Sur le damier noir et blanc, impeccablement ciré, du hall d’entrée de Glendale House, on entend résonner les talons hauts de Lady Alexandra. Celle-ci s’apprête à se
rendre à un cocktail chez ses amis, Lord Winston et Lady Camilla Harmsworth. Pour l’occasion, elle a revêtu son tailleur noir préféré, dont la sobriété et l’élégance mettent en valeur la
perfection de sa silhouette. Un sourire éclaire son visage tandis qu’elle contemple les reflets ambrés de ses cheveux blonds dans le miroir, au-dessus d’une console italien
ne de bois doré, encadrée par deux splendides potiches de la Compagnie
des Indes.
Elle se sent au mieux de sa forme. Superbe. La plus belle parure d’une femme, c’est le désir qu’elle inspire. Sa jupe, courte mais sans excès, fait ressortir le galbe de ses jambes, tandis que les pans de sa veste, suspendus au-dessus de sa taille pour en souligner la finesse, se croisent avec naturel sur sa poitrine dénudée. La doublure d’organza est là pour tout montrer sans rien laisser voir. La promesse d’un décolleté généreux, ferme, triomphant. C’est le style qu’elle affectionne, à la fois strict sans être austère, provoquant dans la limite du convenable, classique mais original, attirant sans tomber dans la vulgarité. Une broche, figurant un grand nœud double en cristal, épanoui autour d’une pierre centrale à laquelle est reliée une pendeloque en poire, égaye l’ensemble.
- Dépêchons-nous, Béatrice, la voiture est prête ?
- James
est prévenu, Madame, il ne devrait pas tarder
à arriver. [Au même moment, on entend les pneus de la Bentley crisser sur le gravier, au pied du perron]
- A ce soir, Béatrice, tu n’oublieras pas de préparer ma chambre pour mon retour.
- Non, Madame. [Le chauffeur ouvre la portière, sa casquette à la main. Lady Alexandra s’installe. La soubrette, en
haut des marches, et George, légèrement en retrait sur le se
uil, regardent la limousine s’éloigner lentement vers la grille du parc.]
Sans perdre un seul instant de liberté, Béatrice fait demi-tour, gravit prestement les degrés de l’escalier qui conduit au premier étage, et s’enferme dans la salle de bains de Lady Alexandra. C’est la pièce qu’elle préfère. Elle peut y partager l’intimité de sa maîtresse, dans une atmosphère feutrée, propice au silence et à l’apaisement. Les couleurs pastel des murs et des tissus enveloppent la pièce d’une lumière tamisée.
Il y flotte un parfum gourmand et sensuel, une fragrance entêtante qui marie la tubéreuse et l’héliotrope. Partout, sur
des étagères, dans un ordre impeccable, sont rangés des flacons de toutes les tailles et de toutes les couleurs, des pots remplis de pinceaux, de brosses et de peignes, des tubes de fond de
teint, des eaux de toilette, des ombres à paupières, des eye-liners, des crayons à œil et à sourcils, des bâton
s de mascara et de rouge à lèvres, des nuanciers de poudres, des vernis
à ongles, des toniques hydratants, des laits corporels, des lotions démaquillantes, des masques « coup d’éclat », des défatigants éclairs contour des yeux, des nettoyants moussants
doux, des sublimateurs de teint, des baumes embellisseurs...
Plongée dans l’univers secret de la beauté et de la femme, Béatrice s’installe devant le miroir serti d’une double rangée
d’ampoules, semblable à celui d’une loge de théâtre. Un mince bandeau élastique rose tire ses cheveux en arrière. Elle
observe son visage. Face. Profil. Trois quarts. Les expressions
de sa maîtresse lui reviennent à la mémoire. Elle prend un plaisir évident à imiter ses gestes, et plisse les yeux comme elle pour ne distinguer, entre ses cils, qu’ombres et
lumières.
- [Dialoguant avec elle-même] Reste calme, Béatrice, Madame ne va pas revenir de sitôt ! Alors ne brûle pas les étapes, prends ton temps et tâche de te rappeler comment elle s’y prend. D’abord, le visage. Elle le nettoie, avant d’appliquer un fond de teint fluide et fondant au moyen d’une éponge souple. Va bien jusqu’à la racine des cheveux. Profites-en pour couvrir l’esquisse d’un cerne, une petite rougeur sur l’aile du nez, un pli infime à la commissure des lèvres. N’oublie pas le cou. Maintenant, passe un léger voile de poudre avec la houppette afin de donner à la peau un aspect mat et satiné.
Son visage se tend sous l’illumination. Béatrice se sourit. Son visage et son corps sont ses meilleurs atouts, le seul capital sur lequel elle peut compter.
- Ensuite les yeux. Ess
entiel, les yeux. Tu as la chance de les avoir bleus. Il faut que
l’harmonie des couleurs de l’ensemble du maquillage s’appuie sur cette dominante et que tu choisisses, pour la mettre en valeur, une ombre à paupières de la même teinte ou d’un ton
complémentaire.
