Hall d’entrée de Glendale House. Les candidates à l’offre d’emploi de domestique, parue la veille dans le Times, patientent avant d’être reçues par
la maîtresse de maison. Josette prend la file et attend son tour en s’agitant d’un pied sur l’autre. La candidate qui la précède revient en sanglotant, son mouchoir à la main. C’est la quinzième
de la matinée à ressortir dans cet état. Flegmatique mais légèrement moqueur, George, le maître d’hôtel, introduit Josette dans le salon et referme la porte derrière elle. Lady Alexandra est
assise
tout au fond, l’air sévère. Perdue dans
un rêve intérieur, sa chienne Diva est allongée à ses pieds. La jeune fille reste immobile sur le seuil de la porte, paralysée par la peur.
- Eh bien approche-toi, je ne vais pas te manger ! [Josette comprenant qu’on l’observe, se décide à avancer.]
- Comment t’appelles-tu ?
- Josette, Maîtresse.
- Madame, ici, les domestiques m’appellent Madame, c’est compris ?
- Oui, Madame.
- Ma pauvre Josette, tes parents ne t’ont pas gâtée ! Tu ne vas tout de même pas continuer à porter ce prénom ridicule ! Chez moi, tu seras [Elle réfléchit]... Justine, ou plutôt non, Béatrice. Oui, c’est ça, Béatrice. C’est un prénom qui devrait bien t’aller. Il a de l’allure, il respire la bonne éducation et puis il fait aussi un peu garce, comme toi !
- Et quel âge as-tu Béatrice ?
- Dix-huit ans et quelques mois, Madame.
- C’est très bien, j’adore la jeunesse. Mes invités aussi. Tu as déjà travaillé ?
- Non, Madame, c’est ma première place.
- Tant mieux, je n’aime pas les mauvaises habitudes ! En te prenant vierge, si j’ose dire, je pourrai te dresser à ma guise !
- Je vous promets que j’apprendrai très vite.
- C’est ce qu’on verra ! En attendant, tu vas déjà
me montrer ce que tu sais faire ! Marche jusqu’à la
porte ! Tu es prête ?
- Oui, Madame.
- Attends, relève d’abord ta jupe bien haut par-derrière !
- Mais, Madame !
- Tais-toi, petite bécasse ! Ici, c’est moi qui commande, je ne te le dirai pas deux fois ! [Béatrice obéit et découvre sa culotte en coton blanc qui moule délicieusement ses petites fesses haut perchées.]
- Maintenant, reviens vers moi en relevant ta jupe par-devant. [Béatrice s’exécute, en exposant le haut de ses cuisses et le renflement de son pubis à travers le tissu.]
- Tu as de jolies jambes et de fines attaches. Dis-moi Béatrice, tu as de la famille ?
- De la famille éloignée, Madame, j’ai perdu mes parents quand j’étais petite. C’est ma tante Antoinette qui m’a recueillie.
- C’est parfait, [mais mesurant sa maladresse, elle se reprend immédiatement] je veux dire, si jeune, je te plains, c’est vraiment très
triste à ton âge ! Mais ne t’inquiète pas, ici tu ne te sentiras jamais
seule bien longtemps, je t’aurai toujours à mes côtés, à portée de la main [Sourire] et je m’occuperai de toi comme une mère.
- Merci, Madame.
- Enlève ta jupe et ton chemisier ! [De plus en plus interloquée, Béatrice n’ose pas réagir.]
- Maintenant, baisse ta culotte sur tes genoux et mets tes mains dans le dos. Oh mon Dieu, il va falloir m’épiler tout ça. Blandine s’en chargera. Tourne-toi et penche-toi. C’est mieux, c’est même superbe, avec des rondeurs comme ça, tu vas avoir du succès, ma fille !
- As-tu déjà reçu la fessée ou le martinet ?
- Oui, Madame, quand j’étais au collège. [Sourire de Lady Alexandra]. J’ai fait une partie de mes études pas très loin d’ici, dans le Kent.
- Alors tu sais ce que signifie l’éducation anglaise ?
- Oui, Madame.
- Et pour quelle raison étais-tu punie ?
- Mes professeurs me reprochaient de ne penser qu’à m’amuser pendant les cours et qu’à exciter les garçons durant les promenades.
- A propos, [Les doigts d’Alexandra s’aventurent entre les boucles de la toison de la jeune fille et
écartent délicatement ses lèvres intimes], tu as
sûrement un amoureux ?
- Non, Madame.
- Alors, tant mieux, je préfère ça, tu n’auras pas la tête ailleurs ! De toute façon, il n’est pas question que je te voie tourner autour des garçons, c’est clair ?
- Oui, Madame.
- Es-tu souvent malade ?
- Jamais, Madame.
- J’en étais sûre !
- Dégrafe ton soutien-gorge !
