tu te crois au cirque ? [Intérieurement : si c’est son premier essai, elle est plutôt douée, cette petite !] Aurais-tu oublié que je t’ai strictement interdit de te maquiller ? Mets-toi immédiatement au coin, à genoux, les mains sur la tête.

Attirée par les éclats de voix, Blandine, radieuse, s’empresse de se mêler à la conversation.

- C’est bien fait pour toi, Béatrice, tu ne l’as pas volé ! Je t’avais prévenue ? Et en plus, je n’ai même pas eu besoin de t’accuser !

- [Lady Alexandra] George, mais où est-il encore passé celui-là ?

- [Cauteleux] Madame m’a appelé ?

- Oui, George, vous allez dresser le chevalet dans le petit salon et m’apporter mon martinet, nous vous rejoignons dans quelques minutes.

- Tout de suite, Madame. Le petit martinet à manche jaune ou celui à longues lanières ?

- Les deux.

- Bien, Madame. Madame souhaite-t-elle que la correction soit donnée en présence des autres domestiques ?

- Naturellement, George, convoquez le personnel au grand complet et dépêchez-vous !

 

Par Béatrice - Publié dans : Féminisation - Communauté : Le sexe sans tabous
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Dimanche 6 décembre 7 06 /12 /Déc 06:00

11 01Béatrice est à genoux dans un coin du petit salon. Lady Alexandra l'a mis en pénitence pendant une bonne heure, le visage tourné contre le mur, les mains sur la tête, le bas de sa jupe relevé très haut dans son dos. Les marques rouges du martinet sont encore nettement visibles sur ses fesses.

- Béatrice ?

- Oui, Madame.

- Je t’autorise à te relever.

- Merci, Madame.

- Ne t’en va pas, reste là, j’ai encore besoin de toi. Pour les travaux domestiques, ton niveau est à peine passable, mais pour le reste, j’ai l’impression qu’il est encore pire ! Tu ne connais pas encore grand chose à la vie, n’est-ce pas, petite oie blanche ?

- Oh si, Madame.

- Comment ça ?

- Madame m’a déjà montré comment masturber un homme.

- Ah oui, c’est vrai, j’avais oublié, je pouvais difficilement faire moins ! Disons que c’est un début et qu’il fallait bien commencer par quelque chose mais cela11 02 reste encore très insuffisant !

- J’ai mis vos leçons en pratique, Madame.

- Qu’est-ce que tu veux dire par là ?

- Je n’ai pas encore eu l’occasion d’aborder le sujet avec Madame, mais depuis que Madame m’a appris, je m’entraîne régulièrement pour ne pas perdre la main, si j’ose dire, ou si Madame préfère, pour être tout à fait prête, le moment venu, quand Madame me le demandera.

11 03- Mais je t’interdis de « t’entraîner », comme tu dis, petite débauchée ! Et avec qui « t’entraînes-tu » ?

- Avec William, votre neveu, Madame. A chaque fois, j’y mets tout mon cœur. De son côté, ça a l’air de lui plaire, il est toujours volontaire. Sans vouloir me vanter, Madame, je crois que par rapport à mes débuts, j’ai fait beaucoup de progrès.

- Celui-là, il ne perd rien pour attendre, je vais lui dire deux mots. Va le chercher immédiatement ! Oh, et puis non, reste là, je verrai plus tard.  

- Madame n’a pas l’air contente ! Pourtant je fais ça uniquement pour faire plaisir à Madame et pour essayer d’atteindre la perfection.

- Tais-toi, Béatrice, ou je te colle une deuxième fessée ! Sous tes faux airs de sainte nitouche, tu n’es qu’une dévergondée et une hypocrite ! [Intérieurement, c’est parfait, je ne pouvais pas trouver mieux, c’est comme ça que je les aime] Eh bien, puisque tu as le diable au corps, tu vas être servie, attends un peu ! George ? Mais où est-il encore passé celui-là ?

- [A moitié dissimulé derrière un rideau et s’avançant derrière elle, tel un11 04 fantôme] Madame m’a appelé ?

- George, dites à Andrew de venir me voir tout de suite, je l’attends.

- Bien Madame.

Au bout de quelques minutes, une silhouette imposante et musclée apparaît dans l’encadrement de la porte. Le jardinier, intrigué, a eu tout juste le temps d’enfiler une tenue convenable, après s’être lavé les mains à la hâte et avoir aspergé d’eau ses cheveux ébouriffés pour tenter de fixer ses épis.

11 05- Béatrice, je te présente Andrew, notre jardinier. C’est un Écossais solide et travailleur. Il a toute ma confiance. Les Écossais ne déçoivent jamais.

- Si je peux me permettre, Madame, nous nous connaissons déjà.

- Comment ça, tu ne vas pas me dire que tu t’es déjà « entraînée » aussi avec Andrew ?

- [Ce dernier, gêné] Béatrice veut simplement dire que nous nous sommes déjà croisés dans le salon un jour où je m’y trouvais pour arranger des bouquets.

- Ah bon, c’est possible, je ne m’en souviens plus. Approchez-vous, Andrew, voilà, c’est ça, restez debout près de moi. Et puis retirez donc votre veste, vous serez plus à l’aise. Toi, Béatrice, mets-toi à genoux devant lui, je suis curieuse d’observer les résultats de ton entraînement.

Excitée à l’idée de montrer son savoir-faire et de se sentir à nouveau soumise aux pieds d’un homme, la soubrette se met à caresser lentement l’entrejambe d’Andrew et accentue progressivement la pression sur le renflement qui commence à se former. Elle s’est arrêtée de respirer pour se donner l’air rougissante et fautive. Juste au-dessus d’elle, Andrew observe son décolleté11 06 plongeant et ses cils sagement recourbés sur ses paupières, comme ceux, endormis, d’une poupée de porcelaine.

Elle minaude en descendant la fermeture éclair du pantalon. Hésite quelques instants comme pour faire croire qu’elle tente de résister à la tentation. Le jardinier l’encourage en lui caressant les cheveux et le lobe de l’oreille. Ses doigts suivent très lentement les contours de sa bouche, s’insinuent entre ses lèvres, lui suggèrent de se livrer à un divertissement dont elle prétend ignorer encore les règles. Ce qui n’était jusque-là qu’un exercice, 11 07qu’une leçon apprise et répétée, se transforme insensiblement en une pulsion incontrôlable.

Lady Alexandra observe la scène avec ravissement. Sa soubrette plonge la main dans l’ouverture, palpe à travers le tissu la protubérance qui a démesurément grossi, fait glisser le vêtement vers le bas d’un geste résolu, et ne peut contenir sa surprise devant ce qu’elle découvre : un sexe long, épais, turgescent, doté d’un gland énorme dont la pointe évasée fait saillie sous la peau, à l’extrémité du pénis, parcouru par une veine écarlate, et tendu comme un canon monté sur des testicules herculéens, palpitants, gonflés comme deux gros kiwis juteux qui achèveraient de mûrir sous les rayons paresseux des tropiques.

- Regardez, Madame, vous vous rendez compte, c’est à peine croyable, je n’avais encore jamais vu un engin pareil !

- Tu n’as pas encore vu grand-chose, Béatrice, et puis ce n’est pas un engin, chez un jardinier, on appelle ça un plantoir. Andrew est 11 08doté d’un plantoir magnifique, c’est pour ça que je l’ai pris à mon service !

- Je peux continuer, Madame ?

- Attends un peu, jusque-là tu as parfaitement assimilé ta leçon. Je dirais même que tu as brûlé les étapes. Mais maintenant, il est temps que je t’apprenne quelque chose de nouveau. Je veux faire de toi une bonne suceuse. La fellation, puisque c’est comme ça que ça s’appelle, est un art difficile. Alors 11 09écoute-moi attentivement, c’est très important pour la suite, parce que ça fera partie de ton service quand je recevrai des invités.

- Bien, Madame.

- Tu vas tirer la peau le plus doucement possible vers l’arrière, comme je te l’ai montré, pour dégager complètement le gland. Très bien, regarde, il est à point.     Pour l’exciter encore plus, tu vas le faire patienter. Avec ta langue, caresse doucement son pénis, lentement, de bas en haut, en te gardant, pour le moment, de toucher à la pointe.

- Comme si j’étais au cinéma et que je léchais un esquimau, Madame ?

- Euh…oui, si tu veux. Prends bien soin au passage de câliner ses testicules, titille-les par-dessous avec le bout de ta langue et continue en aspirant successivement l’un et l’autre entre tes lèvres11 10, comme si tu t’apprêtais à déguster un fruit. N’oublie pas de rester souriante et de lui montrer que toi aussi, tu ressens du plaisir.

- C’est pas difficile, Madame, je me régale ! 

- J’en étais sûre, petite garce ! Gourmande comme tu es, il va falloir que je te surveille. Plus tard, je t’attacherai les bras dans le dos, mais pour le début, il faut que tu te serves à la fois de ta bouche et de ta main et surtout que tu apprennes à synchroniser les deux mouvements. Évite toute bru11 11squerie et reste concentrée. Pendant que tu l’actionnes doucement de haut en bas, ta bouche doit maintenant s’activer en priorité sur le gland, c’est lui qui est le plus sensible.

- Je peux faire semblant de le grignoter, Madame ?

- Surtout pas, malheureuse ! Il ne faut jamais mordre un gland, c’est un principe de base, les dents sont les pires ennemies de la fellation. Ta langue doit au contraire le lécher amoureusement, tâter chaque repli, chaque boursouflure.

- Comme ça, Madame ?

- Oui, c’est bien, continue, suce, ma belle, suce… mais bannis les gestes mécaniques, tu risques de t’en lasser très vite et ton partenaire aussi. Au contraire, sois imaginative, créatrice. En variant les11 12 plaisirs, tu devrais rapidement identifier les caresses auxquelles il est le plus sensible.

- Celles qui le feront monter aux rideaux !

- Oui, comme tu dis, en plus tu gagneras du temps et il t’en sera reconnaissant.  

- Je peux souffler dedans ?

- Pourquoi pas ? C’est à toi de voir, tout est possible à condition que cela lui soit agréable.

- Comme ça, Madame ?

- Non, pas du tout, tu y vas beaucoup trop fort, je ne t’ai pas demandé d’embo11 13ucher une trompette ou de souffler dans un ballon d’alcootest ! Continue, encore plus doucement, c’est mieux, voilà !

- Il a l’air d’apprécier !

- Maintenant, au point où tu en es, ouvre la bouche au maximum et aspire-le tout entier comme si tu étais prête à l’engloutir.

- Argh…..

- Oui, je sais, avec les gros mandrins, c’est plus difficile… mais rien n’est impossible, tu finiras bien par y arriver.

- Umpf….

- Avale-le plus profond… encore… encore… il faut qu’il disparaisse totalement et que tes lèvres arrivent au contact de sa toison.

- Glurp…….

- Le haut-le-cœur est formellement déconseillé, Béatrice. Si exceptionnellement il peut exciter quelques messieurs particulièrement pervers, la plupart du temps il risque d’être11 14 interprété comme un réflexe de dégoût de ta part et donc d’indisposer ton partenaire.

- Je n’ai pas pu m’en empêcher, Madame !

- J’ai bien compris, Béatrice, mais il faut que tu apprennes à maîtriser tes réactions. Au début, tu pourras lui demander de ne pas s’introduire brusquement. Au lieu que ce soit lui qui s’enfonce plus profondément dans ta bouche, tu t’arrangeras pour absorber son pénis de façon continue et progressive. Parallèlement, tu chercheras à reproduire le mê11 15me mouvement de déglutition que celui que tu ferais pour avaler un comprimé un peu trop volumineux. De cette façon, tu arriveras à tes fins tout en surmontant la sensation nauséeuse très désagréable que tu éprouves en ce moment.

- Bien, Madame.

- N’oublie pas que tu es censée lui apporter du plaisir et en éprouver également de ton côté par la même occasion. Voilà, c’est mieux, savoure-le comme ça quelques secondes, fais-le ressortir, puis recommence. Oui, très bien, sans te précipiter, plusieurs fois de suite, continue… encore… mets-le au supplice, tu ne vas pas tarder à le rendre fou. 

Béatrice, les yeux clos, se lance dans l’aventure avec l’ardeur d’une débutante. Rapidement, elle n’entend plus rien et gémit en cadence avec les mouvements d’Andrew. Sa façon de sucer semble modulable à l’infini, aussi bien dans les mouvements de sa tête, le pétrissage de ses doigts, la force de son aspiration, que dans la rapidité des va-et-vi11 16ent de sa langue. Elle sait, devine, choisit, soit de calmer, soit au contraire de stimuler, jusqu’à l’accélération finale, lorsqu’elle sent le plaisir monter, le gland buter au fond de sa gorge encore et encore et libérer enfin sa liqueur blanchâtre en spasmes puissants, dans une ultime poussée.

- [Après avoir laissé un long silence s’installer dans la pièce] Béatrice ?

- [Essoufflée, les joues écarlates et la coiffe de travers] Oui, Madame.

- [La fixant intensément] Je te préviens, à partir d’aujourd’hui, je t’interdis de poursuivre ton « entraînement » sans mon autorisation, c’est compris ?