La domestique examine attentivement plusieurs nuances, les compare entre elles, hésite, et se lance. Elle recouvre sa
paupière supérieure d’ombre blanc irisé puis, avec un pinceau
plus fin, elle dépose du bleu très pâle en halo. Tandis qu’elle
s’applique à souligner ses cils d’un trait d’eye-liner, la porte de la salle de bains s’ouvre brusquement. Blandine apparaît, son plumeau à la main, interloquée.
- Mais qu’est-ce que tu fabriques ici ?
- Occupe-toi donc de tes affaires et va-t-en !
- Tu peux compter sur moi pour le dire à Madame quand elle rentrera !
- Dénoncer les autres, c’est tout ce que tu sais faire, tu ne penses qu’à ça pour te faire bien voir !
- Et toi, à jouer les midinettes en tortillant du derrière !
- Je te préviens, Blandine, si tu en parles à Madame, je n’hésiterai pas une seconde à lui dire à quoi tu passes ton temps dans la grange avec Edward, le garçon de ferme !
Blandine hausse les épaules, excédée, les yeux au ciel, et repart en claquant la porte rageusement. Béatrice sourit,
pousse un profond soupir et approche son visage du miroir pour allonger ses cils avec un mascara bleu.
- Où en étais-je ? Ah oui, maintenant, les joues. Super important aussi les joues ! Mais avec mon visage un peu rond, il vaut mieux que j’applique un ton de blush plus soutenu dans le creux des pommettes. Légèrement rougissante, pas trop, comme une enfant prise en faute, les hommes adorent !
La soubrette imagine la scène, se comp
ose une mine ingénue, baisse les yeux docilement, puis les
relève en feignant d’adopter un air coupable.
- C’est parfait, Il faut que je m’entraîne à rougir sur commande et à garder les cils fermés sur les paupières. J’ai bientôt terminé, il me reste la bouche.
Elle agrandit celle-ci en redessinant ses lèvres avec un crayon violet, puis leur donne du volume en appliquant le plus clair des rouges à lèvres au milieu et le plus foncé sur les côtés. Un soupçon de gloss vernit le tout, comme une pellicule de sucre candi autour d’une pomme d’amour.
- Sourire aux hommes, attirer leurs regards sur ma bouche, les laisser fantasmer sur ce coquillage nacré, entrouvert
sur un abîme de sensualité. Voilà, j’ai fini. Si j’osais, je me vernirais aussi les ongles. Oh, et puis non, dans mon emploi, il vaut mieux que je reste classique : un teint invisible, des cils
fournis et détachés, une bouche impeccable. Je crois que ça plairait à Madame, si je pouvais lui montrer.
Tout à ses pensées, et alors qu’elle continue à s’admirer dans la glace, Béatrice entend du bruit, de l’autre côté de la cloison, dans la chambre de sa maîtresse.
- Blandine, je vais finir par m’énerver, je t’ai déjà dit de me laisser tranquille !
La porte s’ouvre brutalement. A la place de Blandine, c’est Lady Alexandra qui fait irruption dans la salle de bains. Terrorisée, la soubrette se lève précipitamment.
- Mais Madame, vous êtes déjà revenue ? Je croyais que vous deviez rentrer beaucoup plus tard !
- Eh bien, il ne faut pas croire tout ce que je dis, petite sotte, j’aime beaucoup réserver des surprises à mes domestiques, et puis j’étais sûre que tu allais faire des bêtises dans mon dos ! Est-ce que j’avais tort ?
- Je n’ai rien fait de mal, Madame.
- Tais-toi, insolente, approche-toi, non mais tu as vu comment tu t’es grimée ? Tu te crois au cirque ? [Intérieurement : si c’est son premier essai, elle est plutôt douée, cette petite !] Aurais-tu oublié que je t’ai strictement interdit de te maquiller ? Mets-toi immédiatement au coin, à genoux, les mains sur la tête.
Attirée par les éclats de voix, Blandine, radieuse, s’empresse de se mêler à la conversation.
- C’est bien fait pour toi, Béatrice, tu ne l’as pas volé ! Je t’avais prévenue ? Et en plus, je n’ai même pas eu besoin de t’accuser !
- [Lady Alexandra] George, mais où est-il encore passé celui-là ?
- [Cauteleux] Madame m’a appelé ?
- Oui, George, vous allez dresser le chevalet dans le petit salon et m’apporter mon martinet, nous vous rejoignons dans quelques minutes.
- Tout de suite, Madame. Le petit martinet à manche jaune ou celui à longues lanières ?
- Les deux.
- Bien, Madame. Madame souhaite-t-elle que la correction soit donnée en présence des autres domestiques ?
- Naturellement, George, convoquez le personnel au grand complet et dépêchez-vous !
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reste encore très insuffisant
!
fantôme] Madame m’a appelé ?
plongeant et
ses cils sagement recourbés sur ses paupières, comme ceux, endormis, d’une poupée de porcelaine.
qu’une leçon apprise et répétée, se transforme insensiblement en une
pulsion incontrôlable.
doté d’un plantoir magnifique, c’est pour ça que je l’ai pris à
mon service !