Béatrice dévoile une paire de seins magnifiques, ornés de larges aréoles, mais ne sachant quelle posture adopter, elle les tient
par-
dessous dans un geste inconsciemment
provocant, comme si cet argument supplémentaire pouvait jouer en sa faveur. Lady Alexandra ne peut pas s’empêcher de les caresser et d’en pincer les tétons entre ses doigts jusqu’à ce qu’elle les
sente se dresser. Apparemment, la jeune fille se laisse faire sans déplaisir.
- Une bonne laitière élevée au grand air de la
campagne, c’est comme ça que je les aime !
La conversation est brusquement interrompue par un coup frappé à la porte.
- Entrez ! [Feignant la surprise] Eh bien George, que se passe-t-il ?
- Une lettre urgente, Madame [Il lui tend avec déférence un petit plateau en argent et reste debout tandis qu’elle en prend connaissance. Les yeux du maître d’hôtel s’attardent avec insistance sur la nudité de Béatrice. Lady Alexandra s’en rend compte mais fait semblant d’être absorbée dans sa lecture afin d’accroître le trouble de la jeune fille.]
- Il n’y aura pas de réponse, George. [Ce dernier s’éclipse]
- C’est bien, Béatrice, je t’autorise à te rhabiller. A partir d’aujourd’hui, tu seras ma femme de chambre.
- Oh merci, Madame !
- Ne te réjouis pas trop vite, tu n’imagines pas ce qui t’attend ! Et puis c’est un engagement à l’essai, tu dois d’abord faire tes preuves. Nous
ferons le point dans trois mois. Je verrai à ce moment-là si je peux te garder.
- Je m’appliquerai à mériter votre confiance, Madame.
- Alors applique-toi bien, parce que c’est moi qui vais me charger personnellement de ton éducation. Je te préviens, je suis très
exigeante et
très sévère. Je veux de l’ordre,
de la discipline et de l’obéissance. Je te dresserai jusqu’à ce que tu sois parfaite, tu m’as bien comprise ?
- Oui, Madame.
- Tu seras logée dans les communs avec les autres domestiques. Inutile de chercher à t’enfermer dans ta chambre. La serrure est condamnée. Je me réserve le droit d’y entrer à tout moment. Il n’y a pas non plus de volets aux fenêtres, cela t’obligera à te lever avec le jour, ni de rideaux car je veux te surveiller ou te faire surveiller en permanence.
- Bien, Madame.
- Tu feras ta toilette à l’eau froide. C’est excellent pour le teint ! Pas de maquillage, je m’en occuperai moi-même lorsque cela sera nécessaire.
- Bien, Madame.
- Pour tes repas, tu les prendras à l’office, George te montrera.
- Merci, Madame.
- J’octroie à mon personnel une seule sortie par semaine, le dimanche après-midi, et un peu d’argent de poche, de temps en temps, quand j’estime que c’est mérité. Si tu es honnête et dure au travail, je saurai me montrer généreuse.
- Merci, Madame.
- Mais je te défends de recevoir des visites et j’ouvrirai ton courrier. Tu as entendu ?
- Oui, Madame.
- Je t’interdis de porter tes vêtements personnels ou autre chose que ta tenue de soubrette. Chaque matin tu viendras me demander ton linge pour la
journée et me montrer celui de la veille avant de le laver.
- Bien, Madame.
- Tu peux disposer. George va te conduire jusqu’à ta chambre. Je t’attends ici même à 11 heures précises pour ta première leçon.
- Bien, Madame.
- Béatrice ?
- Oui, Madame. [Lady Alexandra relève le menton de sa soubrette, approche son visage tout près du sien et la fixe au fond des yeux.]
- Béatrice, j’attends beaucoup de toi, ne t’avise pas de me décevoir...
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enjambées. On dirait un bûcheron ! Je t’ai dit des petits pas serrés,
recommence !
suis-moi… ici, nous serons plus tranquilles, personne ne viendra nous déranger.
contenterai pas de te reprendre, je n’hésiterai pas à te punir.
courbée, redresse-toi... évite de regarder tes pieds… marche naturellement… et oublie tes talons hauts.
n matin, quand ton petit laitier se présentera,
j’aurai deux mots à lui dire !
temps de méditer sur les conséquences de sa conduite,
Béatrice est autorisée à se relever et à reprendre ses interminables allées et venues à travers le petit salon. Lady Alexandra ne la lâche pas une seconde des yeux.
genoux... pas trop non plus, tu ne diriges pas une parade
de majorettes !
peut-être?
yeux légèrement baissés... n'oublie pas de bomber la poitrine... et de cambrer les reins.
longtemps qu'il le sera nécessaire. Continue... tu es
encore trop raide...



caresser...
aussi de celles du bas !
les plis de sa jupette noire. A remonter imperceptiblement celle-ci juste à la bonne hauteur. Celle qui dissimulera à peine pour dévoiler beaucoup. A centrer
innocemment son petit tablier blanc par-devant. A en arranger les boucles par-derrière. Pendant que sa maîtresse a le dos tourné, elle lui tire la langue comme le ferait une gamine et s’adresse
un clin d’œil ravi dans le miroir.