Sous le pouvoir des yeux verts qui lisent dans ses pensées, la soubrette baisse les siens, troublée. Mais elle les relève aussitôt, comme par provocation et, en se gardant de répondre à sa maîtresse, dévisage à son tour Lady Alexandra, séduite par le regard de défi qu’elle lui lance.

Par Béatrice - Publié dans : Fellation - Communauté : Soumission et appartenance
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Mercredi 6 janvier 3 06 /01 /Jan 06:00

12 01Le temps d’un week-end, Lady Alexandra a la joie d’accueillir à Glendale son amie Marie-Gabrielle, une Française avec laquelle elle suivait les cours de dessin de l’École du Louvre, quand elle était étudiante à Paris. Celle-ci est maintenant styliste dans une grande maison de couture. Très élégante, plutôt snob, elle aurait pu devenir mannequin. Elle en a la silhouette et le maintien, un mélange d’aisance naturelle et de retenue calculée, agrémenté d’une note de fantaisie. On la12 02 sent indiscutablement plus à l’aise dans un cocktail qu’à la campagne.

Maquillée de façon impeccable, les ongles vernis, enveloppée d’un nuage de parfum oriental et sensuel, elle est assise dans le canapé du petit salon, les jambes croisées. Le ton grège de son tailleur met en valeur le hâle de son teint. Son spencer, court et cintré, découvre gracieusement la naissance de ses épaules et de son cou. Il est fermé par un bouton en forme de perroquet, jaune et vert fluo, incongru, placé là à dessein pour attirer le regard et pour le diriger irrésistiblement vers l’échancrure de son décolleté.

Nous sommes en novembre. Les bûches crépitent dans la cheminée. L’odeur suave d’une Senior Service ou d’une Craven A flotte dans la pièce.

Lady Alexandra abandonne quelques instants son invitée pour donner des instructions à sa domestique.

12 03- Tu sais, Béatrice, mon amie va être ravie de te rencontrer. C’est une occasion inespérée d’enrichir ton éducation. Il faut simplement que je t’avertisse, elle adore la compagnie des jolies femmes. A mon avis, tu vas beaucoup lui plaire. Alors attends-toi à ce qu’elle te fasse des avances et à ce qu’elle te demande de te montrer très… attentionnée, si tu vois ce que je veux dire.

- Je vois très bien, Madame, mais je ne vais pas12 04 savoir m’y prendre, un homme serait certainement beaucoup plus à la hauteur.

- Laisse donc les hommes là où ils sont. La plupart d’entre eux n’y connaissent rien. Ils pensent plus à prendre leur plaisir qu’à le donner. Seule une femme peut ressentir ces émotions-là et les partager avec une autre femme.

- Je tâcherai de faire de mon mieux, Madame.

- Je suis persuadée que tu n’auras aucun mal. Et puis, tu n’as pas à discuter, c’est un ordre. N’oublie jamais qu’ici tu es ma domestique, ma bonne à tout faire. A tout faire, tu as entendu ?

- Oui, Madame.

- Et que mes invités, les femmes autant que les hommes, ont tous les droits. Je ne leur refuse jamais rien. Ils peuvent te demander n’importe quoi.

12 05- Bien, Madame.

- De toute façon, si tu t’y prends aussi bien avec elles qu’avec eux, comme je le pressens, je ne vois pas ce que je pourrais t’apprendre. [La maîtresse de maison glisse sa main, par-devant, sous la jupe de sa soubrette] Tu as déjà caressé une autre femme ?

- Euh…oui, Madame, ma meilleure amie, quand j’étais au collège, la nuit, dans le dortoir.12 06

- Eh bien, c’est du propre [La main, invisible, de Lady Alexandra, se fait plus insistante] … et tu trouvais ça agréable, n’est ce pas ?

- Oh oui, Madame.

- C’est bien ce que je pensais, tu n’es qu’une petite vicieuse. Remarque, si tu ne l’avais pas été, je ne t’aurais pas engagée. En attendant, remets tes vêtements en place, ajuste ton tablier, vérifie ta coiffure et rejoins-nous vite.

Quelques instants plus tard, la poitrine en avant, toute pimpante sur ses talons aiguilles, dans sa petite jupette noire Catanzaro qui lui couvre à peine le haut des cuisses, Béatrice se présente sur le seuil du salon. Son « apparition » provoque une interruption subite de la conversation. Marie-Gabrielle repose sa tasse de thé sur la table basse tandis que son visage s’illumine.

-12 07 Bonjour, ma belle, tu ne peux pas savoir combien je suis heureuse de faire ta connaissance, ta maîtresse m’a beaucoup parlé de toi, tu sais.

Au fur et à mesure qu’elle avance, Béatrice, hypnotisée par l’éclat magnétique des prunelles qui la transpercent, éprouve la sensation troublante d’être littéralement déshabillée de la12 08 tête aux pieds.

- Ravissante, tu es ravissante ! Ta maîtresse a bien de la chance, elle ne pouvait pas faire un meilleur choix ! Tourne-toi, il faut que je te voie en entier. Très bien, fais quelques pas devant moi… voilà, parfait. Maintenant, enlève vite ta jupe et ton chemisier !

- Mais… Madame !

- N’aie pas peur, voyons, il ne va rien t’arriver de désagréable, nous sommes entre femmes…

Lady Alexandra, demeurée silencieuse, fait signe à Béatrice d’obéir par un imperceptible froncement des sourcils. Celle-ci se retrouve en soutien-gorge et en petite culotte de coton blanc. Mais contrairement à son attente, la présence de cette femme superbe 12 09assise devant elle est loin de la laisser indifférente. Elle perçoit même un léger malaise. De son côté, Marie-Gabrielle n’a que faire de préliminaires inutiles. Elle écarte la culotte de la soubrette par-devant et introduit un premier doigt, puis un deuxième, à l’intérieur de son sexe. Le rouge monte aux joues de la jeune fille. Sous12 10 l’emprise de la honte, elle tente de serrer les cuisses de façon à faire obstacle à ce geste inconvenant, mais on l’en empêche.

- Veux-tu bien écarter les jambes et te laisser faire !

Les caresses se prolongent, interminables. Marie-Gabrielle lutine avec délectation les petites lèvres tendres de la domestique et les oblige à s’ouvrir toutes grandes, puis, forçant la soubrette à se pencher, elle resserre sa culotte par-derrière entre ses fesses. De plus en plus troublée, la jeune fille sent une chaleur douce et humide baigner sa vulve. L’invitée fait mine de ne pas s’en apercevoir et, poussant son avantage, tire également le tissu vers le haut, par-devant, dévoilant le sexe épilé de Béatrice et ses lèvres rosées, entre lesquelles elle s’amuse à faire coulisser le tissu afin de l’exciter davantage. Au fur et à mesure que l’étoffe s’imprègne de son intimité, Béatrice sent sa gorge se nouer.

- C’est bon, n’est-ce pas ?

- Oh oui, Madame !12 11

La tension n’épargne pas non plus Marie-Gabrielle qui se lève, et tel un mannequin sur le podium d’un défilé de collection, retire avec grâce sa veste avant de se rassoir à sa place. Le voile transparent de son soutien-gorge noir révèle la fermeté de ses seins, qu’ornent de larges aréoles brunes.

- Ne reste pas plantée comme ça, mets-toi à genoux et montre-moi ce que tu sais faire.

Béatrice s’exécute. Elle veille à imprimer à chacun de ses gestes la sensualité d’une 12 12caresse. La jupe du tailleur glisse dans un crissement de soie. Pour seul vêtement, l’amie de sa maîtresse porte un porte-jarretelles noir transparent. Tendu sur une paire de bas ajourés, il encadre comme une gravure la toison soigneusement taillée de son pubis. Les jambes écartées, les yeux mi-clos, Marie-Gabrielle semble déjà flotter dans une sorte de torpeur extatique. Les mains expertes de la soubrette se mettent à la parcourir tout entière. De l’une, elle se saisit d’un sein, le palpe, en fait rouler le téton entre ses doigts jusqu’à le sentir se durcir. De l’autre, elle griffe de ses ongles acérés l’intérieur des cuisses, là où la peau est la plus tendre.

- Oui… oh oui… encore… continue !

Les doigts poursuivent leur chemin, frôlent à peine le pubis, lissent la toison, suspendent imperceptiblement leur progression pour rendre l’attente insupportable, avant de se glisser à l’intérieur du sexe moite et d’effleurer délicatement le bourgeon de chair nacrée qui se met à gonfler. Ils se retirent quelques instants, comme si tout était déjà fini, alors que le pubis s’ouvre et se referme, telle une bouche soudainement privée des baisers les plus tendres, puis reviennent et resserrent leur pression en même temps qu’ils pincent les petites lèvres pour les fermer.12 13

- Ah… c’est trop bon… arrête, je n’en peux plus !

Béatrice, excitée de l’entendre gémir, se contente de sourire et continue. Son visage est maintenant engagé entre les cuisses, attiré par la fragrance puissante à base de coriandre et de patchouli dont la toison est parfumée. Marie-Gabrielle pousse un cri lorsque la soubrette, tenant écartés les lobes finement ourlés, se met à titiller, à sucer, puis à mordre lentement la crête de chair où se rejoignent les petites lèvres.

Insensible aux protestations de la jeune femme qu’elle interprète comme des en12 14couragements, Béatrice prolonge son supplice pendant de longues minutes. Sa langue se glisse, disparaît, revient, enveloppe, aspire. La sentant enfin raidie et portée à son point d’incandescence, elle accélère alors ses caresses et prend un malin plaisir à la faire délirer sans relâche, haletante, le cœur battant, les seins dressés, le dos arqué, jusqu’à ce que, prise de convulsions incontrôlables, elle se détende d’un coup, moite de plaisir, dans un rugissement sonore…

Quelques minutes s’écoulent. Marie-Gabrielle finit par reprendre lentement ses esprits mais Béatrice est restée allongée sur le tapis, à ses pieds, palpitante, les jambes grandes ouvertes. Frustrée d’avoir beaucoup donné sans avoir suffisamment reçu en échange, elle tire à deux mains sur les bords de son sexe pour en distendre l’ouverture et dégager ainsi le renflement de chair qui l’enflamme, délibérément offerte tout entière, en retour, au regard, à la morsure, au contact frémissant d’une bouche ou d’un sexe.

- [Béatrice, implorant l’amie de sa maîtresse] Oh, Madame, s’il vous plaît, soyez gentille, vous ne pouvez pas me laisser comme ça !

- [Lady Alexandra, intervient] Mais Béatrice, tu as vu dans quel état tu as mis mon amie ? Comment veux-tu qu’elle s’occ12 15upe de toi après ce que tu viens de lui faire ! Ne t’inquiète pas, à sa place, je connais quelqu’un qui acceptera volontiers de te satisfaire. Attends juste un instant ! George ? George ? Où est-il donc encore passé celui-là ?

- [Le majordome, qui a très bien compris ce qu’on allait lui demander] Madame m’a appelé ?

- Oui, George, vous allez me rendre un petit service. Je reconnais que ma demande va vous sembler un peu surprenante mais elle est dictée par les circonstances. Une urgence ! J’aimerais que vous preniez Béatrice en levrette, là, maintenant, devant nous, et que vous la fassiez jouir à son tour. Elle l’a bien mérité ! Béatrice, tu as entendu ? Mets-toi vite en position, écarte les jambes et relève la tête !

- [George] Oh ! mais certainement, Madame ! un petit service pour vous mais un grand plaisir pour moi !

 

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Samedi 6 février 6 06 /02 /Fév 06:00

13 01- Béatrice, te rappelles-tu ce que je t'ai dit le premier jour, quand j'ai accepté ta candidature et que je t'ai embauchée ?
- Oui, Madame, vous m’avez dit que vous comptiez sur moi pour ne pas vous décevoir.

- C’est vrai, mais j’ai ajouté autre chose. J’ai précisé que je t’engageais à l’essai pour quelques mois et que je prendrais ma décision définitive à ce moment-là.

- Oh, Madame, vous n’allez pas m’annoncer que je ne fais pas l’affaire et que vous vous apprêtez à me renvoyer, n’est-ce pas ?

- Rassure-toi, pour l’instant, rien n’est encore décidé, ni dans un sens ni dans l’autre. Tu te doutes bien qu’à force d’observer ta conduite, je me suis fait mon propre jugement mais je dois aussi tenir compte des résultats de ton examen de fin de stage.

- Un examen ?

- Disons plutôt une visite.

- Une visite médicale ?

- Oui, si tu veux, on peut appeler ça comme ça. Tu comprendras très vite, j’ai demandé au « docteur » de passer, il est là qui attend dans la pièce d’à côté. 13 02 

Sur un signe discret de Lady Alexandra, Harry, son « essayeur » attitré, est introduit dans le petit salon par George, le majordome. Un colosse gigantesque, presque entièrement nu, apparaît dans l’encadrement de la porte. L’impression de puissance qu’il dégage est renforcée par une musculature hors du commun : de     larges épaules, un torse luisant, des pectoraux en relief, des biceps saillants, des abdominaux tendus, un dos en trapèze, des cuisses de lutteur.