écoute-moi attentivement, c’est très important pour la suite, parce
que ça fera partie de ton service quand je recevrai des invités.
, comme si tu t’apprêtais à déguster un fruit. N’oublie pas de rester souriante et de lui montrer que toi aussi, tu ressens du plaisir.
squerie et reste concentrée. Pendant que tu l’actionnes doucement de
haut en bas, ta bouche doit maintenant s’activer en priorité sur le gland, c’est lui qui est le plus sensible.
plaisirs, tu devrais rapidement identifier les caresses auxquelles il est le plus sensible.
ucher une trompette ou de souffler dans un ballon
interprété comme un
réflexe de dégoût de ta part et donc d’indisposer ton partenaire.
me mouvement de déglutition que
celui que tu ferais pour avaler un comprimé un peu trop volumineux. De cette façon, tu arriveras à tes fins tout en surmontant la sensation nauséeuse très désagréable que tu éprouves en ce
moment.
ent de sa langue. Elle sait,
devine, choisit, soit de calmer, soit au contraire de stimuler, jusqu’à l’accélération finale, lorsqu’elle sent le plaisir monter, le gland buter au fond de sa gorge encore et encore et libérer
enfin sa liqueur blanchâtre en spasmes puissants, dans une ultime poussée.
Le temps d’un week-end, Lady Alexandra a la joie d’accueillir à Glendale son amie Marie-Gabrielle, une Française avec laquelle elle suivait les cours de dessin de l’École du Louvre, quand
elle était étudiante à Paris. Celle-ci est maintenant styliste dans une grande maison de couture. Très élégante, plutôt snob, elle aurait pu devenir mannequin. Elle en a la silhouette et le
maintien, un mélange d’aisance naturelle et de retenue calculée, agrémenté d’une note de fantaisie. On la
sent indiscutablement plus à l’aise dans un cocktail qu’à la campagne.
- Tu sais, Béatrice, mon amie va être ravie de te rencontrer. C’est une occasion inespérée d’enrichir ton éducation. Il faut simplement que je t’avertisse, elle adore la compagnie des
jolies femmes. A mon avis, tu vas beaucoup lui plaire. Alors attends-toi à ce qu’elle te fasse des avances et à ce qu’elle te demande de te montrer très… attentionnée, si tu vois ce que je veux
dire.
savoir m’y prendre, un homme serait certainement beaucoup plus à la hauteur.
- Bien, Madame.
Bonjour, ma belle, tu ne peux pas savoir combien je suis heureuse de faire ta connaissance, ta maîtresse m’a beaucoup parlé de toi, tu sais.
tête
aux pieds.
assise devant elle est loin de la laisser indifférente. Elle
perçoit même un léger malaise. De son côté, Marie-Gabrielle n’a que faire de préliminaires inutiles. Elle écarte la culotte de la soubrette par-devant et introduit un premier doigt, puis un
deuxième, à l’intérieur de son sexe. Le rouge monte aux joues de la jeune fille. Sous
l’emprise de la honte, elle tente de serrer les cuisses de façon à faire obstacle à ce geste inconvenant, mais on l’en empêche.
caresse. La jupe du tailleur glisse dans un crissement de soie.
Pour seul vêtement, l’amie de sa maîtresse porte un porte-jarretelles noir transparent. Tendu sur une paire de bas ajourés, il encadre comme une gravure la toison soigneusement taillée de son
pubis. Les jambes écartées, les yeux mi-clos, Marie-Gabrielle semble déjà flotter dans une sorte de torpeur extatique. Les mains expertes de la soubrette se mettent à la parcourir tout entière.
De l’une, elle se saisit d’un sein, le palpe, en fait rouler le téton entre ses doigts jusqu’à le sentir se durcir. De l’autre, elle griffe de ses ongles acérés l’intérieur des cuisses, là où la
peau est la plus tendre.
couragements, Béatrice prolonge son supplice pendant de longues
minutes. Sa langue se glisse, disparaît, revient, enveloppe, aspire. La sentant enfin raidie et portée à son point d’incandescence, elle accélère alors ses caresses et prend un malin plaisir à la
faire délirer sans relâche, haletante, le cœur battant, les seins dressés, le dos arqué, jusqu’à ce que, prise de convulsions incontrôlables, elle se détende d’un coup, moite de plaisir, dans un
rugissement sonore…
upe de toi après ce que tu viens de lui faire ! Ne t’inquiète
pas, à sa place, je connais quelqu’un qui acceptera volontiers de te satisfaire. Attends juste un instant ! George ? George ? Où est-il donc encore passé celui-là ?
ce d’un pas solennel et vient se placer à droite de la maîtresse de maison, les jambes écartées, les bras croisés sur la poitrine, dans une
attitude de défi, tel un bourreau juché sur son estrade, appuyé sur sa hache, le regard hautain et fixe au-dessus de la foule. Son corps est totalement imberbe, y compris son crâne, poli comme
une boule de billard, et le loup noir qui couvre le haut de son visage accentue la mobilité de ses yeux clairs. Pour tout vêtement, il porte un slip noir très échancré et équipé,
par-devant,
d'une fermeture-éclair que Lady
Alexandra se fait un plaisir de descendre lentement sous les yeux de sa soubrette, afin de dégager des attributs exceptionnels : un pénis énorme, long et épais, légèrement tendu, que vient
encadrer une paire de testicules démesurés. L’ensemble est épilé avec minutie, ce qui contribue à en souligner les dimensions inhabituelles.