par un petit tablier, Blandine, rousse, discrète, se tient en
retrait.
circonflexe vers sa maîtresse et replonge aussitôt dans ses
rêves, le museau contre le tapis] Redresse-toi et tiens-toi de profil. Oui, comme ça, bien droite, cambre les reins et bombe la poitrine ! Encore !
comme ça ! Plus haut ! [Les
invités découvrent ses jarretelles noires impeccablement tendues en haut de ses cuisses nues]
Comment peux-tu oser offrir ce vieux Bricout à moitié éventé
?
hauteur et lui murmure à l’oreille :
sauces colorées à base te tapenade, de
guacamole et de poivron confit. Elle se penche le plus possible en avant, tout en gardant les jambes très tendues, comme sa maîtresse le lui a appris, et reste concentrée pour ne pas
trébucher.
derrière sous sa jupe pour lui caresser les fesses. Une autre, par-devant, s’aventure en haut de ses cuisses.
est restée
attachée à la précédente, interroge Blandine qui feint de découvrir la difficulté :
revanche :
toutes les deux et pour la peine, nous allons
commencer par toi, Béatrice ! Mets-toi à quatre pattes, tu vas faire connaissance avec les « battoirs » de Gisèle, on verra à la fin si tu trouves toujours que les Martiniquaises sont « zantilles
» !
Depuis plusieurs années déjà, un rituel particulier se déroule chaque deuxième jeudi du mois à Glendale House. Ce jour-là, Lady Alexandra ouvre les
portes de son salon aux membres exclusivement féminins du club qu’elle anime. Juste quelques amies intimes, jugées sûres et discrètes. Qui ne manqueraient pour rien au monde ce rendez-vous.
Ravies de se retrouver entre elles dans une ambiance agréable, elles se sentent libres d’aborder tous les sujets qui leur tiennent à cœur, des plus anodins aux plus intimes. Mais les apparences
sont parfois trompeuses. Derrière le faux-semblant des conversations mondaines, ces dames se retrouvent en réalité dans un but bien précis : la sélection de jeunes mâles bien montés en vue de
leur dressage, puis de leur mise à disposition des membres du club pour leur usage et leur agrément personnels.
ersonnel masculin, y compris George, le majordome, a été renvoyé
dans ses foyers, et c’est à Béatrice qu’a été confiée la mission de leur faire passer une visite médicale. Dans d’autres circonstances, Lady Alexandra aurait pu s’en charger elle-même mais dans
le cas présent et principalement en raison de ses responsabilités de présidente du club, elle a dû s’organiser autrement.
fois d’uniforme et de pouvoir enfin jouer à l’infirmière comme
elle en rêvait depuis longtemps, a enfilé avec un plaisir non dissimulé une blouse blanche légèrement transparente. Elle a eu beau déclarer préalablement à sa maîtresse qu’elle ne porterait rien
en dessous afin de se sentir plus à l’aise et libre de ses mouvements, Lady Alexandra, qui a parfaitement percé ses véritables motivations, n’a pas cédé d’un pouce. Elle portera une petite
culotte blanche - très échancrée tout de même - et un soutien-gorge balconnet assorti. Une fois devant le miroir, Béatrice s’est finalement bien gardée de protester. Elle a déboutonné plus
largement le col de sa blouse et s’est contemplée de dos, ravie. Lady Alexandra n’a rien ajouté et s’est contentée de sourire.
jeune homme un peu timide.
rougissant comme une pivoine. Et une
fois assis, son trouble ne fait qu’augmenter au gré des allées et venues de l’infirmière qui s’amuse à passer et à repasser devant lui en le frôlant. Effet garanti. La blouse blanche laisse
deviner les secrets de sa transparence. Excitation mêlée au trac. Que va-t-il se passer après ? Qui va-t-il rencontrer ? Au bout de quelques minutes, Béatrice lui retire sa fiche et en prend
rapidement connaissance.
hanches. Il dénoue ensuite sa cravate, défait sa chemise et
suspend celle-ci avec un soin méticuleux au dossier d’une chaise - tout en se demandant si son geste paraît crédible - dans l’idée de gagner quelques secondes supplémentaires. Parvenu à ce stade,
il ne lui semble pas nécessaire d’aller plus loin. Un embarras évident se lit sur son visage. Le voilà maintenant en slip et en chaussettes devant la jeune fille
qui le toise de la tête aux pieds.
Humiliation. Émoi. Un début d’érection le gagne, qu’il tente maladroitement de dissimuler derrière ses mains en éventail.
eaucoup mieux ! Ce serait
tout de même dommage de nous cacher tout ça ! Et puis, il n’y a vraiment pas de quoi avoir honte, je te trouve super mignon dans cette tenue. A mon avis, je ne devrais pas être la seule !
Maintenant, range tes affaires dans ce casier. Je le fermerai avec un cadenas dont je conserverai la clé. Elles ne te seront rendues que lorsque ma maîtresse m’en aura donné l’ordre.
candidat tente de faire machine arrière.
prends ce tube et fais-moi un petit pipi dedans.