Il entre dans la piè13 03ce d’un pas solennel et vient se placer à droite de la maîtresse de maison, les jambes écartées, les bras croisés sur la poitrine, dans une attitude de défi, tel un bourreau juché sur son estrade, appuyé sur sa hache, le regard hautain et fixe au-dessus de la foule. Son corps est totalement imberbe, y compris son crâne, poli comme une boule de billard, et le loup noir qui couvre le haut de son visage accentue la mobilité de ses yeux clairs. Pour tout vêtement, il porte un slip noir très échancré et équipé, par-devant,13 04 d'une fermeture-éclair que Lady Alexandra se fait un plaisir de descendre lentement sous les yeux de sa soubrette, afin de dégager des attributs exceptionnels : un pénis énorme, long et épais, légèrement tendu, que vient encadrer une paire de testicules démesurés. L’ensemble est épilé avec minutie, ce qui contribue à en souligner les dimensions inhabituelles.

- Mais, Madame, je n’ai jamais vu un docteur comme ça !

- Eh bien, il y a un d13 05ébut à tout, Béatrice ! Pour le moment, tu vas obéir bien gentiment et commencer par te déshabiller. Harry va t’ausculter.

La domestique se tient debout au milieu de la pièce, intimidée, le rose aux joues. Par pudeur, elle a gardé sa petite culotte et tente de dissimuler sa poitrine en la couvrant avec ses mains. Tandis que le colosse s’avance, elle garde les yeux baissés et observe son énorme sexe se rapprocher d’elle. Un frisson la parcourt tout entière quand il l’empoigne et qu’il replie ses bras sans ménagement dans son dos. Ses énormes battoirs serrent ses seins l’un contre l’autre, les palpe, les soulève. Béatrice sent les battements de son cœur s’accélérer. Elle avale sa salive avec difficulté. Sa gorge se noue. L’essayeur13 06 s’est maintenant saisi de ses tétons qu’il pince pour les faire rouler entre ses doigts. La soubrette se mord les lèvres pour ne pas crier. Sa poitrine ne tarde pas à se dresser. Le colosse accentue sa pression pour l’observer se gonfler. La main remonte ensuite vers le visage et force la bouche à s’ouvrir. Le petit doigt écarte les lèvres et s’attarde au contact de la langue qui se dresse 13 07comme le bec d’un oisillon hors de son nid, puis il cède la place à l’index, pour terminer par le pouce. Comme s’il s’agissait d’un geste naturel ou d’un réflexe conditionné, Béatrice se met à le sucer lentement, les yeux fermés, et continue sans s’en rendre compte à tendre le cou en avant lorsque Harry recule légèrement sa main.

- Voyons le bas.

Alors que Béatrice reste debout, les mains dans le dos, Harry s’assied, tire sur l’élastique de la petite culotte et fait glisser celle-ci sur ses chevilles, admirant au passage une taille bien prise, des hanches galbées, des jambes fines, un pubis bombé et minutieusement épilé. Il lui écarte les jambes sans ménagement. Deux doigts lui ouvrent les lèvres, comme on soulèverait les ouïes d’un poisson sur l’étal du marché pour en vérifier la fraîcheur, avant13 08 de poursuivre leur examen clinique : au toucher, le petit organe érectile semble bien développé, l’entrée du vagin, de son côté, est étroite et déjà lubrifiée.

- Allonge-toi.

En un tour de main, Béatrice se retrouve basculée sur les genoux d’Harry, les fesses à l’air. Le colosse les caresse l13 09onguement pour en apprécier la rondeur, avant d’en tester la fermeté par quelques grandes claques sonores, auxquelles elle réagit instantanément en se débattant avec vigueur. Il n’hésite pas à les écarter pour observer le petit œillet qui sommeille et à réveiller celui-ci en y introduisant prudemment l’extrémité de son doigt, auquel il imprime un mouvement de va-et-vient pendant quelques instants.

- Passons à la pratique. A genoux !

Harry s’est relevé et son sexe pointe juste à la hauteur de la bouche de Béatrice. Celle-ci a vite fait de comprendre ce qu’on attend d’elle. Des images agréables de parties coquines avec William et Andrew lui reviennent à la mémoire. Depuis qu’elle est au service de Maîtresse Alexandra, elle s’est fait un devoir de s’entraîner pratiquement chaque jour. C’est un exercice qu’elle affectionne. La seule note de nouveauté tient à la taille impressionnante du pénis qu’elle va devoir avaler. Sa main gauche s’en empare délicatement, tandis que la droite palpe les testicules et les fait rouler entre ses doigts. La pression se fait progressivement plus forte. Elle n’oublie pas de lever les yeux et de fixer en s13 10ouriant le géant à travers son masque tout en décalottant délicatement sa verge. Sa langue parcourt langoureusement la hampe, descend jusqu’aux testicules qu’elle aspire avec soin,     remonte     jusqu’au gland, le titille avec la pointe, puis, la bouche grande ouverte, l’introduit avec gourmandise entre ses lèvres pour le sucer et le pomper avec la plus grande application. Ses petites dents l’enserrent par-derrière, au niveau de l’ourlet, et le tirent légèrement en avant, pour le retenir prisonnier quelques instants, puis l’engloutissent au plus profond de sa gorge, comme si elle l’avalait en entier. Surpris par l’ardeur de la jeune fille, Harry tente de se retirer précipitamment, m13 11ais elle l’en empêche et poursuit sur sa lancée jusqu’à ce qu’il se vide en elle. Les joues pleines de la semence du colosse, elle se retourne pour adresser un clin d’œil victorieux à Lady Alexandra qui observe la scène avec intérêt. Bien qu’un peu décontenancé par la tournure des évènements, Harry se ressaisit et ne laisse rien paraître.

- Mets-toi à quatre pattes sur la table basse, les jambes écartées, et relève la tête vers ta maîtresse. Je veux qu’elle te voie en train de jouir.

La soubrette obéit, le regard humide. Le « docteur » l’ignore mais c’est la position qu’elle préfère, offerte, le dos cambré et les fesses tendues. Une douce chaleur l’envahit progressivement. Sa vulve gonfle et palpite. Entre ses cuisses moites, son petit abricot épilé et gorgé de soleil laisse échapper quelques gouttes de nectar. Le colosse ne rencontre apparemment aucune résistance et un sourire inonde le visage de la jeune fille quand le membre puissant s’enfonce en elle pour entamer un va-et-vient régulier. L’homme a posé ses battoirs sur ses hanches et la tient fermement par-derrière. A chaque passage, il retire complètement son engin avant de l’introduire à nouveau de tout son long pour venir buter contre elle,13 12 comme un bélier. Ses poussées s’intensifient. Béatrice prend un malin plaisir à le stimuler. Elle tend ses fesses en arrière pour aller au-devant du membre et elle contracte au maximum ses muscles afin de le retenir dans le chaud fourreau qu’elle lui offre. Elle résiste avec une énergie peu commune. Petit à petit, les rapports s’inversent. Maintenant c’est elle qui impose son rythme et en définitive, le vainqueur n’est pas celui que l’on attendait. La soubrette est rayonnante quand elle le sent à nouveau s’abandonner e13 13n elle.

- [Harry, légèrement essoufflé] Reste comme tu es, je n’ai pas terminé.

Béatrice est toujours à quatre pattes sur la table basse, haletante. Des perles de sueur sillonnent son front et ses joues écarlates. Elle sent les mains du colosse remonter entre ses jambes, puis, au-dedans d’elle, la caresser du bas vers le haut pour s’imprégner du liquide qu’elle sécrète en abondance. Un doigt s’insinue entre ses fesses et se met à masser délicatement l’entrée de son petit orifice brun pour l’assouplir. Il le dilate avec soin et finit par s’y introduire. Un deuxième le rejoint     afin de l’élargir davantage. La soubrette, qui n’accepte habituellement ce genre de caresse qu’avec une extrême réticence, se crispe, les yeux fermés. Lorsqu’elle sent la pointe du pénis se présenter contre elle, elle se remémore les conseils de sa maîtresse (« Détends-toi et tousse, c’est seulement le tout début qui est un peu difficile, dans quelques instants, tu ne sentiras plus rien »). Un cri lui échappe sous la poussée mais elle se reprend vite. Harry est un expert. A la douleur passagère du début succède rapidement, sous l’effe13 14t des mouvements réguliers qui l’animent, une phase de soulagement, puis de plaisir. Elle aime se sentir empalée, livrée impuissante au membre turgescent qui la transperce, la secoue, la projette en avant, enfoncée jusqu’à la garde, les testicules de son partenaire collés contre ses reins. Les coups de boutoir s’accélèrent. Lady Alexandra sourit. Elle parierait volontiers que sa domestique fait tout son possible pour resserrer son étreinte sur l’engin qui la traverse. Elle a vu juste : à nouveau vaincu, le colosse grimace et finit par se répandre en elle en longs jets chauds et puissants.

Tandis que Béatri13 15ce renfile sa tenue de soubrette, Le « docteur » s’adresse à la maîtresse de maison.

- Madame, je ne sais pas qui je dois féliciter en premier, l’élève ou le professeur ! Il n’y a pas l’ombre d’un doute, Mademoiselle montre d’excellentes dispositions. Elle a été très bien dressée. Vous devriez en être satisfaite, vos invités aussi.

- Béatrice, tu as entendu, ça confirme ce que je pensais, te voilà bonne pour le service, approche-toi, que je t’embrasse !

- Oh merci, Madame, Madame est très gentille, vous ne pouvez pas savoir comme je suis contente ! 

- Et moi donc !

- [Harry] Si Madame m’autorise à lui livrer le fond de ma pensée, j’aurais juste une ou deux suggestions à formuler mais ce ne sont vraiment que des détails, des petits défauts de jeunesse, allais-je dire. D’abord, elle aurait besoin d’être élargie par-derrière, elle est encore un peu étroite. Et puis, pour qu’elle soit vraiment parfaite, il faudrait également l’habituer à garder la poitrine tendue en lui fixant des pinces au bout des seins.

- Merci, Harry, pour ces précieux conseils. Vous avez entièrement raison, tous les détails ont leur importance. Sachez bien que j’en tiendrai compte.

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Samedi 6 mars 6 06 /03 /Mars 06:00

14 01Premières heures de la matinée dans le petit salon de Glendale House, au lendemain de la visite d’Harry, l’« essayeur » auquel Lady Alexandra a fait appel pour évaluer les qualités physiques de sa domestique.

- Béatrice, nous n’avons pas de temps à perdre, il faut battre le fer pendant qu’il est chaud.

- Pardon, Madame ?

- C’est pourtant clair, tu as entendu comme moi les recommandations du « Docteur » à l’issue de son examen, n’est-ce pas ?

- A vrai dire, c’était tout à fait à la fin et dans l’état où j’étais, je n’ai pas fait très attention. Je crois me souvenir qu’il m’a trouvée trop « étroite », Madame, mais je n’ai pas compris ce qu’il voulait dire.

- Eh bien, tu vas comprendre très vite, ma belle, viens près de moi, n’aie pas peur, tourne le dos et penche-toi en avant. [Afin qu’elle soit en permanence accessible durant son service, elle a obligé sa soubrette à ne plus porter de petite culotte et à attacher ses bas directement, devant et sur les côtés, aux quatre ja14 02rretelles de son corset] Je ne me lasserai jamais de contempler tes rondeurs adorables [Elle les caresse longuement], douces et lisses comme celles d’une fillette. Son doigt s’insinue entre celles-ci et la pénètre délicatement.

- Mais, Madame !

- Reste penchée, petite bécasse, le Docteur a entièrement raison, je croyais que tu avais fait des progrès de ce côté-là mais je me suis trompée, nous sommes loin du compte, il faudrait t’élargir ou plutôt te « dilater », pour utiliser un terme plus approprié. Ne t’en fais pas, je sais comment faire !

- Oh, Madame14 03, vous allez me faire mal !

- D’abord, je ne t’ai pas demandé ton avis et ensuite, je vais te faire du bien, au contraire. Tu te sentiras beaucoup mieux après. Mais au préalable, quelques exercices d’assouplissement me semblent indispensables.

- Des exercices de gymnastique ?

- Oui, en quelque sorte. George ? Mais où est-il encore passé celui-là ? [Dissimulé dans l’ombre, derrière la maîtresse de maison, le majordome bondit comme un pantin à ressort surgissant de sa boîte] Ah, vous êtes là, George, vous m’avez fait peur, j’ai l’impression qu’à chaque fois vous le faites exprès !  

- Excusez-moi, Madame, ce n’était pas mon intention.

- Eh bien, George, vous avez pensé à installer ce que je vous ai demandé ?

- Oui, Madame.

Le maître d’hôtel se dirige vers un coin de la pièce et, repliant les volets d’un paravent en laque de Coromandel, dévoile une colonne en bois légèrement écartée du mur et solidement f14 04ixée au sol. Dans une cannelure qui la traverse de haut en bas, une sorte de rail métallique à crémaillère a été insérée. Celui-ci est équipé d’une pièce recourbée à angle droit, métallique également, et que l’on peut régler en hauteur en la faisant coulisser sur l’axe central.

- Qu’est-ce que c’est, Madame ?

- Il est grand temps que tu le saches, c’est un mât de Gwendoline. Je n’ai pas besoin de t’expliquer comment ça fonctionne, tu vas le découvrir par toi-même ! G14 05eorge, aidez-moi à la préparer.