ébut à tout, Béatrice ! Pour le moment, tu vas obéir bien gentiment et commencer par te déshabiller. Harry va t’ausculter.
s’est maintenant saisi de ses tétons qu’il pince pour
les faire rouler entre ses doigts. La soubrette se mord les lèvres pour ne pas crier. Sa poitrine ne tarde pas à se dresser. Le colosse accentue sa pression pour l’observer se gonfler. La main
remonte ensuite vers le visage et force la bouche à s’ouvrir. Le petit doigt écarte les lèvres et s’attarde au contact de la langue qui se dresse
comme le bec d’un oisillon hors de son nid, puis il cède
la place à l’index, pour terminer par le pouce. Comme s’il s’agissait d’un geste naturel ou d’un réflexe conditionné, Béatrice se met à le sucer lentement, les yeux fermés, et continue sans s’en
rendre compte à tendre le cou en avant lorsque Harry recule légèrement sa main.
de poursuivre leur examen clinique : au toucher, le
petit organe érectile semble bien développé, l’entrée du vagin, de son côté, est étroite et déjà lubrifiée.
onguement pour en apprécier la rondeur, avant
d’en tester la fermeté par quelques grandes claques sonores, auxquelles elle réagit instantanément en se débattant avec vigueur. Il n’hésite pas à les écarter pour observer le petit œillet qui
sommeille et à réveiller celui-ci en y introduisant prudemment l’extrémité de son doigt, auquel il imprime un mouvement de va-et-vient pendant quelques instants.
ouriant le géant à travers son masque tout
en décalottant délicatement sa verge. Sa langue parcourt langoureusement la hampe, descend jusqu’aux testicules qu’elle aspire avec soin, remonte jusqu’au
gland, le titille avec la pointe, puis, la bouche grande ouverte, l’introduit avec gourmandise entre ses lèvres pour le sucer et le pomper avec la plus grande application. Ses petites dents
l’enserrent par-derrière, au niveau de l’ourlet, et le tirent légèrement en avant, pour le retenir prisonnier quelques instants, puis l’engloutissent au plus profond de sa gorge, comme si elle
l’avalait en entier. Surpris par l’ardeur de la jeune fille, Harry tente de se retirer précipitamment, m
ais elle l’en empêche et poursuit sur sa lancée jusqu’à ce qu’il se vide en elle. Les joues pleines de la semence du colosse, elle se
retourne pour adresser un clin d’œil victorieux à Lady Alexandra qui observe la scène avec intérêt. Bien qu’un peu décontenancé par la tournure des évènements, Harry se ressaisit et ne laisse
rien paraître.
comme un
bélier. Ses poussées s’intensifient. Béatrice prend un malin plaisir à le stimuler. Elle tend ses fesses en arrière pour aller au-devant du membre et elle contracte au maximum ses muscles afin de
le retenir dans le chaud fourreau qu’elle lui offre. Elle résiste avec une énergie peu commune. Petit à petit, les rapports s’inversent. Maintenant c’est elle qui impose son rythme et en
définitive, le vainqueur n’est pas celui que l’on attendait. La soubrette est rayonnante quand elle le sent à nouveau s’abandonner e
n elle.
t des mouvements réguliers qui l’animent, une phase de
soulagement, puis de plaisir. Elle aime se sentir empalée, livrée impuissante au membre turgescent qui la transperce, la secoue, la projette en avant, enfoncée jusqu’à la garde, les testicules de
son partenaire collés contre ses reins. Les coups de boutoir s’accélèrent. Lady Alexandra sourit. Elle parierait volontiers que sa domestique fait tout son possible pour resserrer son étreinte
sur l’engin qui la traverse. Elle a vu juste : à nouveau vaincu, le colosse grimace et finit par se répandre en elle en longs jets chauds et puissants.
ce renfile sa tenue de soubrette, Le « docteur » s’adresse à la maîtresse de maison.
rretelles de son corset] Je ne me lasserai jamais
de contempler tes rondeurs adorables [Elle les caresse longuement], douces et lisses comme celles d’une fillette. Son doigt s’insinue entre celles-ci et la pénètre délicatement.
, vous allez me faire mal !
ixée au sol. Dans une cannelure qui la traverse de haut en bas, une sorte de rail métallique à crémaillère a été insérée. Celui-ci est équipé d’une pièce recourbée à angle droit,
métallique également, et que l’on peut régler en hauteur en la faisant coulisser sur l’axe central.
eorge,
aidez-moi à la préparer.