plus… pour un résultat impeccable… tu verras, ta peau va devenir lisse et
douce comme celle d’un bébé… tu te sentiras plus à l’aise, plus propre, plus frais… plus juvénile… plus innocent… un vrai petit puceau à leur disposition… si tu veux un conseil, ne prends aucune
initiative… elles seront trop contentes de t’apprendre des choses… de t’initier…
de relever « le » détail, si j’ose dire, qu’elles attendent toutes avec impatience !
le masturber avec tout le savoir-faire qu’on lui connaît. Sa
pratique régulière de l’exercice - dans ses fonctions habituelles de soubrette - lui fait trouver rapidement un premier palier.
nant de les enflammer, dans le souci pervers de l’exciter tout en l’empêchant de jouir, afin qu’il reste inassouvi.
rieur de façon à en évaluer plus précisément la souplesse et
l’élasticité. Situation des plus délicates. Le candidat devient rouge cramoisi.
ur obéir. [Saisissant ses testicules, elle les presse l’une
contre l’autre comme deux noix qu’elle s’apprêterait à craquer au creux de sa main] Tu as répondu à la petite annonce, mais as-tu réfléchi une seconde à ce qui t’attendait ?

les bulles fines remontent à la surface en serpentins
perlés. Une coupelle en argent posée sur un guéridon recouvert d’un napperon blanc offre à chaque invitée un assortiment de fraises écarlates. Les lèvres maquillées s’entrouvrent et se referment,
gourmandes, sur les fruits appétissants. Les regards brillent de plaisir. Des clins d’œil s’échangent. La soubrette, attentive et discrète, circule entre les tables avec élégance. Sa maîtresse
feint d’ignorer l’ambiance fébrile qui se développe. Le spectacle va bientôt commencer. L’excitation est à son comble.
irige vers l’antichambre et revient, suivie du premier
candidat. Celui-ci marque un brusque mouvement de recul, intimidé par le cadre qu’il découvre et par la présence des cinq jeunes femmes assises en cercle comme les jurées d’un examen. Il sent
leurs yeux inquisiteurs l’examiner de la tête aux pieds et s’attarder sans aucune pudeur sous son nombril. Le rose lui monte aux jo
ues. Il était loin d’imaginer une telle entrée, dans le plus
simple appareil, les poignets attachés derrière la nuque à son collier de chien, accompagnée de soupirs de satisfaction, de murmures de contentement, de commentaires flatteurs. Lady Alexandra,
assise au centre, impassible, calme le brouhaha et impose le silence.
ent le long de ses jambes, puis griffent du bout des ongles,
en remontant, la chair tendre de ses cuisses. Ils s’arrêtent longuement sur ses testicules qu’elle prend un soin particulier à soupeser et à masser en les réchauffant au creux de sa
paume.
en avant, le candidat fait quelques pas vers son
interlocutrice. Celle-ci se livre à un examen approfondi. Elle semble éprouver beaucoup de plaisir à peigner sa large poitrine velue entre ses doigts et, plus bas, la toison brune qui assombrit
son entrejambe. Obéissant, l’homme se tourne pour lui présenter ses fesses, qu’elle caresse tour à tour lentement afin d’en apprécier la rondeur et la fermeté, avant de les écarter avec vigueur
et de présenter son doigt gracile à l’entrée de son anus. L’homme tressaute et laisse échapper un gémissement qui la fait sourire.
parcourt rapidement le document jusqu’à ce qu’elle trouve la
rubrique consacrée aux mensurations. Son doigt s’arrête sur la ligne « sexe » qu’elle désigne d’un air entendu à sa voisine en souriant. Pendant ce temps, la visite continue. La laisse passe de
mains en mains, et avec elle, le candidat, qui doit se résigner, à son corps défendant, à subir les caresses très intimes des autres invitées, impatientes de pouvoir juger par elles-mêmes des
qualités physiques du candidat.
ute et intelligible voix. Ah oui, c’est vrai, tu as les mains
attachées. Attends, Béatrice, mets-toi là, tu vas tenir sa lettre devant toi, à hauteur de ses yeux, oui comme ça, c’est parfait. Tu peux commencer, et surtout n’oublie pas, parle bien fort
!
i de celles et ceux que vous aurez invités à
jouir du spectacle de mon humiliation. Vous m’imposerez de revêtir les vêtements et les dessous que vous aurez choisis afin de mieux me faire ressentir mon humiliante condition d’esclave et vous
me corrigerez très sévèrement autant de fois que vous l’estimerez nécessaire, jusqu’à ce que je devienne une petite chose docile entre vos mains, prête à satisfaire le moindre de vos caprices.