Lady Alexandra fixe aux poignets de la soubrette une paire de bracelets en cuir noir munis d’anneaux, tandis que le majordome, à genoux, mais davantage occupé à regarder sous la jupe de la jeune fille, est censé faire la même chose au niveau des chevilles. Elle choisit ensuite avec soin un phallus gainé de cuir noir, long d’une dizaine de centimètres, et l’assujettit à l’embout mobile prévu pour le recevoir.

- Approche.

Comme une condamnée que l’on conduirait au poteau, Lady Alexandra fait reculer Béatrice contre le mât, puis réunit par-derrière les anneaux des bracelets qu’elle porte aux poignets et aux chevilles. Après lui avoir massé l’anus quelques instants pour la préparer, elle fait glisser le support coudé vers le haut et introduit la pointe du phallus entre ses fesses.

- Montre-moi comme tu es grande, ma belle14 06, dresse-toi sur la pointe des pieds [La soubrette obéit sans réfléchir et Lady Alexandra en profite pour bloquer le godemiché le plus haut possible]. Voilà, c’est parfait !

- [Endolorie par ce corps étranger qui s’enfonce subitement en elle] Oh, Madame, j’ai mal, c’est trop gros !

- Arrête de pleurnicher ! Si tu crois que tu vas me faire changer d’avis, c’est raté. J’ai volontairement choisi un modèle 14 07moyen pour commencer, une queue ordinaire, si j’ose dire. C’est pour t’habituer. Il y en a de beaucoup plus grosses. Dans quelque temps, tu seras pénétrée comme ça par le sexe de mes invités. Je leur demanderai de se présenter en file indienne derrière toi pour te limer à tour de rôle !

A force de se trémousser et rapidement fatiguée de rester sur la pointe des pieds pour tenter de soulager la douleur qui la transperce, Béatrice a maintenant le phallus enfoncé en elle jusqu’à la garde. Elle se rend compte que les efforts désordonnés qu’elle déploie pour se libérer ne font qu’aggraver son état. Le rouge lui monte aux joues. Ses yeux se voilent. Elle est près d’éclater en sanglots.

- Alors, ma belle, comment te sens-tu ? Tu sais quoi ? Tu me fais penser à l’héroïne d’une bande dessinée de John Willie. Même silhouette, même attitude, c’est tout à fait ça ! 14 08 

- Oh, Madame, ne vous moquez pas de moi, j’ai l’impression d’être complètement empalée.

- Ce n’est pas une impression, Béatrice, c’est la réalité, et plus tu te débattras et plus tu auras mal.

La maîtresse de maison se saisit de courroies de cuir supplémentaires et attache sa soubrette autour du poteau au niveau de la taille et du cou.

- Estime-toi heur14 09euse, pour une première fois, je n’ai pas forcé. J’aurais pu être moins indulgente. Tu verras, dans     quelques jours, tu n’y feras même plus attention. Pense à autre chose et reste tranquille, c’est ce que tu as de mieux à faire.

- Je ne peux pas, Madame, oh, s’il vous plaît, détachez-moi !

- Écoute-moi bien, Béatrice, tu n’as pas l’air de vouloir comprendre : non seulement je ne vais pas te libérer mais en plus tu te lèveras désormais tous les matins une heure plus tôt et je t’attacherai à ce mât avant que tu prennes ton service. Est-ce que c’est clair ?

- Oh non, Madame !

Excédée, Lady Alexandra s’empare d’un bâillon de cuir noir dont la face externe est découpée en forme de petit cœur capitonné tandis que l’intérieur est équipé d’un gland en caoutcho14 10uc très court, mais de section énorme. Elle le lui introduit de force entre les lèvres avant qu’elle ait pu pousser le moindre cri de protestation et resserre derrière sa nuque la lanière de cuir qui le retient. Il lui remplit la bouche, sans y entrer non plus trop profondément.

- Avec ça, je ne veux plus t’entendre, ou plutôt si, je veux t’entendre sucer cette queue comme une petite vicieuse q14 11ue tu es !

Les joues et les lèvres de Béatrice s’animent, rendant perceptible un léger bruit de succion, comme celui d’un bébé qui téterait son biberon avec une gourmandise insatiable.

- Continue comme ça sans t’arrêter ! Te voilà fourrée par tous les bouts, ma belle, ça t’apprendra à vouloir me résister ! De toute façon, il est grand temps que tu t’habitues à sucer pendant que l’on te prendra par-derrière ou par-devant. Je te préviens, si je t’entends te plaindre encore une seule fois, je t’en introduis un troisième, beaucoup plus gros, entre les cuisses, et je te laisse comme ça une heure de plus !

Juchée sur la pointe des pieds, les seins pointés en avant, avec ses bonnes joues rouges gonflées par le membre épais qu’elle est en train de pomper, la soubrette roule des yeux suppliants vers sa maîtresse. Celle-ci, par provocation, relève la14 12 jupe de sa soubrette par-devant afin d’exhiber le haut de ses cuisses nues et son pubis épilé.

- Comment la trouvez-vous, George ?

- Je trouve Mademoiselle très mignonne.

- C’est bien mon avis aussi. Dépliez le paravent, George, nous allons laisser Mademoiselle à ses méditations. Je suis sûre que dans une heure, elle sera revenue d14 13ans de meilleures dispositions !

- Si Madame le permet, je suggère plutôt à Madame de laisser le paravent ouvert. Madame pourra ainsi observer Mademoiselle à loisir et celle-ci restera exposée devant tout le monde.

- Mais vous avez tout à fait raison, George, vous ne dites pas toujours que des bêtises. Quand j’y pense, je devrais plutôt vous appeler Jeeves !

- Merci, Madame, Madame est trop aimable.

- En attendant, je vous laisse, il faut que je m’absente. Ne quittez pas la petite d’une semelle et surveillez-la comme le lait sur le feu, je vous fais confiance.

- Madame peut partir tranquille, je m’occupe de tout.

Connaissant la perversité du maître d’hôtel et redoutant de devoir rester sans défense, en tête-à-tête avec ce dernier, Béatrice se met à agiter des yeux effarés en direction de sa maîtresse. De vagues borborygmes s’échappent de son bâillon, mais Lady Alexandra prend le parti de les ignorer et quitte la pièce en souriant.

- A tout à l’heure, ma belle, « be a good girl », à mon retour, je veux te retrouver sage comme une image…

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Mardi 6 avril 2 06 /04 /Avr 06:00

15 01Comme annoncé, Lady Alexandra met à exécution son plan « Gwendoline », axé sur des exercices quotidiens d’assouplissement de nature à « détendre » progressivement sa domestique. Béatrice se soumet de mauvaise grâce à l’épreuve, aussi douloureuse qu’humiliante, et redoute par-dessus tout de devoir l’endurer encore pendant plusieurs jours.

- [Lady Alexandra, détachant sa soubrette du mât où elle se trouve attachée] Montre-moi ce que ça donne ce matin !

- C’est beaucoup mieux, Madame.

- Qu’en sais-tu ? Ce n’est certainement pas à toi d’en juger ! [La main de la maîtresse de maison disparaît dans le dos de Béatrice, qui ressent une sensation insoutenable, comme chaque fois qu’on la touche à cet endroit] Eh bien, non, c’est presque pareil, décidément ça ne progresse pas vite. A ce train-là, tu ne seras pas prête avant15 02 longtemps. il va falloir utiliser les grands moyens. George, mais où est-il encore passé celui-là ?

- [Surgissant du fond de la pièce à pas feutrés] Madame m’a appelé ?

- Oui, George, conduisez Mademoiselle dans le petit salon et faites-la asseoir sur la chaise de dilatation.

- Bien, Madame.

- Oh et puis non, nous verrons cela une autre fois, apportez-moi plutôt mon coffret, vous savez, mon coffret en ébène de Macassar.

- Bien, Madame.

Le majordome revient quelques instants plus tard, tenant entre ses gants blancs un c15 03offret en bois précieux, brun sombre veiné de noir, au couvercle serti d’ornements floraux en marqueterie de citronnier, d’érable et d’ivoire, dans un dégradé de tons identique à ceux du motif central figurant les armes de la famille Ashley. L’intérieur de la cassette est divisé en plusieurs compartiments qui abritent une sélection de tiges en bois ou en résine, moulées à l’imitation d’un sexe en érection, soigneusement rangées de la plus mince à la plus épaisse. La maîtresse de maison se surprend à sourire en contemplant cet alignement de phallus dressés dont la caractéristique commune est de s’élargir à la base, de telle sorte qu’ils ne puissent pas remonter à l’intérieur du corps et laisser se resserrer le muscle en forme d’anneau qu’ils ont précisément pour objet d’écarter et de distendr15 04e. Elle en caresse sensuellement les formes du regard, concentrée sur le choix le plus adapté à la morphologie de sa domestique.

- Nous avons l’embarras du choix : l’anatomique, la pyramide, l’ogive, la canette, le réglisse, le champignon… je pense que le profilé devrait bien te convenir.

- Vous croyez ?

- Il est un peu plus épais que la moyenne, mais c’est bien là le problème, il faut que tu puisses parer à toutes les éventualités ! Allez, tourne-toi.

- Oh, Madame, vous allez encore me faire mal !

- Sûrement, si tu continues à te plaindre ! Contente-toi déjà d’obéir ! Écarte les jambes et penche-toi en avant. Oui, complètement, casse-toi en de15 05ux et tiens-toi les chevilles avec les mains.

Malgré l’inconfort de sa position, la tête en bas, Béatrice observe, entre ses jambes, sa maîtresse soulever le couvercle d’un pot à onguent en verre filigrané de Murano. Ses doigts fins effleurent la surface et y prélèvent une noisette de crème. En dépit du contact glacé, la soubrette garde le silence et se laisse faire, tandis qu’avec délicatesse, mais promptement, on lui enduit l’entrée et l’intérieur même de son petit orifice. Appliqué contre ce dernier, et tâtonnant un instant pour repérer son chemin, le phallus est introduit d’un geste sec et ferme. Un cri s’échappe des lèvres de la soubrette en même temps qu’elle se raidit sous l’effet de la douleur.

- Là, ma belle, un passage un peu délicat à franchir, c’est bientôt fini, ne te crispe pas, pousse au contraire av15 06ec tes hanches, oui, et ouvre-moi ça, voilà, continue, encore, c’est beaucoup mieux !

Le visage écarlate, Béatrice sent le phallus, d’une largeur et d’une dureté insoutenables, s’enfiler en elle.

- Le plus dur est passé ! Tu vas maintenant le conserver bien au chaud. Pour ton éducation, il s’agit d’un plug anal, au cas où tu l’ignorerais. A ne surtout pas confondre avec un godemiché, qui ne répond pas au même usage, n’est-ce pas George ?

- Madame fait bien de le préciser, à l’inverse du plug qui reste fixe, le godemiché bouge et coulisse, ça s’en va et ça revient…

- Comment ça, « ça s’en va et ça revient ? »

- Mais oui, « c’est fait de tout petits riens, ça se chante et ça se danse, et ça rev15 07ient, ça se retient, comme une chanson populaire ! »

- Bien sûr, j’avais oublié, comme dans la chanson ! Ce qu’il y a bien chez vous, George, c’est que vous savez toujours détendre l’atmosphère au moment où il le faut.

- Madame est trop aimable.

- En attendant, c’est ce que je craignais, nous ne sommes pas au bout de nos peines ! Tenez, George, à vous de jouer, vous allez me dire ce que vous en pensez.

Le majordome, qui n’en croit pas ses oreilles, s’apprête à baisser son pantalon, mais Lady Alexandra, comprenant sa méprise, l’en dissuade aussitôt.15 08

- George, quand je dis « à vous de jouer », c’est une façon de parler. Béatrice est encore trop étroite pour vous. Nous allons l’habituer progressivement à un engin de votre taille mais il faut encore attendre un peu.

- Il n’aura pas échappé à Madame combien je suis impatient d’essayer !

- Rien de plus normal, George, votre empressement est naturel, mais je suis confiante, Mademoiselle va certainement brûler les étapes et faire tout son possible pour vous donner rapidement satisfaction, n’est-ce pas, Béatrice ?

Celle-ci demeure silencieuse. Pour étayer son propre jugement, George a maintenant retiré la tige, non pas tant dans le but de soulager la soubrette que de susciter chez elle comme un vide anormal, insupportable, afin d15 09e pouvoir l’enfoncer davantage à nouveau de toute sa longueur. Fourrée, empalée, Béatrice sent que le creux de ses reins s’est transformé en un cratère brûlant. Qu’il n’est plus qu’une bouche tremblotante, aux lèvres incandescentes, comme crispées sur ce nouveau bâillon dont elle ne peut se défaire.

- Je partage l’avis de Madame. Il y a incontestablement un léger mieux mais il faudrait continuer le traitement. Peut-être Mademoiselle serait-elle capable de supporter une ou deux tailles au-dessus. Si cela ne tenait qu’à moi, je tenterais la fusée à quatre étages mais je n’irais pas au-delà...

- Vous êtes sûr ? J’avais plutôt en tête de lui faire subir le cycle complet, jusqu’à l’as de pique.