, dresse-toi sur la pointe des pieds [La soubrette obéit sans réfléchir et Lady Alexandra en
profite pour bloquer le godemiché le plus haut possible]. Voilà, c’est parfait !
moyen pour commencer, une queue ordinaire, si j’ose
dire. C’est pour t’habituer. Il y en a de beaucoup plus grosses. Dans quelque temps, tu seras pénétrée comme ça par le sexe de mes invités. Je leur demanderai de se présenter en file indienne
derrière toi pour te limer à tour de rôle !
euse, pour une première fois, je n’ai pas forcé. J’aurais pu être moins indulgente. Tu verras, dans quelques jours, tu n’y feras même plus
attention. Pense à autre chose et reste tranquille, c’est ce que tu as de mieux à faire.
uc très court, mais de section énorme. Elle le lui introduit de force entre les lèvres avant qu’elle ait pu pousser le moindre cri de protestation et resserre derrière sa nuque la lanière
de cuir qui le retient. Il lui remplit la bouche, sans y entrer non plus trop profondément.
ue tu es !
jupe de sa soubrette par-devant afin d’exhiber le haut de ses cuisses nues et son pubis
épilé.
ans de meilleures
dispositions !
Comme annoncé, Lady Alexandra met à exécution son plan « Gwendoline », axé sur des exercices quotidiens d’assouplissement de nature à « détendre » progressivement sa domestique.
Béatrice se soumet de mauvaise grâce à l’épreuve, aussi douloureuse qu’humiliante, et redoute par-dessus tout de devoir l’endurer encore pendant plusieurs jours.
longtemps. il va falloir utiliser les
grands moyens. George, mais où est-il encore passé celui-là ?
offret en bois précieux, brun sombre veiné de noir, au couvercle serti d’ornements
floraux en marqueterie de citronnier, d’érable et d’ivoire, dans un dégradé de tons identique à ceux du motif central figurant les armes de la famille Ashley. L’intérieur de la cassette est
divisé en plusieurs compartiments qui abritent une sélection de tiges en bois ou en résine, moulées à l’imitation d’un sexe en érection, soigneusement rangées de la plus mince à la plus épaisse.
La maîtresse de maison se surprend à sourire en contemplant cet alignement de phallus dressés dont la caractéristique commune est de s’élargir à la base, de telle sorte qu’ils ne puissent pas
remonter à l’intérieur du corps et laisser se resserrer le muscle en forme d’anneau qu’ils ont précisément pour objet d’écarter et de distendr
e. Elle en caresse sensuellement les formes du regard, concentrée sur le choix le
plus adapté à la morphologie de sa domestique.
ux et tiens-toi les chevilles avec
les mains.
ec tes hanches, oui, et ouvre-moi ça, voilà, continue, encore, c’est
beaucoup mieux !


!
s roses,
parfaitement épilées] Il te va à ravir ! Demain, je te mettrai un modèle plus gros et à la fin de la semaine, tu devrais être fin prête. Nous pourrions organiser une petite fête avec quelques
amis pour célébrer l’évènement, qu’en penses-tu ?
tonome. Comme si elle participait délibérément à son supplice par les mouvements de
son propre corps.
galement recommandé d’habituer Mademoiselle Béatrice à garder les seins tendus
?
aussi de celles du bas !
les plis de sa jupette noire. A remonter imperceptiblement celle-ci juste à la bonne hauteur. Celle qui dissimulera à peine pour dévoiler beaucoup. A centrer
innocemment son petit tablier blanc par-devant. A en arranger les boucles par-derrière. Pendant que sa maîtresse a le dos tourné, elle lui tire la langue comme le ferait une gamine et s’adresse
un clin d’œil ravi dans le miroir.

par un petit tablier, Blandine, rousse, discrète, se tient en
retrait.
circonflexe vers sa maîtresse et replonge aussitôt dans ses
rêves, le museau contre le tapis] Redresse-toi et tiens-toi de profil. Oui, comme ça, bien droite, cambre les reins et bombe la poitrine ! Encore !
comme ça ! Plus haut ! [Les
invités découvrent ses jarretelles noires impeccablement tendues en haut de ses cuisses nues]
Comment peux-tu oser offrir ce vieux Bricout à moitié éventé
?
hauteur et lui murmure à l’oreille :
sauces colorées à base te tapenade, de
guacamole et de poivron confit. Elle se penche le plus possible en avant, tout en gardant les jambes très tendues, comme sa maîtresse le lui a appris, et reste concentrée pour ne pas
trébucher.
derrière sous sa jupe pour lui caresser les fesses. Une autre, par-devant, s’aventure en haut de ses cuisses.
est restée
attachée à la précédente, interroge Blandine qui feint de découvrir la difficulté :
revanche :
toutes les deux et pour la peine, nous allons
commencer par toi, Béatrice ! Mets-toi à quatre pattes, tu vas faire connaissance avec les « battoirs » de Gisèle, on verra à la fin si tu trouves toujours que les Martiniquaises sont « zantilles
» !