»
n seul trait, en retenant son souffle, conscient de
s’infliger par ses propres paroles un début d’érection que ses liens l’empêchent de dissimuler. Son débit est précipité. Il craint d’être interrompu à tout moment ou de devoir recommencer. Quand
il relève la tête, à sa grande honte, c’est une rangée de paires d’yeux rayonnants, presque hilares, qui le fixent intensément.
oh ! et de ah ! enthousiastes. Béatrice se penche à
l’oreille de sa maîtresse :
ui le concerne circulent de main en main, la maîtresse de
maison prend connaissance de sa lettre de motivation. Elle s’aperçoit qu’elle n’a pas été rédigée par l’intéressé lui-même mais par sa compagne.
ra ton corps comme bon lui semblera, et t’humiliera pour mon plaisir et pour le sien. Je lui demande de faire subir à ton joli petit derrière de sévères fessées. Tu vas pleurer
de souffrance et de bonheur, je te le promets. »
citation la gagne. En
croisant et en décroisant perversement les jambes très haut sur ses cuisses, elle offre à l’homme à genoux devant elle la vision du triangle sombre de son sexe sous un nylon transparent de
couleur chair.
es rires des femmes, son compagnon d’infortune aligné le long
du mur, tandis que le troisième candidat est à son tour introduit dans le petit salon pour être soumis au même interrogatoire. La scène se reproduit à l’identique à l’intention du numéro 4, puis
du dernier, le numéro 5. Contrairement à tous les précédents, ce
lui-ci est entièrement épilé. Ses jambes fines et ses fesses lisses et potelées rencontrent un succès certain auprès des dames.
allons tirer les épreuves au sort. Béatrice, apporte-moi vite la corbeille
!
couleur rouge
qu’elle déplie lentement avant d’en livrer à haute voix le contenu : « French cancan ». Ses voisines éclatent de rire. Béatrice, qui en meurt d’envie, se retient de les imiter, tandis que les
hommes, déconcertés, s’interrogent du regard.
ment celle-ci sous ses bourses, à la fois pour les faire ressortir et pour
assujettir solidement le premier point du dispositif. Puis, continuant sur sa lancée, elle opère avec la même minutie sur les quatre autres candidats qu’elle embroche au fur et à mesure, côte à
côte, par leurs parties génitales. Le résultat est superbe. Les femmes ne cachent pas leur satisfaction devant l
e spectacle de ces attributs virils pendus à leur treille comme des grappes de
muscat, le pénis tendu, les testicules mis en valeur par le lien soigneusement croisé sur chacun d’entre eux. Par l’effet du hasard, le candidat numéro 3, au centre, un peu plus grand que les
autres, ne peut pas faire autrement que de tirer l’ensemble vers le haut, ce qui a pour résultat de relever douloureusement le sexe de ses compagnons, de part et d’autre.
orné un disque soixante-dix-huit tours qu’elle pose sur le plateau d’un antique
phonographe. Sa maîtresse s’est levée, un martinet à la main.
se
gênent les uns les autres en tentant de suivre la cadence et de coordonner leurs mouvements. Ils offrent un spectacle désolant. Proche du fiasco complet. A la limite de la débandade. Cette
déconfiture humiliante met les femmes en joie. Les exclamations fusent.
x comme ça !
rt dans un ensemble parfait.
saillé par les frottements de la cordelette, leur sexe turgescent a viré au
rouge violacé au bout de leurs testicules gonflés. La soubrette reçoit l’ordre de les délivrer tour à tour de la barre qui les retient prisonniers.
amment explicite par lui-même pour ne
laisser aucun doute sur la suite des évènements. A cette annonce, et encore marquées par les images colorées du ballet précédent, les femmes ont du mal à cacher leur agitation. La chaleur et le
champagne aidant, leurs joues se sont empourprées. Leurs yeux brillent. Elles assistent impatientes aux préparatifs en laissant échapper de temps en temps des soupirs de
ravissement.
dats doivent avoir les yeux bandés afin que chaque participante concoure avec
une chance égale et ne doive en définitive son éventuel succès qu’à son seul mérite. Pour les mêmes raisons, il stipule également que le placement des candidates doit être tiré au sort. Grâce à
la complicité de sa soubrette, le nu
méro 5 est
attribué à Lady Alexandra. La compétition s’annonce rude. Pour cette épreuve, en effet, les concurrentes ont déjà montré à maintes reprises leur savoir-faire. Béatrice dépose délicatement au pied
de chaque homme un coussin de velours grenat qui épargnera aux femmes les désagréments d’une station prolongée à genoux. Chacune se met en place.
châtiment comme il n’en a jamais reçu, ni peut-être imaginé !
d, s’insinue dans le
moindre repli, avant de l’emprisonner tout entier, de le tenir ainsi quelques secondes, de le relâcher, puis de recommencer. Aux bruits de succion qui s’échappent des lèvres humides répondent les
grognements sourds des hommes qui tentent de résister et le cliquètement des chaînes qui s’agitent au-dessus d’eux. Béatrice n’a pas assez de ses yeux pour admirer les prouesses des unes et des
autres mais c’est surtout la perfection des gestes de sa maîtresse qui retient son attention. Elle est aux anges. Lady Alexandra se redresse, radieuse :
- Viens, Béatrice, suis-moi, je t’ai réservé une surprise !
camaïeu de bleus, des faïences anciennes de Delft et de Rouen décorent un immense vaisselier.
maîtrise son art comme personne.