- L’as de pique, Madame n’y pense pas15 10 !

- Ou bien alors la grenade ?

- Encore moins ! La grenade serait totalement dévastatrice ! Si je puis me permettre, je la déconseille formellement à Madame. Ce serait aller à l’encontre du but recherché. En la dilatant à l’excès, vous risquez de priver vos invités d’une partie de leur plaisir. A l’inverse, si vous la maintenez légèrement étroite, ils seront ravis de sentir une petite résistance. Rien ne leur sera plus agréable que de la forcer un peu. Gardez-la « innocente », ça lui va tellement bien !

- Vous me surprenez, George, voilà deux fois en l’espace de quelques jours que vous formulez des remarques intelligentes !

- Madame est trop a15 11imable !

- Alors transigeons pour le « réglisse » ! Maintenant que nous avons sélectionné le bon modèle, ma petite Béatrice, tu vas le conserver toute la journée bien profond entre tes fesses au moyen de ces trois chaînettes. Je vais les tendre sur une ceinture de cuir autour de ta taille. Comme ça, tu ne pourras pas l’expulser en dehors.

Une chaînette est insérée dans le sillon des reins de Béatrice tandis que les deux autres suivent en diagonale le pli des cuisses, de part et d’autre du triangle du ventre, laissant le pubis accessible, afin de ne pas empêcher qu’on y pénètre au besoin.

- Voilà, ma belle, ce string minimum est vraiment adorable ! [Les chaînettes dorées se détachent et brillent sur sa peau halée, encadrant comme dans un écrin ses lèvre15 12s roses, parfaitement épilées] Il te va à ravir ! Demain, je te mettrai un modèle plus gros et à la fin de la semaine, tu devrais être fin prête. Nous pourrions organiser une petite fête avec quelques amis pour célébrer l’évènement, qu’en penses-tu ?

Béatrice ne répond pas. Des grosses larmes coulent sur ses joues. Son cœur bat à toute allure. Le grain de sa peau est devenu moite. La tige la pousse vers le haut, ce qui la contraint à se hisser sur la pointe des pieds afin de chercher à atténuer, en vain, sa douleur. Elle a l’impression, en se déplaçant dans la pièce, que le phallus qui l’empale grossit de plus en plus en elle, la tisonne et l'excite comme s’il était doté d’une vie au15 13tonome. Comme si elle participait délibérément à son supplice par les mouvements de son propre corps.

- Excellent ! Allez, marche encore, va jusqu’à la porte et reviens ! Cet exercice va te faire beaucoup de bien. Non seulement il va te rendre plus « accueillante » mais il va également te contraindre à te sentir en permanence fourrée par une queue d’homme pour que tu ne penses plus qu’à une seule chose : l’enserrer de toutes tes forces entre tes fesses, entre tes cuisses ou entre tes lèvres.

- [George] Pourrais-je rappeler à Madame que Monsieur Harry lui a é15 14galement recommandé d’habituer Mademoiselle Béatrice à garder les seins tendus ?

- Mais bien sûr ! Décidément, George, je n’en reviens pas, aujourd’hui, vous vous surpassez ! Vous avez entièrement raison, où avais-je la tête ? Approche-toi, Béatrice !

Lady Alexandra inspecte à nouveau son coffret et en sort deux pinces métalliques qu’elle fixe aux tétons de sa soubrette après les avoir fait durcir entre ses doigts. Celle-ci grimace de douleur mais la maîtresse de maison n’y prête aucune attention. A chacune des pinces, elle accroche une courte chaînette dorée dont elle tend l’extrémité vers le haut, en triangle, à l’anneau de son collier de chien. Le résultat est quasi immédiat. Les mamelons ne tardent pas à gonfler et à exhiber avec arrogance leurs pointes dressées.

- Regarde dans la glace comme tu es belle, une véritable poupée Barbie ! Je sens que tu vas faire tourner des têtes, n’est-ce pas, George ?

- Sans aucun doute, Madame, je garantis à Mademoiselle un succès fou !

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Jeudi 6 mai 4 06 /05 /Mai 06:00

16 01Assise devant sa coiffeuse, Lady Alexandra se prépare pour le dîner. Béatrice est debout à côté d’elle, fascinée par le miroir dans lequel elle observe sa maîtresse souligner au crayon l’intérieur de sa paupière, puis lisser ses cils avec un mascara « ultra volume » et terminer en donnant un ultime coup de brosse à sa frange de cheveux blonds.

- Béatrice, tu sais que mes amis Gisèle et Pierre viennent dîner ?

- Oui, Madame, George m’a prévenue.

- Ils viennent des Antilles.

- Là où les femmes sont « zantilles », Madame ?

- Au lieu de plaisanter, approche-toi ! [Lady Alexandra prend une houppette et applique, par petites touches circulaires, un blush bonne mine sur les pommettes de sa soubrette]

- Oh Merci, Madame.

- Attends, ça, c’était pour les joues du haut, il faut que je m’occupe16 02 aussi de celles du bas !

Elle la bascule sur ses genoux, le buste penché en avant, les pieds décollés du sol, lui relève sa jupe et sans lui donner le loisir de réagir, lui administre une fessée magistrale, jusqu’à ce qu’une jolie teinte écarlate se diffuse uniformément en deux cercles symétriques sur ses rondeurs potelées.

16 03- Le rouge aux joues et le feu aux fesses, mes amis vont adorer ! Maintenant, relève-toi et remets de l’ordre dans tes vêtements, je te veux irréprochable ! Tu aideras Blandine à servir l’apéritif.

Piquée au vif de devoir partager la vedette avec sa rivale mais secrètement heureuse à l’idée de pouvoir se mettre en valeur devant elle, la soubrette prend un soin méticuleux à ajuster sa tenue. A remonter ses bas. A vérifier en se retournant l’aplomb de la couture. Du coin de l’œil, Lady Alexandra s’amuse à la voir tirer les bords de sa petite culotte ajourée sur ses hanches pour l’échancrer le plus possible par-devant et par-derrière. A régler le balconnet de son soutien-gorge pour rendre sa poitrine pigeonnante et laisser dépasser la pointe de ses seins. A évaser gracieusement en corolle16 04 les plis de sa jupette noire. A remonter imperceptiblement celle-ci juste à la bonne hauteur. Celle qui dissimulera à peine pour dévoiler beaucoup. A centrer innocemment son petit tablier blanc par-devant. A en arranger les boucles par-derrière. Pendant que sa maîtresse a le dos tourné, elle lui tire la langue comme le ferait une gamine et s’adresse un clin d’œil ravi dans le miroir.

16 05- C’est bien, maintenant suis-moi et surtout n’oublie pas la règle des trois « s » : silencieuse, souriante, sexy !

Lady Alexandra se lève, attache au cou de sa domestique une laisse argentée assortie à son collier de chien, la tire derrière elle dans le couloir, jusqu’à la porte du petit salon dont elle ouvre grands les deux battants d’un geste théâtral, et s’avance, rayonnante, jusqu’à la fenêtre qui donne sur le parc.

- Mes amis, j’ai l’immense plaisir de vous présenter Béatrice.

Inclinant le buste, la soubrette plie les genoux en une courte révérence. Gisèle, une grande femme énergique et souriante, la dévisage avec amusement, tandis que Pierre, le regard pétillant, examine dans les moindres détails sa silhouette et son habillement.16 06

- Ravissante ! Vous savez à qui elle me fait penser ?

- Non.

- On la croirait sortie tout droit d’une bande dessinée de Chris.

- Je n’y avais pas pensé mais effectivement, elle pourrait très bien tenir le rôle de Miss Jane dans « Le dressage de Jane ».

Dans un justaucorps en vinyle noir et blanc serré 16 07par un petit tablier, Blandine, rousse, discrète, se tient en retrait.

- Tourne-toi ! [Lady Alexandra relève le bas de la jupe de sa soubrette et, la contraignant à se pencher en avant, découvre ses fesses écarlates] Gisèle, viens les toucher, regarde comme elles sont douces et lisses.

- [Gisèle s’approche] C’est incroyable, on dirait du satin, une vraie peau de bébé. Et puis avec ces couleurs, elles sont magnifiques ! Tu la punis souvent ?

- Oh oui, pratiquement tous les jours, et même plusieurs fois par jour. Je me demande quand j’aurai fini ! Tu sais, elle me rappelle Diva à ses débuts. Il m’a fallu du temps mais j’y suis arrivée ! [A l’appel de son nom, le caniche ouvre une paupière en accent16 08 circonflexe vers sa maîtresse et replonge aussitôt dans ses rêves, le museau contre le tapis] Redresse-toi et tiens-toi de profil. Oui, comme ça, bien droite, cambre les reins et bombe la poitrine ! Encore !

- [Pierre] Elle a beaucoup d’allure !

- [Lady Alexandra] Tourne-toi vers nous et remonte ta jupe ! [Béatrice hésite] Tu vas obéir ? [Elle empoigne l’ourlet et le relève] Tiens-la 16 09comme ça ! Plus haut ! [Les invités découvrent ses jarretelles noires impeccablement tendues en haut de ses cuisses nues]

- [Pierre] Ravissant ! J’ai l’impression que Mademoiselle a un gros clitoris ! [Rires] En tout cas, ses jambes sont superbes !

- [Lady Alexandra] Avance jusqu’à la porte [La soubrette s’exécute en veillant à marcher à petits pas, légèrement déhanchée, les reins et les épaules cambrés] Demi-tour ! [Au passage, Béatrice se regarde furtivement dans le miroir en pied. Les invités s’échangent des sourires indulgents et complices.] Ça suffit, reviens et sers-nous le champagne.

La domestique extrait d’un seau en métal une bouteille enveloppée dans un linge blanc et s’apprête à remplir la première flûte lorsqu’elle constate avec étonnement que la bouteille est déjà aux trois quarts vide. Tous les yeux se braquent vers Blandine.

- Mais enfin, Blandine, qu’est ce que ça veut dire ? Où as-tu la tête ?16 10 Comment peux-tu oser offrir ce vieux Bricout à moitié éventé ?

La soubrette, gênée, bredouille un vague commencement d’explication qui, à défaut de convaincre la maîtresse de maison, ne fait que l’irriter davantage. Alors que l’orage gronde, Béatrice, ravie de ce contretemps qui met en difficulté sa collègue, se porte à sa 16 11hauteur et lui murmure à l’oreille :

- Grande taille mais petit cerveau !

Blandine lui jette des yeux noirs mais elle s’empresse de lui tourner le dos et tout en jouant les domestiques modèles, présente les flûtes à sa maîtresse. Celle-ci a tout entendu. Elle la laisse terminer son service avant de lui faire signe d’approcher afin de lui introduire entre les lèvres le bâillon équipé d’un gland très court mais de section énorme qu’elle adore l’entendre sucer.

- Ça t’apprendra à dire des bêtises ! Dépêche-toi de nous apporter le reste, nous mourons de faim !

La soubrette ne tarde pas à réapparaître en soulevant par ses deux poignées un grand plateau en argent où sont habilement disposés un assortiment de canapés variés, de petites quiches lorraines, de mini pizzas, de tomates cerises, de pains surprises, de navettes briochées, de coupelles remplies d’olives et de noix de cajou, de16 12 sauces colorées à base te tapenade, de guacamole et de poivron confit. Elle se penche le plus possible en avant, tout en gardant les jambes très tendues, comme sa maîtresse le lui a appris, et reste concentrée pour ne pas trébucher.

Entre deux plaisanteries, les invités font mine d’hésiter, histoire de la garder à leur portée et de contempler tout à loisir les appas qu’elle leur tend. Tandis qu’elle circule, une main remonte par-16 13derrière sous sa jupe pour lui caresser les fesses. Une autre, par-devant, s’aventure en haut de ses cuisses.

- [Lady Alexandra] Écarte les jambes !

Béatrice obéit et sent des doigts s’insinuer entre ses cuisses moites, puis se glisser sous sa petite culotte pour s’imprégner de la chaleur de son sexe. La maîtresse de maison déguste la scène en silence. Heureuse. Son plaisir se confond avec celui de ses amis. Tout en piquant avec gourmandise un canapé au tarama-concombre du bout de son petit bâtonnet en bois, elle nargue sa soubrette. Celle-ci, inclinée vers elle, soutient son regard et la fixe intensément. A côté d’elle, Pierre, aux prises avec une rondelle de saucisson dont la peau16 14 est restée attachée à la précédente, interroge Blandine qui feint de découvrir la difficulté :

- Je ne comprends pas. Je les avais pourtant bien découpées, elles ont dû se recoller !

Cette repartie inattendue déclenche un éclat de rire général. Pendant ce temps, à force de bouger et de varier les positions afin d’échapper aux mains qui ne cessent de la rattraper pour la lutiner, Béatrice finit par se tordre la cheville. Blandine saute sur l’occasion pour prendre sa 16 15revanche :

- Quand on ne sait même pas marcher, on évite de porter des talons aiguilles !

- [Lady Alexandra] Vous avez bientôt fini de vous chamailler ! Blandine, je te dispense de tes commentaires, quant à toi, Béatrice, pose ton plateau et viens à côté de moi. Attends, je vais t’enlever ton bâillon. Tiens-toi tranquille, les yeux baissés, et relève ta jupe par-devant !