Le pavillon de chasse de style mauresque, édifié
en souvenir de l’Exposition universelle de Paris de 1867, se déployait à la limite du parc, au bas d’une immense pelouse, entre des bouquets de chênes et d’érables. Béatrice l’avait aperçu un
jour, par hasard, entre les frondaisons, depuis la rotonde du temple de Vénus, qui ferme, au-dessus du grand bassin, la perspective principale du château. Elle avait patienté jusqu’à la nuit pour
s
’y aventurer et, guidée par le plaisir trouble de la curiosité et de la peur, elle avançait maintenant, les yeux à demi clos, la gorge serrée, sur la ligne courbe du chemin. Autour
d’elle, des bosquets d’ombre, ça et là, bombaient leurs masses dans l’obscurité, et parfois, frissonnant tous d’un seul mouvement, ils se dressaient et se penchaient sur son passage. Elle
parcourut les derniers mètres ses souliers à la main, pour éviter de faire crisser le gravier sous ses pas, et pénétra, le cœur battant, dans le bâtiment.
mouflons, d’aigles
empaillés, de cornes d’antilopes, de bois de rennes et de défenses d’éléphants. Il y régnait une exquise odeur de cuir, de tabac blond et de graisse à fusils.
e, superbe, inaccessible, elle était simplement -
mais divinement - vêtue d’une guêpière en mousseline de satin noir qui, soulignant autant la finesse de sa taille que, par contraste, le galbe de ses hanches, mettait également en relief sa
poitrine dénudée, magnifique, provocante. Une perruque brune et un maquillage soutenu accentuaient la sévérité de ses traits. A travers les volutes bleutées d’un immense fume-cigarette, le reflet
d’un regard amusé éclairait le miroir de ses deux grands yeux verts.
taille en défendait désormais l’accès. Il
était presque entièrement nu. Son visage était dissimulé sous un masque et il portait un slip échancré en cuir noir, doté d’un orifice circulaire découpé en son milieu, qui laissait apparents,
afin de les mettre en valeur, des attributs virils hors du commun. Un sourire énigmatique flottait entre ses
lèvres. La soubrette crut reconnaître
celui de George, le majordome de Lady Alexandra. Son âme damnée aussi. A moins qu’il ne se soit agi d’Harry, « l’essayeur » attitré de Madame, son « Prince des ténèbres », comme elle avait
coutume de l’appeler également.
s se
démenaient au prix de sauvages contorsions, car elles avaient reçu pour instruction de se besogner jusqu’à ce qu’elles atteignent leur plaisir. Béatrice observa la rangée de corps qui se
débattaient. Les mains des filles étaient attachées au-dessus de leurs têtes, ainsi que leurs pieds par-dessous. Elles disposaient de peu de place pour se mouvoir sur ces godemichés et elles
tournaient dessus en s’efforçant d’onduler du bassin du mieux
qu’elles pouvaient, les yeux voilés
de larmes.
ramené ses jambes devant elle, de manière à lui
fixer les chevilles au même crochet. Sa tête lui avait été passée de force entre les mollets et une lanière de cuir lui plaquait les jambes contre le torse. Pliée ainsi en deux comme un pantin
dans cette position particulièrement incom
modante, elle exhibait, juste au-dessous de son visage empourpré, son sexe nu et gonflé, pointant de la couronne dorée de son pubis avec ses lèvres
roses, jusqu’au petit œillet brun entre ses fesses.
haletantes, convulsées, leurs pubis s’ouvrant et se fermant comme des petites bouches languissantes de plaisir, elles finissent par s’abandonner, le dos
cambré, parcourues d’un terrible frisson.
boucles qui leur
assombrissait l’entrejambe. Le spectacle des jeunes femmes qui leur faisaient face les mettait au supplice et ils arquaient leurs hanches vers elles, exaspérés, implorant la grâce d’être soulagés
du désir qui les raidissait.
mme se tenait à genoux, les mains liées dans le dos.
Une jeune paysanne le fessait à coups de battoirs réguliers, tandis que, dans le même temps, elle actionnait son pénis avec lenteur. Lorsque ce dernier s’amollissait sous l’effet de la douleur,
les coups cessaient quelques instants, puis la main s’occupait à nouveau de lui pour le faire durcir et l’épreuve recommençait. Vict
ime de ce supplice apparemment sans fin, il
exprimait dans sa douleur silencieuse toute la détresse du monde, tenaillé par l’envie de résister et celle de se soumettre.
l’extrémité de la rangée des mâles et la fit
mettre à genoux suffisamment près pour qu’elle puisse sucer le pénis du premier. Comme si sa délivrance ne pouvait plus supporter la moindre attente supplémentaire, celui-ci précipita son membre
turgescent dans sa bouche. La
soubrette le lui pompa avec application. Elle ferma les yeux pour humer la fragrance délicieuse de la toison pubienne et goûter la saveur saline de sa peau, insensible aux mouvements
du pénis butant contre le fond de sa gorge encore et encore entre ses lèvres. Elle sentait derrière elle l’homme masqué lui tenir fermement la tête entre ses mains et elle gémissait en cadence
avec les mouvements de son partenaire. Les pressions de l’homme étaient fortes, presque brutales. Le rythme s’accéléra et elle le sentit jouir en elle dans une ultime poussée.