Entre ses mains, la flamme de la haute tradition gastronomique française est entretenue avec un soin jaloux. Ses recettes demeurent un secret. Quant à ses suggestions en matière de menus, elles
ne sont pas négociables. C’est à prendre ou à laisser. Aussi est-il assez fréquent que de violentes algarades l’opposent à sa maîtresse. Toutefois, l’orage une fois dissipé, la vie reprend son
cours car les deux femmes ne peuvent se passer l’une de l’autre. Lady Alexandra a conscience d’avoir à son service une domestique exceptionnelle et irremplaçable. Louise, de son côté, entrée à
Glendale au même âge que Béatrice, doit tout à la famille de sa bienfaitrice et manifeste à cette dernière une fidélité indéfectible.
impeccablement aligné et rangé. Les meubles reluisent comme dans un intérieur flamand. Les cuivres rutilent. Le long de la cuisinière, pliés avec soin sur des barres de
laiton doré, des torchons en damassé de coton blanc jettent une tache claire, tandis que, dans un coin de la pièce, rassurante, l’horloge ponctue le
silence de ses battements réguliers. L’air est imprégné d’effluves chauds et
gourmands, à base de vanille, de cannelle, de badiane et de fleur d’oranger.
près de Louise.
Surprise, Béatrice devient rouge comme une pivoine.
poitrine tendue et le bas du buste appuyé contre le bord de la table. Se
sachant observée, elle reste dans cette position avantageuse quelques instants en feignant de se concentrer pour prendre sa respiration. Comme une comédienne qui aurait répété mille fois la scène
: baisser les cils, gonfler
les joues, rougir
en prétextant un défi hors de portée, et finir par s’exécuter en s’y reprenant à plusieurs fois. Rayonnante, elle relève la tête sous les applaudissements.
dos pour enfiler sa nouvelle tenue, soi-disant par pudeur mais en réalité
surtout pour satisfaire son envie d’enchaîner des poses lascives et des déhanchements suggestifs.
esquisse de bonnets à armatures qui, placée en dessous des seins, est juste là pour les redresser et offrir un effet dénudé des plus séduisants.
l’air, c’est tout à fait ce qu’il fallait !
bâillon-boule pour les avoir expérimentés
à plusieurs reprises mais elle ignorait jusqu’à l’existence du bâillon-anneau. Celui-ci, enfoncé entre les lèvres au niveau des dents, oblige celui ou celle qui le porte à écarter les mâchoires
au maximum et à garder la bouche grande ouverte en permanence. L’orifice est destiné à recevoir tout ce qui peut y être introduit, sans qu’on puisse y opposer la moindre résistance. C’est
l’instrument
de soumission orale par
excellence. Celui qu’on utilise pour éduquer les jeunes filles récalcitrantes qui se refusent à accueillir les queues qu’on leur présente.
module le rythme en guidant la tête de la domestique entre ses mains.
Impuissante, Béatrice roule des yeux effarés comme des boules de loto en direction de sa maîtresse.
de chasse un succès. Cadre magnifique. Gibier abondant.
Compagnie agréable. C’était l’événement mondain à ne pas manquer. Le clou de la saison.
ps. Un moment unique, à la mesure de la réputation et du talent
de son organisatrice, Lady Alexandra.
pour les
femmes. Queue de pie et nœud papillon blanc pour les hommes. Lord and Lady Arthur McCordle. Mr and Mrs Hartford-Jones. Arrondi gracile des épaules féminines. Parures de diamants. Décorations.
Chevalières armoriées. Lady Sylvia Trentham. Lord Antony Wilthorp. Hommages. Baisemains. Miss Laura Spencer. Mr Rupert Cunningham. Sourires. Compliments.
nd. Avec leurs tables à jeux en marqueterie de bois des Iles. Leurs petites commodes mouvementées en placage de bois de rose, de palissandre
et d’amarante. Leurs tables bouillottes ceinturées d’une galerie de laiton, sur lesquelles sont posées des timbales en argent et des miniatures de famille. Des flammes crépitent dans la cheminée.
Au fond de la pièce, sur le clavier d
’un Steinway
immense, une jeune fille au teint blême et aux cheveux bruns tressés en macarons, égrène les alanguissements élégiaques d’un
ette, est loin de passer inaperçue. Elle circule entre les
invités, son plateau d’argent à la main. Souriante, silencieuse, sexy. La règle des trois « s ».
du haut de ses cuisses nues. Un corset, court et souple, mais
très serré, affine sa taille, accentue le galbe de ses hanches et la cambrure de ses fesses rebondies. Les goussets dont il est équipé rehaussent le contour ferme de ses seins dont ils dégagent
les pointes. Elle porte une petite culotte transparente, fendue par-devant et par-derrière (« Tu verras, ce sera beaucoup plus pratique !») et un minuscule tablier blanc dont les rubans empesés
sont noués en boucles sages au creux de ses reins. Un soupçon de blush rosé sur ses pommettes juvéniles accentue son air innocent.
eurs propos lorsqu’elle se présente. Canapés assortis.