- [Gisèle, indulgente] Tes deux domestiques sont tout à fait charmantes !

- [Pierre, plus critique] Je trouve tout de même que ce soir, Blandine a accumulé les bêtises !

- [Béatrice, incapable de se retenir] Moi aussi !

- [Lady Alexandra] Non mais, écoutez-moi cette petite péronnelle ! Est-ce qu’on t’a demandé ton avis ? D’abord vous serez punies16 16 toutes les deux et pour la peine, nous allons commencer par toi, Béatrice ! Mets-toi à quatre pattes, tu vas faire connaissance avec les « battoirs » de Gisèle, on verra à la fin si tu trouves toujours que les Martiniquaises sont « zantilles » !

- Oh non, Madame, s’il vous plaît !

- Obéis et tais-toi ! Attends, Gisèle, que je la débarrasse de sa petite culotte, tu seras plus à ton aise, et surtout n’hésite pas à frapper fort, elle l’a bien méritée ! Quant à toi, Pierre, tu peux en profiter pour te mettre à l’aise, et si le cœur t’en dit, Mademoiselle ne te refusera pas une petite gâterie, n’est-ce pas, Béatrice ?

Par Béatrice - Publié dans : Exhibition - Communauté : blog sexe des amis
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Dimanche 6 juin 7 06 /06 /Juin 06:00

BR FV 17 01 PavillonLe pavillon de chasse de style mauresque, édifié en souvenir de l’Exposition universelle de Paris de 1867, se déployait à la limite du parc, au bas d’une immense pelouse, entre des bouquets de chênes et d’érables. Béatrice l’avait aperçu un jour, par hasard, entre les frondaisons, depuis la rotonde du temple de Vénus, qui ferme, au-dessus du grand bassin, la perspective principale du château. Elle avait patienté jusqu’à la nuit pour sBR FV 17 02 Temple de Vénus’y aventurer et, guidée par le plaisir trouble de la curiosité et de la peur, elle avançait maintenant, les yeux à demi clos, la gorge serrée, sur la ligne courbe du chemin. Autour d’elle, des bosquets d’ombre, ça et là, bombaient leurs masses dans l’obscurité, et parfois, frissonnant tous d’un seul mouvement, ils se dressaient et se penchaient sur son passage. Elle parcourut les derniers mètres ses souliers à la main, pour éviter de faire crisser le gravier sous ses pas, et pénétra, le cœur battant, dans le bâtiment.

Une longue galerie percée de fenêtres occupait l’espace, où dix niches ouvragées dans le style meringué rococo bavarois se faisaient face. Entre chacune d’elles, les murs étaient ornés d’armes et de trophées de toutes sortes. Souvenir d’équipées lointaines et témoignage posthume de l’excentricité de Lord Ashley, l’ensemble formait un bric-à-brac surréaliste de dépouilles d’ours, de têtes de BR FV 17 03 Intérieur pavillonmouflons, d’aigles empaillés, de cornes d’antilopes, de bois de rennes et de défenses d’éléphants. Il y régnait une exquise odeur de cuir, de tabac blond et de graisse à fusils.

Tout au fond de la galerie, égayé par un feu crépitant dans une grande cheminée, Lady Alexandra trônait dans un fauteuil de Maharadjah à haut dossier. Une peau de tigre du Bengale était déroulée à ses pieds. HautainBR FV 17 04 Trophéee, superbe, inaccessible, elle était simplement - mais divinement - vêtue d’une guêpière en mousseline de satin noir qui, soulignant autant la finesse de sa taille que, par contraste, le galbe de ses hanches, mettait également en relief sa poitrine dénudée, magnifique, provocante. Une perruque brune et un maquillage soutenu accentuaient la sévérité de ses traits. A travers les volutes bleutées d’un immense fume-cigarette, le reflet d’un regard amusé éclairait le miroir de ses deux grands yeux verts.

- J’étais sûre que tu finirais par venir… approche !

- Mais, Madame…

- Tais-toi et obéis ! Ici, tu apprendras que je ne suis plus Madame mais Maîtresse et que tu es mon esclave.

L’ordre claqua comme un fouet dans un silence glacial et, lorsqu’elle entendit la lourde porte d’entrée se refermer derrière elle, Béatrice comprit soudain qu’elle était prise au piège. Un homme de grande BR FV 17 05 Fireplacetaille en défendait désormais l’accès. Il était presque entièrement nu. Son visage était dissimulé sous un masque et il portait un slip échancré en cuir noir, doté d’un orifice circulaire découpé en son milieu, qui laissait apparents, afin de les mettre en valeur, des attributs virils hors du commun. Un sourire énigmatique flottait entre sesBR FV 17 06 Jeune femme lèvres. La soubrette crut reconnaître celui de George, le majordome de Lady Alexandra. Son âme damnée aussi. A moins qu’il ne se soit agi d’Harry, « l’essayeur » attitré de Madame, son « Prince des ténèbres », comme elle avait coutume de l’appeler également.

Sur le côté gauche de la galerie, où des candélabres jetaient de longues taches inégales sur les fresques du plafond, neuf jeunes filles entièrement nues étaient alignées en enfilade. La dixième niche était vide, prête à accueillir une nouvelle venue. Toutes étaient jeunes comme Béatrice. Entre leurs jambes, le jeu mobile des ombres et des lumières éclairait tour à tour les boucles de leurs toisons et les tétons dressés de leurs bustes.

Plusieurs d’entre elles étaient montées sur des phallus de cuir fixés contre le mur, sur lesquels elleBR FV 17 07 Projecteurs se démenaient au prix de sauvages contorsions, car elles avaient reçu pour instruction de se besogner jusqu’à ce qu’elles atteignent leur plaisir. Béatrice observa la rangée de corps qui se débattaient. Les mains des filles étaient attachées au-dessus de leurs têtes, ainsi que leurs pieds par-dessous. Elles disposaient de peu de place pour se mouvoir sur ces godemichés et elles tournaient dessus en s’efforçant d’onduler du bassin du mieuxBR FV 17 08 Bottes noires qu’elles pouvaient, les yeux voilés de larmes.

A une autre, qui geignait doucement, avait été appliquée sur chaque téton une pince munie de petites clochettes de cuivre. Celles-ci frissonnaient au rythme de sa respiration. A la longue, elles étaient devenues pesantes, elles la tiraient et, en lui alourdissant les seins, les lui rendaient douloureusement présents. Plus bas, entre ses membres écartés, on avait fixé d’autres clochettes à ses lèvres intimes. Elles lui touchaient les cuisses, la mordaient et lui entamaient les chairs.

A une dernière enfin, on avait assujetti des menottes de cuir équipées d’un anneau aux chevilles et aux poignets. Ces derniers avaient été suspendus à un crochet au-dessus de sa tête et on avait BR FV 17 09 Poignetsramené ses jambes devant elle, de manière à lui fixer les chevilles au même crochet. Sa tête lui avait été passée de force entre les mollets et une lanière de cuir lui plaquait les jambes contre le torse. Pliée ainsi en deux comme un pantin dans cette position particulièrement incomBR FV 17 10 Attachée1modante, elle exhibait, juste au-dessous de son visage empourpré, son sexe nu et gonflé, pointant de la couronne dorée de son pubis avec ses lèvres roses, jusqu’au petit œillet brun entre ses fesses.

L’homme masqué arpentait maintenant la rangée des jeunes femmes avec un air sévère, comme s’il passait des troupes en revue, prenant visiblement plaisir à les tourmenter. A tour de rôle, Il leur écartait les jambes et leur caressait les cuisses. Puis, de l’index et du pouce, il s’enfonçait dans leurs toisons humides et soyeuses, sentait leurs petites lèvres tendres et les forçait à s’ouvrir toutes grandes pour accéder au fragile nodule de chair, qu’il lutinait, allant et venant patiemment, jusqu’à ce qu’elles soulèvent les hanches et que, BR FV 17 11 Attachée2haletantes, convulsées, leurs pubis s’ouvrant et se fermant comme des petites bouches languissantes de plaisir, elles finissent par s’abandonner, le dos cambré, parcourues d’un terrible frisson.

En vis-à-vis, dans les niches opposées, était alignée une rangée de dix hommes, également nus. Très beaux, chacun à sa manière, ils offraient tous en commun la vision de leurs bouches bâillonnées et de leurs sexes durs et érigés, immobiles, tendus à l’horizontale, le bout luisant, sur le nid deBR FV 17 12 Attachée3 boucles qui leur assombrissait l’entrejambe. Le spectacle des jeunes femmes qui leur faisaient face les mettait au supplice et ils arquaient leurs hanches vers elles, exaspérés, implorant la grâce d’être soulagés du désir qui les raidissait.

Les uns avaient les membres écartelés, les chevilles et les poignets enchaînés au mur, leurs organes dressés malgré les poids que l’on avait fait pendre à leurs testicules. D’autres avaient les mains liées derrière la nuque et par dérision, ou pour ajouter à leur supplice, on leur avait noué une large faveur rose autour de la verge. D’autres encore, enfilés sur des phallus de cuir, mais différemment des femmes, avaient les mains attachées dans le dos et tentaient désespérément de se dégager afin d’abréger leur souffrance.

Un peu plus loin, un hoBR FV 17 13 Seinsmme se tenait à genoux, les mains liées dans le dos. Une jeune paysanne le fessait à coups de battoirs réguliers, tandis que, dans le même temps, elle actionnait son pénis avec lenteur. Lorsque ce dernier s’amollissait sous l’effet de la douleur, les coups cessaient quelques instants, puis la main s’occupait à nouveau de lui pour le faire durcir et l’épreuve recommençait. VictBR FV 17 14 Seins2ime de ce supplice apparemment sans fin, il exprimait dans sa douleur silencieuse toute la détresse du monde, tenaillé par l’envie de résister et celle de se soumettre.

La présence de Lady Alexandra les excitait encore davantage. Celle-ci s’était maintenant levée et paradait devant eux, ajoutant à leur émoi par les frôlements de son corps sublime. Elle lissait les cheveux de l’un pour lui dégager le front, plongeait son regard dans celui de l’autre, laissait ses doigts glisser sur une poitrine lisse, tordait le bout d’un sein, flattait la rondeur d’une fesse, griffait du bout des ongles le galbe d’un mollet ou l’intérieur d’une cuisse. Livrés à des suppliques muettes pour la satisfaction de leur plaisir, ils se tortillaient et se poussaient en avant en se débattant afin d’entrer plus étroitement en contact avec elle. Mais elle ne s’attardait pas et, délaissant l’un pour aller martyriser l’autre, elle se gardait de les assouvir.

Sur un signe de sa maîtresse, l’homme masqué plaça Béatrice à BR FV 17 15 Attachée4l’extrémité de la rangée des mâles et la fit mettre à genoux suffisamment près pour qu’elle puisse sucer le pénis du premier. Comme si sa délivrance ne pouvait plus supporter la moindre attente supplémentaire, celui-ci précipita son membre turgescent dans sa bouche. La BR FV 17 16 Hommesoubrette le lui pompa avec application. Elle ferma les yeux pour humer la fragrance délicieuse de la toison pubienne et goûter la saveur saline de sa peau, insensible aux mouvements du pénis butant contre le fond de sa gorge encore et encore entre ses lèvres. Elle sentait derrière elle l’homme masqué lui tenir fermement la tête entre ses mains et elle gémissait en cadence avec les mouvements de son partenaire. Les pressions de l’homme étaient fortes, presque brutales. Le rythme s’accéléra et elle le sentit jouir en elle dans une ultime poussée.

On plaça ensuite Béatrice devant le deuxième homme et elle dut pomper la queue longue et épaisse qui se tendait vers elle, sans égard pour ses protestations, étouffées, comme avec un bâillon, par les va-et-vient réguliers du membre au plus profond de sa gorge. Sa face était devenue douloureuse, sa bouche déformée, ses joues écarlates. La même épreuve se reproduisit devant le troisième homme, puis devant le suivant et ainsi de suite jusqu’au dixième.

BR FV 17 17 Attachée5Arrivée au bout de la rangée, Lady Alexandra ordonna à sa soubrette de venir lui baiser les pieds en signe de soumission. Tandis qu’elle était prosternée, elle autorisa l’homme masqué à la prendre par-derrière, devant elle, pour le récompenser de ses bons offices. Celui-ci ne se fait pas prier.

Béatrice fut ensuite attachée jusqu’au matin dans la niche vide qu’elle avait entrevue sans y prêter véritablement attention en entrant dans le pavillon. On veilla à lui attacher solidement les membres et à les tenir largement écartés afin de lui ôter toute tentation de se donner du plaisir durant la nuit. Pour prolonger ses tourments et afin de la maintenir douloureusement en éveil, les reins calés contre la pierre rugueuse et froide derrière elle, on tendit à la pointe de ses seins une fine chaînette en or, reliée en triangle vers le haut à l’anneau de son collier de chien.