Arrivée au bout de la rangée, Lady Alexandra
ordonna à sa soubrette de venir lui baiser les pieds en signe de soumission. Tandis qu’elle était prosternée, elle autorisa l’homme masqué à la prendre par-derrière, devant elle, pour le
récompenser de ses bons offices. Celui-ci ne se fait pas prier.
Depuis plusieurs années déjà, un rituel particulier se déroule chaque deuxième jeudi du mois à Glendale House. Ce jour-là, Lady Alexandra ouvre les
portes de son salon aux membres exclusivement féminins du club qu’elle anime. Juste quelques amies intimes, jugées sûres et discrètes. Qui ne manqueraient pour rien au monde ce rendez-vous.
Ravies de se retrouver entre elles dans une ambiance agréable, elles se sentent libres d’aborder tous les sujets qui leur tiennent à cœur, des plus anodins aux plus intimes. Mais les apparences
sont parfois trompeuses. Derrière le faux-semblant des conversations mondaines, ces dames se retrouvent en réalité dans un but bien précis : la sélection de jeunes mâles bien montés en vue de
leur dressage, puis de leur mise à disposition des membres du club pour leur usage et leur agrément personnels.
ersonnel masculin, y compris George, le majordome, a été renvoyé
dans ses foyers, et c’est à Béatrice qu’a été confiée la mission de leur faire passer une visite médicale. Dans d’autres circonstances, Lady Alexandra aurait pu s’en charger elle-même mais dans
le cas présent et principalement en raison de ses responsabilités de présidente du club, elle a dû s’organiser autrement.
fois d’uniforme et de pouvoir enfin jouer à l’infirmière comme
elle en rêvait depuis longtemps, a enfilé avec un plaisir non dissimulé une blouse blanche légèrement transparente. Elle a eu beau déclarer préalablement à sa maîtresse qu’elle ne porterait rien
en dessous afin de se sentir plus à l’aise et libre de ses mouvements, Lady Alexandra, qui a parfaitement percé ses véritables motivations, n’a pas cédé d’un pouce. Elle portera une petite
culotte blanche - très échancrée tout de même - et un soutien-gorge balconnet assorti. Une fois devant le miroir, Béatrice s’est finalement bien gardée de protester. Elle a déboutonné plus
largement le col de sa blouse et s’est contemplée de dos, ravie. Lady Alexandra n’a rien ajouté et s’est contentée de sourire.
jeune homme un peu timide.
rougissant comme une pivoine. Et une
fois assis, son trouble ne fait qu’augmenter au gré des allées et venues de l’infirmière qui s’amuse à passer et à repasser devant lui en le frôlant. Effet garanti. La blouse blanche laisse
deviner les secrets de sa transparence. Excitation mêlée au trac. Que va-t-il se passer après ? Qui va-t-il rencontrer ? Au bout de quelques minutes, Béatrice lui retire sa fiche et en prend
rapidement connaissance.
hanches. Il dénoue ensuite sa cravate, défait sa chemise et
suspend celle-ci avec un soin méticuleux au dossier d’une chaise - tout en se demandant si son geste paraît crédible - dans l’idée de gagner quelques secondes supplémentaires. Parvenu à ce stade,
il ne lui semble pas nécessaire d’aller plus loin. Un embarras évident se lit sur son visage. Le voilà maintenant en slip et en chaussettes devant la jeune fille
qui le toise de la tête aux pieds.
Humiliation. Émoi. Un début d’érection le gagne, qu’il tente maladroitement de dissimuler derrière ses mains en éventail.
eaucoup mieux ! Ce serait
tout de même dommage de nous cacher tout ça ! Et puis, il n’y a vraiment pas de quoi avoir honte, je te trouve super mignon dans cette tenue. A mon avis, je ne devrais pas être la seule !
Maintenant, range tes affaires dans ce casier. Je le fermerai avec un cadenas dont je conserverai la clé. Elles ne te seront rendues que lorsque ma maîtresse m’en aura donné l’ordre.
candidat tente de faire machine arrière.
prends ce tube et fais-moi un petit pipi dedans.

plus… pour un résultat impeccable… tu verras, ta peau va devenir lisse et
douce comme celle d’un bébé… tu te sentiras plus à l’aise, plus propre, plus frais… plus juvénile… plus innocent… un vrai petit puceau à leur disposition… si tu veux un conseil, ne prends aucune
initiative… elles seront trop contentes de t’apprendre des choses… de t’initier…
de relever « le » détail, si j’ose dire, qu’elles attendent toutes avec impatience !
le masturber avec tout le savoir-faire qu’on lui connaît. Sa
pratique régulière de l’exercice - dans ses fonctions habituelles de soubrette - lui fait trouver rapidement un premier palier.
nant de les enflammer, dans le souci pervers de l’exciter tout en l’empêchant de jouir, afin qu’il reste inassouvi.
rieur de façon à en évaluer plus précisément la souplesse et
l’élasticité. Situation des plus délicates. Le candidat devient rouge cramoisi.
ur obéir. [Saisissant ses testicules, elle les presse l’une
contre l’autre comme deux noix qu’elle s’apprêterait à craquer au creux de sa main] Tu as répondu à la petite annonce, mais as-tu réfléchi une seconde à ce qui t’attendait ?