Roquefort-noix. Tomate-mozzarella. Une petite flamme éclaire leurs regards. Les moins hardis s’autorisent à lui demander son prénom. Elle leur répond, l’air faussement gênée, comme si elle était
contrainte de leur donner la clé de son jardin secret. Ils comprennent qu’elle est Française. Ah, la France, Paris, les Champs-Élysées, les jolies femmes ! Leurs pupilles se dilatent.
és, les
autres, au contraire, étrécis par l’attention acharnée, farouche, qu’elle suscite. Toute sa personne est parcourue avec une égale impudeur, dévisagée, déshabillée, disséquée au scalpel de la tête
aux pieds.
Un peu
plus loin, une invitée s’étonne du peu de succès que continue de rencontrer « Polyphème », l’unique opéra créé par Jean Cras sur un poème d’Albert Samain. A côté d’elle, une
jeune femme interroge son voisin :
u la même idée au même moment. Sous la jupe de la soubrette, les mains s’insinuent, les doigts montent, descendent, à l’assaut de ce territoire vierge. Ils
progressent sans rencontrer de résistance et s’attardent au contact si sensible de la peau tendre et moite, à l’intérieur de ses cuisses nues. Sa respiration se fait plus rapide. Si on ne le lui
avait pas interdit, elle se mordrait les lèvres.
ce !
urs. C’est fou comme elle les attire. Et comme elle est attirée par eux. Pointe d’asperge et chèvre. Saumon fumé-crème de raifort. Regards appuyés.
Clins d’œil complices. Les jeux de main reprennent. Un canapé tombe sur le tapis. Maladresse involontaire ou calcul délibéré. Béatrice pose son plateau et se penche pour le ramasser, sans plier
les genoux comme
on le lui a appris, offrant en
spectacle la vision de ses reins tendus. Elle sent aussitôt dans son dos une main s’insinuer calmement entre ses cuisses et dégager la fente de sa petite culotte. Deux doigts se glissent à
l’intérieur de son sexe pour la forcer à s’ouvrir, allant et venant jusqu’à ce qu’elle cambre le dos malgré elle. Ils reviennent ensuite en arrière, écartent ses petites fesses roses et potelées
et s’introduisent dans l’orifice étroit.
ne dois pas en être loin.
dans le jardin comme des lucioles au creux des bosquets, les chaises longues en teck disposées autour de l’écrin phosphorescent de la piscine, le chant lancinant des cigales, le parfum
entêtant qui s’échappe des massifs de lavande, de ciste et de romarin.
conduite chez le coiffeur, je porte des couettes, les cheveux retenus par des
rubans de couleur. Il paraît que je suis beaucoup plus mignonne avec cette coiffure qui m’éclaire le visage et met en valeur « mes bonnes joues d’enfant sage ».
bretelles, les shorts ultra courts, les
mini-jupes sexy, les petites robes en stretch noir, les strings et les micro bikinis, que j’avais pris la peine d’emporter. « Je vais te donner ce qu’il te faut ». En fait de garde-robe, le choix
est plutôt réduit à la portion congrue. Ma tenue de tous les jours se compose d’un chemisier blanc à col rond et manches ballon (d’un « corsage », pour reprendre ses termes), légèrement cintré («
Ce n’est pas la peine de fermer les deux boutons du haut »), d’une jupette plissée bleu marine, de socquettes blanches ourlées au ras des chevilles et d’une paire de sandales de cuir bleues à
bouts ronds, ajourées sur le dessus, et attachées par une bride qui vient coulisser dans une languette centrale. Avec mon genou « couronné » et badigeonné de mercurochrome (je suis tombée de vélo
sur le gravier de la cour), j’ai l’air fine !
m’a été d’emblée interdit (« Il sera bien assez temps quand tu seras plus
grande ») et pour le bas, nous avons passé un après-midi entier dans un magasin de lingerie, où tout le monde m’observait (« Tu n’as pas besoin d’entrer dans une cabine pour te changer »), à
essayer d’innombrables modèles dont il prenait un malin plaisir à vérifier la forme et le contour en suivant le liseré du bout des doigts. Finalement, le choix
de mon oncle, des plus classiques, s’est porté sur une douzaine de culottes
hautes « Petit Bateau », six blanches (« virginales ») et six roses (« Tu alterneras »), agrémentées d’un picot brodé à la taille et aux jambes.
c’est très important ! Et pour la taille ?
fesses pommelées, il serait dommage de ne pas les mettre en valeur…
du sol, ma jupette relevée bien haut et ma petite culotte descendue sur les
cuisses jusqu’à l’articulation des genoux. Gauche, droite, gauche, droite. Ses mains s’activent comme des battoirs redoutables. Pires que ceux de Madame ou de Gisèle, l’amie de Madame. Mes fesses
s’embrasent rapidement. J’évite d’agiter les jambes car j’ai constaté que ça l’échauffait encore plus. Pour vous avouer la
vérité, il m’est pratiquement impossible de dissimuler mon plaisir malgré la
douleur car il me caresse en même temps de son autre main et je trouve ça très agréable. L’épreuve terminée, il me conduit sur la terrasse où je dois rester à genoux, en plein soleil (« comme un
melon qui achève de mûrir »), les mains sur la tête, ma petite culotte autour des chevilles, le pan de ma jupette retenu au dos de mon chemisier par une épingle nourrice.