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Mardi 6 juillet 2 06 /07 /Juil 06:00

BR FV 18 01 Nuse01Depuis plusieurs années déjà, un rituel particulier se déroule chaque deuxième jeudi du mois à Glendale House. Ce jour-là, Lady Alexandra ouvre les portes de son salon aux membres exclusivement féminins du club qu’elle anime. Juste quelques amies intimes, jugées sûres et discrètes. Qui ne manqueraient pour rien au monde ce rendez-vous. Ravies de se retrouver entre elles dans une ambiance agréable, elles se sentent libres d’aborder tous les sujets qui leur tiennent à cœur, des plus anodins aux plus intimes. Mais les apparences sont parfois trompeuses. Derrière le faux-semblant des conversations mondaines, ces dames se retrouvent en réalité dans un but bien précis : la sélection de jeunes mâles bien montés en vue de leur dressage, puis de leur mise à disposition des membres du club pour leur usage et leur agrément personnels.  

En ce jeudi d’octobre, la maîtresse de maison préside donc le jury chargé d’évaluer une série de candidats. Ceux-ci ont été contactés par téléphone après avoir répondu à une petite annonce parue dans la presse locale. Pour l’occasion, l’ensemble du pBR FV 18 02 Coeurersonnel masculin, y compris George, le majordome, a été renvoyé dans ses foyers, et c’est à Béatrice qu’a été confiée la mission de leur faire passer une visite médicale. Dans d’autres circonstances, Lady Alexandra aurait pu s’en charger elle-même mais dans le cas présent et principalement en raison de ses responsabilités de présidente du club, elle a dû s’organiser autrement.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Béatrice, ravie de changer pour uneBR FV 18 03 Nurse02 fois d’uniforme et de pouvoir enfin jouer à l’infirmière comme elle en rêvait depuis longtemps, a enfilé avec un plaisir non dissimulé une blouse blanche légèrement transparente. Elle a eu beau déclarer préalablement à sa maîtresse qu’elle ne porterait rien en dessous afin de se sentir plus à l’aise et libre de ses mouvements, Lady Alexandra, qui a parfaitement percé ses véritables motivations, n’a pas cédé d’un pouce. Elle portera une petite culotte blanche - très échancrée tout de même - et un soutien-gorge balconnet assorti. Une fois devant le miroir, Béatrice s’est finalement bien gardée de protester. Elle a déboutonné plus largement le col de sa blouse et s’est contemplée de dos, ravie. Lady Alexandra n’a rien ajouté et s’est contentée de sourire.

La matinée avance. Le cinquième et dernier candidat est introduit dans le vestibule et guidé à travers le dédale des couloirs jusqu’à une pièce qui fait office d’infirmerie. Un beauBR FV 18 04 Tension jeune homme un peu timide.

- Assieds-toi là [Elle lui désigne un tabouret métallique inconfortable placé devant une petite table]. Tu vas commencer par remplir cette fiche avec ton nom, ton prénom, ton âge et ton adresse. Pour le reste, nous verrons après. As-tu pensé à apporter ta lettre de motivation ?

Tutoiement calculé, comme si elle s’adressait à un gamin. Effet immédiat. Le candidat présente le document enBR FV 18 05 Nurse01 rougissant comme une pivoine. Et une fois assis, son trouble ne fait qu’augmenter au gré des allées et venues de l’infirmière qui s’amuse à passer et à repasser devant lui en le frôlant. Effet garanti. La blouse blanche laisse deviner les secrets de sa transparence. Excitation mêlée au trac. Que va-t-il se passer après ? Qui va-t-il rencontrer ? Au bout de quelques minutes, Béatrice lui retire sa fiche et en prend rapidement connaissance.

- Maintenant, déshabille-toi !

- Là, tout de suite ?

- Dépêche-toi, Madame a horreur d’attendre !

Il se débarrasse de sa veste, enlève avec une lenteur calculée ses chaussures et son pantalon comme s’il cherchait à reculer le plus possible cette échéance délicate, sous le regard amusé de la soubrette, debout devant lui, les poings sur lesBR FV 18 06 Gorge hanches. Il dénoue ensuite sa cravate, défait sa chemise et suspend celle-ci avec un soin méticuleux au dossier d’une chaise - tout en se demandant si son geste paraît crédible - dans l’idée de gagner quelques secondes supplémentaires. Parvenu à ce stade, il ne lui semble pas nécessaire d’aller plus loin. Un embarras évident se lit sur son visage. Le voilà maintenant en slip et en chaussettes devant la jeune fille BR FV 18 07 Réflexesqui le toise de la tête aux pieds. Humiliation. Émoi. Un début d’érection le gagne, qu’il tente maladroitement de dissimuler derrière ses mains en éventail.

- [La soubrette, à qui cette situation n’a pas échappé] Mais qu’attends-tu, retire ton slip ! Il faut bien que je voie ton zizi !

Le ton est impérieux. Impossible de ne pas se plier à l’ordre. De plus en plus gêné, le candidat s’exécute en baissant les yeux. Tandis qu’il se tourne à moitié sur le côté afin de dissimuler son trouble, il sent le regard de la jeune fille posé sur le renflement qui gonfle l’étoffe. Ses joues s’empourprent. Les battements de son cœur s’accélèrent. Le voilà entièrement nu. L’ultime vêtement qui voilait sa pudeur gît maintenant sur le sol, enroulé autour de ses chevilles. Son pénis tendu, immobile, arrogant, pointe en avant, le bout luisant.

Visiblement satisfaite, la soubrette enchaîne :

- Non, non, tes mains, pas devant, derrière ! Dans ton dos, j’ai dit, tu es sourd ou quoi ? Oui, voilà, très bien, c’est bBR FV 18 08 Longueureaucoup mieux ! Ce serait tout de même dommage de nous cacher tout ça ! Et puis, il n’y a vraiment pas de quoi avoir honte, je te trouve super mignon dans cette tenue. A mon avis, je ne devrais pas être la seule ! Maintenant, range tes affaires dans ce casier. Je le fermerai avec un cadenas dont je conserverai la clé. Elles ne te seront rendues que lorsque ma maîtresse m’en aura donné l’ordre.  

Comprenant que le piège est en train de se refermer sur lui, le 18 091candidat tente de faire machine arrière.

- Tout compte fait, je crois que je préfèrerais en rester là, si j’avais su, je n’aurais pas répondu à l’annonce.

- Ah non, c’est trop facile, tu n’avais qu’à y penser avant ! Monte plutôt sur la balance… combien lis-tu ?... parle plus fort, je ne t’entends pas… 67,4… bien, maintenant place-toi sous la toise, les talons et le dos bien droits contre le mur… 1,76 m… attends, je n’ai pas fini, reste là, il faut que je note tes mensurations.

Le mètre-ruban de couturière entre en action : tour de tête, de cou, de poitrine, de taille, de bassin, de poignet, de cheville. Béatrice reporte minutieusement le résultat de ses observations sur sa fiche et s’attarde plus longuement sur le sexe. Une rubrique entière est réservée rien qu’au pénis : longueur au repos, forme et épaisseur, diamètre à la base du scrotum, volume des testicules…

- Mais…. !!!!   BR FV 18 10 Tube01

- Il n’y a pas de mais, tous ces renseignements sont indispensables. Si tu es sélectionné, ces dames en auront besoin pour te faire faire des bracelets ou une cage à ta mesure !

- Une cage ?

- Oui, une cage… disons une cage à oiseau… portative en quelque sorte… enfin, tu verras bien !!!

- ?????????

- En attendant,BR FV 18 11 Nurse11 prends ce tube et fais-moi un petit pipi dedans.

- ………………

    - Ah non, ne me dis pas que tu n’as pas envie… ou que tu es gêné et que tu as besoin de t’isoler dans les toilettes…

Le comble de la perversité et de l’humiliation. Blocage. Impossible de se soulager. La pression est trop forte. Mais le visiteur comprend qu’il n’a pas le choix. Obéir. Éviter de se crisper. Se détendre. Penser à autre chose… oui, c’est ça, fixer son attention ailleurs… se laisser aller...

- Eh bien tu vois, ce n’était pas si compliqué !

Elle lui désigne la table d’examen :

- Allonge-toi.   BR FV 18 12 Fesses01

Ajustement des embouts du stéthoscope. Silence angoissant. Examen approfondi du rythme cardiaque. Contact glacé du pavillon métallique sur le torse.

- Respire normalement !

La sensation de froid se déplace, accompagnée de caresses du bout des doigts et de pincements furtifs à l’endBR FV 18 13 Fesses02roit des tétons.

Prise de la tension artérielle pour continuer. La poire se gonfle et se vide à mesure que le brassard se resserre. Concentrée, Béatrice incline légèrement le buste en avant afin d’offrir au candidat une vue plongeante sur son décolleté. Le résultat ne se fait pas attendre. La verge se met à durcir. Elle feint de ne rien remarquer.

- Redresse-toi.

Observation rapide de la gorge suivie du test des réflexes, en position assise, les jambes écartées et ballantes au-dessus du sol. Petit coup de marteau au niveau des genoux. L’érection ayant visiblement progressé, le moment semble venu de procéder à une inspection en profondeur des organes génitaux.

- Poilu mais raisonnablement, c’est bien ! J’adore ta toison rousse en couronne ! Mais si jamais ces dames changent d’avis, il n’y aura aucun souci, je me ferai un plaisir de t’épiler, j’adore ça !

- Ah non !!

- Mais bien sûr que si, et à la cire chaude en 18 141plus… pour un résultat impeccable… tu verras, ta peau va devenir lisse et douce comme celle d’un bébé… tu te sentiras plus à l’aise, plus propre, plus frais… plus juvénile… plus innocent… un vrai petit puceau à leur disposition… si tu veux un conseil, ne prends aucune initiative… elles seront trop contentes de t’apprendre des choses… de t’initier…

L’infirmière se saisit d’un double-décimètre.

- Eh oui, « longueur en érection », j’avais laissé la ligne vierge en attendant … il suffisait simplement de patienter… tu ne pensais tout de même pas que j’allais oublier BR FV 18 15 Nurse05de relever « le » détail, si j’ose dire, qu’elles attendent toutes avec impatience !

Suivant le regard intense de Béatrice posé sur son sexe, le candidat, incapable de dissimuler ses réactions les plus intimes, sent son engin se dresser avec insolence.

- [Béatrice] C’est trop gentil, je n’en demandais pas tant !

Sans ménagement, elle lui décalotte le gland et applique la règle graduée sur toute la longueur de sa verge avant de reporter la précieuse indication dans son dossier.

- Pas mal ! Pas mal du tout !... nettement au-dessus de la moyenne… et puisque tu es si bien disposé, je vais prélever un petit échantillon.

- Oh non !!!!

- Si, si, ça fait partie de l’examen… laisse-toi faire, une bonne branlée n’a jamais fait de mal à personne et puis, tu vas voir, j’ai le coup de main !  

Béatrice se saisit du sexe en érection et se met à BR FV 18 16 Nurse03le masturber avec tout le savoir-faire qu’on lui connaît. Sa pratique régulière de l’exercice - dans ses fonctions habituelles de soubrette - lui fait trouver rapidement un premier palier.

- Tu montes vite en régime mais tu es résistant ! Elles adorent ça ! Rien ne les contrarie plus que les éjaculateurs précoces !

Le test se poursuit à un rythme légèrement plus soutenu mais encore supportable. Comme si Béatrice se mettait à souffler sur des braises d’un feu en se reteBR FV 18 17 Nurse04nant de les enflammer, dans le souci pervers de l’exciter tout en l’empêchant de jouir, afin qu’il reste inassouvi.

- C’est bon, non ? Et là, maintenant, tu ne voudrais plus qu’une seule chose… que je mette un terme à ton supplice… et que je te finisse !

- Oh ouiiiii !!!

Qu’à cela ne tienne. Accélération finale. Résolue et énergique. Avec serrement des testicules et pincement du gland. Le liquide blanchâtre jaillit par saccades convulsives. Il n’en fallait pas tant pour remplir un tube. Béatrice en extrait quelques gouttes qu’elle porte à ses lèvres.  

- Abondant, chaud, crémeux, parfumé, un délice !

A peine remis de ses émotions, le candidat est interpellé à nouveau.

- Nous allons maintenant examiner tes petites fesses pour vérifier que tout est parfait aussi de ce côté-là ! Tiens-toi à la table, écarte les jambes et penche-toi en avant !

Béatrice enduit de crème l’extrémité d’un gant en latex et se présente à l’entrée du petit œillet qu’elle masse lentement par de légers mouvements circulaires, avant de s’engager résolument à l’intéBR FV 18 18 Nurse06rieur de façon à en évaluer plus précisément la souplesse et l’élasticité. Situation des plus délicates. Le candidat devient rouge cramoisi.  

- Aahh !

- Eh oui, mon biquet, qu’est-ce que tu crois ? Elles te prendront aussi par là, comme une petite femelle docile, il va bien falloir que tu t’y fasses. 18 191 

- Aahh, vous me faites mal !

- Allons, allons, un peu de tenue, c’est juste mon doigt… une caresse comparée aux gros godes avec lesquels elles vont t’enfiler !

- Aahh !  

- Voilà, j’en ai fini avec l’examen médical proprement dit. A présent, il faut que je te prépare. Montre-moi tes mains [Elle lui enserre les poignets dans des bracelets de cuir munis d’un anneau métallique]. Je n’ai pas fini [Elle lui attache autour du cou un collier de chien équipé de deux anneaux, l’un centré par-devant, l’autre par-derrière.]