les bulles fines remontent à la surface en serpentins
perlés. Une coupelle en argent posée sur un guéridon recouvert d’un napperon blanc offre à chaque invitée un assortiment de fraises écarlates. Les lèvres maquillées s’entrouvrent et se referment,
gourmandes, sur les fruits appétissants. Les regards brillent de plaisir. Des clins d’œil s’échangent. La soubrette, attentive et discrète, circule entre les tables avec élégance. Sa maîtresse
feint d’ignorer l’ambiance fébrile qui se développe. Le spectacle va bientôt commencer. L’excitation est à son comble.
irige vers l’antichambre et revient, suivie du premier
candidat. Celui-ci marque un brusque mouvement de recul, intimidé par le cadre qu’il découvre et par la présence des cinq jeunes femmes assises en cercle comme les jurées d’un examen. Il sent
leurs yeux inquisiteurs l’examiner de la tête aux pieds et s’attarder sans aucune pudeur sous son nombril. Le rose lui monte aux jo
ues. Il était loin d’imaginer une telle entrée, dans le plus
simple appareil, les poignets attachés derrière la nuque à son collier de chien, accompagnée de soupirs de satisfaction, de murmures de contentement, de commentaires flatteurs. Lady Alexandra,
assise au centre, impassible, calme le brouhaha et impose le silence.
ent le long de ses jambes, puis griffent du bout des ongles,
en remontant, la chair tendre de ses cuisses. Ils s’arrêtent longuement sur ses testicules qu’elle prend un soin particulier à soupeser et à masser en les réchauffant au creux de sa
paume.
en avant, le candidat fait quelques pas vers son
interlocutrice. Celle-ci se livre à un examen approfondi. Elle semble éprouver beaucoup de plaisir à peigner sa large poitrine velue entre ses doigts et, plus bas, la toison brune qui assombrit
son entrejambe. Obéissant, l’homme se tourne pour lui présenter ses fesses, qu’elle caresse tour à tour lentement afin d’en apprécier la rondeur et la fermeté, avant de les écarter avec vigueur
et de présenter son doigt gracile à l’entrée de son anus. L’homme tressaute et laisse échapper un gémissement qui la fait sourire.
parcourt rapidement le document jusqu’à ce qu’elle trouve la
rubrique consacrée aux mensurations. Son doigt s’arrête sur la ligne « sexe » qu’elle désigne d’un air entendu à sa voisine en souriant. Pendant ce temps, la visite continue. La laisse passe de
mains en mains, et avec elle, le candidat, qui doit se résigner, à son corps défendant, à subir les caresses très intimes des autres invitées, impatientes de pouvoir juger par elles-mêmes des
qualités physiques du candidat.
ute et intelligible voix. Ah oui, c’est vrai, tu as les mains
attachées. Attends, Béatrice, mets-toi là, tu vas tenir sa lettre devant toi, à hauteur de ses yeux, oui comme ça, c’est parfait. Tu peux commencer, et surtout n’oublie pas, parle bien fort
!
i de celles et ceux que vous aurez invités à
jouir du spectacle de mon humiliation. Vous m’imposerez de revêtir les vêtements et les dessous que vous aurez choisis afin de mieux me faire ressentir mon humiliante condition d’esclave et vous
me corrigerez très sévèrement autant de fois que vous l’estimerez nécessaire, jusqu’à ce que je devienne une petite chose docile entre vos mains, prête à satisfaire le moindre de vos caprices.
»
n seul trait, en retenant son souffle, conscient de
s’infliger par ses propres paroles un début d’érection que ses liens l’empêchent de dissimuler. Son débit est précipité. Il craint d’être interrompu à tout moment ou de devoir recommencer. Quand
il relève la tête, à sa grande honte, c’est une rangée de paires d’yeux rayonnants, presque hilares, qui le fixent intensément.
oh ! et de ah ! enthousiastes. Béatrice se penche à
l’oreille de sa maîtresse :
ui le concerne circulent de main en main, la maîtresse de
maison prend connaissance de sa lettre de motivation. Elle s’aperçoit qu’elle n’a pas été rédigée par l’intéressé lui-même mais par sa compagne.
ra ton corps comme bon lui semblera, et t’humiliera pour mon plaisir et pour le sien. Je lui demande de faire subir à ton joli petit derrière de sévères fessées. Tu vas pleurer
de souffrance et de bonheur, je te le promets. »
citation la gagne. En
croisant et en décroisant perversement les jambes très haut sur ses cuisses, elle offre à l’homme à genoux devant elle la vision du triangle sombre de son sexe sous un nylon transparent de
couleur chair.
es rires des femmes, son compagnon d’infortune aligné le long
du mur, tandis que le troisième candidat est à son tour introduit dans le petit salon pour être soumis au même interrogatoire. La scène se reproduit à l’identique à l’intention du numéro 4, puis
du dernier, le numéro 5. Contrairement à tous les précédents, ce
lui-ci est entièrement épilé. Ses jambes fines et ses fesses lisses et potelées rencontrent un succès certain auprès des dames.
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