tommettes de la salle à manger, cirer les marches de l’escalier ou faire
briller l’émail des toilettes.
autour du cou, des poignets, des chevilles, et même aux oreilles. Les jours de
lessive, il m’impose de faire sécher mes petites culottes bien à part sur le fil, suspendues au niveau de la taille et alignées l’une à côté de l’autre, pour qu’elles soient visibles tout
entières.
il a bien fallu que je m’y habitue. Je n’y fais maintenant même plus
attention.
viennent alentour puissent assister à la scène. Certains s’arrêtent à notre
hauteur. Des messieurs, principalement. Seuls ou en couples. Que ce spectacle inattendu émoustille manifestement. Et à qui il vient tout à coup des idées. Murmurées à voix basse à l’oreille de
leurs femmes. Qui se mettent à sourire, l’air vaguement gêné, ou à rougir franchement de confusion. Des parents aussi, accompagnés de leurs enfants, trop heureux de pouvoir montrer à ces derniers
ce qui les attend à la prochaine bêtise. Du coup, mon oncle prend son rôle d’éducateur très au sérieux. Un peu trop, à mon goût. Je me mets à gigoter dans tous les sens. Ce qui ne fait que
multiplier gloussements et petits rires étouffés autour de nous. Tout le monde a l’air de trouver cela très drôle. Il ne fait de doute pour personne que si je suis punie, c’est que je l’ai
certainement mérité. J’ai maintenant les fesses écarlates. Satisfait du résultat obtenu, mon oncle finit par mettre un
terme à ma correction et me permet enfin de me relever.
sourires entendus, mon oncle répond par
des clins d’œil complices. Je marche droit devant moi en feignant de ne pas les voir.
s’installe, une sorte de ballet se met en place. Comme si je dégageais un parfum irrésistible.
Nouvel arrêt. Je tends bien haut le bras.
Ma taille se creuse. Ma jupette remonte imperceptiblement de quelques millimètres. Le muscle de mon mollet se raidit. Je tiens la pause quelques instants. Pour qu’ils aient tous le loisir de me
contempler, de me détailler, de m’imaginer, de me désirer. Comme si je m’offrais nue.
nfiseur pour m’offrir une glace.
Un cornet à deux boules. Venant de sa part, l’intention est certainement délibérée. Il me désigne ensuite un banc et m’invite à l’attendre, le temps qu’il aille acheter son journal au kiosque («
Je reviens »). Ses consignes sont strictes. Je dois m’asseoir sur le bord, le dos bien droit et les cuisses largement écartées (« Largement écartées, tu as bien compris ? »). J’obéis sans
broncher. J’ai très bien compris. C’est aussi simple qu’à la pêche : il suffit de préparer le coup, de tendre ses lignes puis d’attendre. Je porte la glace à mes lè
vres, je la mords et, de ma langue rose et pointue, je lèche à petits
coups les cristaux de vanille en fixant dans le blanc des yeux les hommes qui ralentissent le pas à ma hauteur en m’observant d’un drôle d’air. Il ne me reste plus qu’à compter mentalement le
nombre de leurs passages. Et de leurs repassages. Jusqu’à ce que - Bingo ! -, l’un d’entre eux vienne s’installer juste en face de moi, de l’autre côté de l’allée. Pour ne pas en rater une
miette. Je l’aurais parié !
chauds
remonter le long de mes cuisses, les caresser avec lenteur, les contraindre à se desserrer imperceptiblement, à s’écarter un peu, puis davantage, jusqu’à ce que progressivement habituée à leur
présence, j’en oublie le contact discret et je me laisse envahir par une sensation délicieuse, une douce tiédeur.
irrépressible entre mes lèvres, comme si celles-ci, augmentant de volume, ne
pouvaient s’empêcher de gonfler et de s’épanouir pour libérer leur moiteur. Ma petite culotte est rapidement trempée. Je n’y peux rien. Il le sait. Plaquée sur les reliefs de mon intimité,
l’auréole humide remonte et s’étend. « Tu aimes ? », me demande-t-il, sans interrompre sa lecture. Je réponds oui avec enthousiasme, croyant qu’il s’agit du chapitre en cours. Cela le fait
sourire. Il tire sur l’élastique vers le haut pour comprimer davantage ma vulve et la retenir au creux de sa paume sous le tissu mouillé. Ses doigts accentuent leur pression. Parcourent de haut
en bas et de bas en haut le sillon de mes lèvres qu’ils devinent. J’ai l’impression d’être nue sans vraiment l’être tout à fait. C’est tellement agréable que je n’en ai même pas honte.
ler le robinet de la baignoire. Je le soupçonne aussi de venir fouiller en mon absence dans la corbeille à linge sale.
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