- Ça va servir à quoi ?

- Tu le verras bien assez tôt. Attends, j’ai oublié quelque chose ! [Elle fixe par-devant, à l’anneau de son collier, une plaque ronde en cuivre sur laquelle est percé à l’emporte-pièce le chiffre cinq] N’oublie pas, c’est très important pour la suite, tu seras le numéro 5, tu te rappelleras, comme le parfum !

D’un hochement de tête, il fait signe qu’il a compris. Béatrice lui réunit les poignets derrière la nuque au crochet de son collier, de telle sorte que, les bras repliés et les coudes levés vers le haut, il se trouve subitement privé de l’usage de ses mains et de ses membres supérieurs.

- Oh non, pas comme ça, je vous en supplie !

- [Imitant la voix et les attitudes de sa maîtresse] Tais-toi donc, tu es ici poBR FV 18 20 Stéthoscopeur obéir. [Saisissant ses testicules, elle les presse l’une contre l’autre comme deux noix qu’elle s’apprêterait à craquer au creux de sa main] Tu as répondu à la petite annonce, mais as-tu réfléchi une seconde à ce qui t’attendait ?

- … [Le candidat ferme les yeux sans répondre]

- J’en étais sûre ! [Béatrice tire maintenant les testicules vers le haut en resserrant son étreinte à la base du sexe, comme si elle brandissait un trophée] Tu ne t’es pas trop posé de questions ? Tu as surtout pensé au plaisir, hein ? Et sans doute plus au plaisir que tu allais ressentir qu’à celui que tu allais donner ?

BR FV 18 21 Number5- Oui [Les doigts continuent à palper la paire de testicules et à les serrer fermement]

- Eh bien, tu as tort. Ici les hommes sont au service des femmes. Et ce sont elles qui ont tous les droits. Madame va t’expliquer tout cela. Elle t’attend.

Introduit par une petite porte dans une sorte d’antichambre mal éclairée, le candidat est sommé de s’asseoir à l’extrémité d’une longue banquette de skaï noir sur laquelle patientent déjà quatre autres hommes, nus comme lui et les mains attachées derrière la nuque. Au contact de ses reins sur ce revêtement glacial, un frisson le traverse. La pièce n’est pas chauffée. Face à lui, placardé au mur, le règlement intérieur du club confie aux femmes tous les pouvoirs sur les hommes, ces derniers renonçant à l’intégralité de leurs droits. Béatrice vérifie une dernière fois l’ordre d’entrée en piste des candidats en parcourant du regard la séquence croissante des numéros pendus à leur cou.

- [Lady Alexandra, venant aux nouvelles, par la porte entrebâillée] Alors, Béatrice, tu as bientôt fini !

- Voilà, voilà, Madame, ils sont prêts, je vous les amène !

Par Béatrice - Publié dans : Exhibition - Communauté : blog sexe des amis
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Vendredi 6 août 5 06 /08 /Août 06:00

19 01Les cinq candidats préparés par Béatrice patientent dans l’antichambre, avant d’être conduits auprès de Lady Alexandra et de ses amies du « Club du jeudi » qui papotent gaiement entre elles. Des fenêtres entrebâillées s’échappent des rires aigus, semblables à des gloussements d’écolières. La robe dorée d’un vin de champagne embue les flûtes à motifs dépolis en cristal de Bohème. Dans un bruissement délicat,19 02 les bulles fines remontent à la surface en serpentins perlés. Une coupelle en argent posée sur un guéridon recouvert d’un napperon blanc offre à chaque invitée un assortiment de fraises écarlates. Les lèvres maquillées s’entrouvrent et se referment, gourmandes, sur les fruits appétissants. Les regards brillent de plaisir. Des clins d’œil s’échangent. La soubrette, attentive et discrète, circule entre les tables avec élégance. Sa maîtresse feint d’ignorer l’ambiance fébrile qui se développe. Le spectacle va bientôt commencer. L’excitation est à son comble.

- Béatrice, pose ton plateau et fais entrer le numéro 1.

- Bien, Madame.

La domestique se d19 03irige vers l’antichambre et revient, suivie du premier candidat. Celui-ci marque un brusque mouvement de recul, intimidé par le cadre qu’il découvre et par la présence des cinq jeunes femmes assises en cercle comme les jurées d’un examen. Il sent leurs yeux inquisiteurs l’examiner de la tête aux pieds et s’attarder sans aucune pudeur sous son nombril. Le rose lui monte aux jo19 04ues. Il était loin d’imaginer une telle entrée, dans le plus simple appareil, les poignets attachés derrière la nuque à son collier de chien, accompagnée de soupirs de satisfaction, de murmures de contentement, de commentaires flatteurs. Lady Alexandra, assise au centre, impassible, calme le brouhaha et impose le silence.

- Approche.

Elle fixe une laisse métallique par-devant à l’anneau de son collier et le tire vers elle de sa main gauche, tandis que sa main droite se met à parcourir son corps pour en évaluer la musculature. Ses doigts fins errent sur son buste, descend19 05ent le long de ses jambes, puis griffent du bout des ongles, en remontant, la chair tendre de ses cuisses. Ils s’arrêtent longuement sur ses testicules qu’elle prend un soin particulier à soupeser et à masser en les réchauffant au creux de sa paume.

- [S’adressant à sa voisine] Qu’en penses-tu, Véronique, toi qui les aimes poilus ?  

La laisse change de main. Tiré 19 06en avant, le candidat fait quelques pas vers son interlocutrice. Celle-ci se livre à un examen approfondi. Elle semble éprouver beaucoup de plaisir à peigner sa large poitrine velue entre ses doigts et, plus bas, la toison brune qui assombrit son entrejambe. Obéissant, l’homme se tourne pour lui présenter ses fesses, qu’elle caresse tour à tour lentement afin d’en apprécier la rondeur et la fermeté, avant de les écarter avec vigueur et de présenter son doigt gracile à l’entrée de son anus. L’homme tressaute et laisse échapper un gémissement qui la fait sourire.

- [Lady Alexandra] Béatrice, montre-moi sa fiche.

- Tout de suite, Madame.

La maîtresse de maison 19 07parcourt rapidement le document jusqu’à ce qu’elle trouve la rubrique consacrée aux mensurations. Son doigt s’arrête sur la ligne « sexe » qu’elle désigne d’un air entendu à sa voisine en souriant. Pendant ce temps, la visite continue. La laisse passe de mains en mains, et avec elle, le candidat, qui doit se résigner, à son corps défendant, à subir les caresses très intimes des autres invitées, impatientes de pouvoir juger par elles-mêmes des qualités physiques du candidat.

- [Lady Alexandra] A genoux ! Nous t’écoutons exposer tes motivations à ha19 08ute et intelligible voix. Ah oui, c’est vrai, tu as les mains attachées. Attends, Béatrice, mets-toi là, tu vas tenir sa lettre devant toi, à hauteur de ses yeux, oui comme ça, c’est parfait. Tu peux commencer, et surtout n’oublie pas, parle bien fort !

- « Maîtresse…  

- Plus fort !

- « Maîtresse, je me suis mis entièrement nu devant ma table pour écrire cette lettre par laquelle je fais l’aveu de mon entière soumission à votre autorité. Je m’engage à vous obéir servilement, à me tenir à votre disposition quand vous me l’ordonnerez et à subir de vous, ou de toute autre personne de votre choix, les punitions et humiliations que vous jugerez bon de m’infliger. Je m’engage également à livrer mes fesses, mon sexe et mon corps tout entier à votre regard ainsi qu’à celu19 09i de celles et ceux que vous aurez invités à jouir du spectacle de mon humiliation. Vous m’imposerez de revêtir les vêtements et les dessous que vous aurez choisis afin de mieux me faire ressentir mon humiliante condition d’esclave et vous me corrigerez très sévèrement autant de fois que vous l’estimerez nécessaire, jusqu’à ce que je devienne une petite chose docile entre vos mains, prête à satisfaire le moindre de vos caprices. »

Le numéro 1 lit son texte d’u19 10n seul trait, en retenant son souffle, conscient de s’infliger par ses propres paroles un début d’érection que ses liens l’empêchent de dissimuler. Son débit est précipité. Il craint d’être interrompu à tout moment ou de devoir recommencer. Quand il relève la tête, à sa grande honte, c’est une rangée de paires d’yeux rayonnants, presque hilares, qui le fixent intensément.  

- [Lady Alexandra] Ce sera tout pour le moment, va te mettre là-bas, le long du mur. Oui, c’est ça, tourné vers nous en position de soumission : à genoux, jambes écartées, mains sur la tête et les yeux baissés. Je ne veux pas t’entendre. Béatrice, fais entrer le numéro 2.

Le candidat se présente dans la même tenue que le précédent. Son arrivée s’accompagne de19 11 oh ! et de ah ! enthousiastes. Béatrice se penche à l’oreille de sa maîtresse :  

- Madame n’a encore rien vu, le numéro 3 a une bite énorme !

- Béatrice ! Je t’interdis de parler comme ça, tu as entendu ? Fais-moi penser à te laver la bouche avec du savon pour la peine !

- Oui, Madame, excusez-moi, Madame, ça m’a échappé !

Tandis que le candidat et la fiche q19 12ui le concerne circulent de main en main, la maîtresse de maison prend connaissance de sa lettre de motivation. Elle s’aperçoit qu’elle n’a pas été rédigée par l’intéressé lui-même mais par sa compagne.

- Ah, voilà une situation intéressante, une dame nous invite à prendre en main Monsieur. Cela me semble tout à fait envisageable, [Se tournant vers une autre de ses amies] qu’en penses-tu, Patricia ? Et si tu lui lisais ce qui l’attend ? [Patricia accepte avec empressement. On a demandé au numéro 2 de se tourner légèrement vers elle et de la regarder bien en face]

- « Bijou, j’ai décidé de te faire dresser comme un petit chien. Je vais t’offrir en pâture à une femme autoritaire qui saura te rendre soumis et obéissant. Elle prend19 13ra ton corps comme bon lui semblera, et t’humiliera pour mon plaisir et pour le sien. Je lui demande de faire subir à ton joli petit derrière de sévères fessées. Tu vas pleurer de souffrance et de bonheur, je te le promets. »

Ménageant ses effets, Patricia s’accorde une pause, en proie à un sentiment de jubilation qu’elle a du mal à contenir. L’ex19 14citation la gagne. En croisant et en décroisant perversement les jambes très haut sur ses cuisses, elle offre à l’homme à genoux devant elle la vision du triangle sombre de son sexe sous un nylon transparent de couleur chair.  

- « Tu ne pourras pas t’opposer à être pénétré par tout ce qu’elle te présentera, y compris dans les positions les plus humiliantes. Elle t’apprendra à sucer un homme, même si cela te répugne. J’espère que ta première queue sera bien grasse et bien longue. En plus, elle te forcera à goûter ton propre sperme qu’elle fera jaillir de ton misérable petit sexe à force de te branler jusqu’au supplice. Il te sera impossible de te révolter, même si tu en as envie, car tu seras ligoté et bâillonné. J’ai tout mon temps. Tôt ou tard, tu finiras par devenir mon esclave. Tes fesses vont devenir écarlates et tes yeux se voiler de larmes, mais ton obéissance sera totale. »

Les joues empourprées, le front moite et le pénis tendu, l’homme rejoint à genoux, sous l19 15es rires des femmes, son compagnon d’infortune aligné le long du mur, tandis que le troisième candidat est à son tour introduit dans le petit salon pour être soumis au même interrogatoire. La scène se reproduit à l’identique à l’intention du numéro 4, puis du dernier, le numéro 5. Contrairement à tous les précédents, ce19 16lui-ci est entièrement épilé. Ses jambes fines et ses fesses lisses et potelées rencontrent un succès certain auprès des dames.  

- A genoux, nous t’écoutons !

- [Le candidat, intimidé]. « Maîtresse, je rêve que vous fassiez de moi un esclave féminisé. Vous me dresserez à me donner en spectacle devant un public de jeunes femmes qui se moqueront de moi et de mes contorsions. Vous aurez tous les droits. Celui de vous amuser à m’habiller avec des sous-vêtements féminins. Celui aussi de me prendre en photo dans des positions humiliantes. Vous saurez me révéler à moi-même. Je ne suis qu’un petit puceau en culottes courtes qui mérite le martinet. Qu’une soubrette prête à se plier à vos moindres désirs. Vous me mettrez au coin comme une écolière vicieuse, les jupes relevées et épinglées dans le dos. Vous pourrez vous distraire en m’obligeant à raconter tous mes fantasmes les plus secrets, ceux dont j’ai le plus honte, avant de me forcer à les accomplir devant vous. Je me prosterne à vos pieds pour baiser le talon acéré de vos escarpins noirs. »

- Ça suffit, va rejoindre les autres ! Eh bien, Mesdames, quel programme, nous n’avons pas fini de nous amuser !

Par Béatrice - Publié dans : Exhibition - Communauté : blog sexe des amis
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  • : Béatrice ou l'éducation d'une jeune soubrette
  • : Quelques épisodes marquants de la vie de Béatrice, jeune soubrette débutante, au service de Lady Alexandra, son implacable maîtresse.
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  • : 05/02/2009

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