Béatrice est à genoux dans un coin du petit salon. Lady Alexandra l'a mis en pénitence pendant une bonne heure, le visage tourné contre le mur,
les mains sur la tête, le bas de sa jupe relevé très haut dans son dos. Les marques rouges du martinet sont encore nettement visibles sur ses fesses.
- Béatrice ?
- Oui, Madame.
- Je t’autorise à te relever.
- Merci, Madame.
- Ne t’en va pas, reste là, j’ai encore besoin de toi. Pour les travaux domestiques, ton niveau est à peine passable, mais pour le reste, j’ai l’impression qu’il est encore pire ! Tu ne connais pas encore grand chose à la vie, n’est-ce pas, petite oie blanche ?
- Oh si, Madame.
- Comment ça ?
- Madame m’a déjà montré comment masturber un homme.
- Ah oui, c’est vrai, j’avais oublié, je pouvais difficilement faire moins ! Disons que c’est un début et qu’il fallait bien commencer par quelque chose mais
cela
reste encore très insuffisant
!
- J’ai mis vos leçons en pratique, Madame.
- Qu’est-ce que tu veux dire par là ?
- Je n’ai pas encore eu l’occasion d’aborder le sujet avec Madame, mais depuis que Madame m’a appris, je m’entraîne régulièrement pour ne pas perdre la main, si j’ose dire, ou si Madame préfère, pour être tout à fait prête, le moment venu, quand Madame me le demandera.
- Mais
je t’interdis de « t’entraîner », comme tu dis, petite débauchée ! Et avec qui « t’entraînes-tu » ?
- Avec William, votre neveu, Madame. A chaque fois, j’y mets tout mon cœur. De son côté, ça a l’air de lui plaire, il est toujours volontaire. Sans vouloir me vanter, Madame, je crois que par rapport à mes débuts, j’ai fait beaucoup de progrès.
- Celui-là, il ne perd rien pour attendre, je vais lui dire deux mots. Va le chercher immédiatement ! Oh, et puis non, reste là, je verrai plus tard.
- Madame n’a pas l’air contente ! Pourtant je fais ça uniquement pour faire plaisir à Madame et pour essayer d’atteindre la perfection.
- Tais-toi, Béatrice, ou je te colle une deuxième fessée ! Sous tes faux airs de sainte nitouche, tu n’es qu’une dévergondée et une hypocrite ! [Intérieurement, c’est parfait, je ne pouvais pas trouver mieux, c’est comme ça que je les aime] Eh bien, puisque tu as le diable au corps, tu vas être servie, attends un peu ! George ? Mais où est-il encore passé celui-là ?
- [A moitié dissimulé derrière un rideau et s’avançant derrière elle, tel un
fantôme] Madame m’a appelé ?
- George, dites à Andrew de venir me voir tout de suite, je l’attends.
- Bien Madame.
Au bout de quelques minutes, une silhouette imposante et musclée apparaît dans l’encadrement de la porte. Le jardinier, intrigué, a eu tout juste le temps d’enfiler une tenue convenable, après s’être lavé les mains à la hâte et avoir aspergé d’eau ses cheveux ébouriffés pour tenter de fixer ses épis.
-
Béatrice, je te présente Andrew, notre jardinier. C’est un Écossais solide et travailleur. Il a toute ma confiance. Les Écossais ne déçoivent jamais.
- Si je peux me permettre, Madame, nous nous connaissons déjà.
- Comment ça, tu ne vas pas me dire que tu t’es déjà « entraînée » aussi avec Andrew ?
- [Ce dernier, gêné] Béatrice veut simplement dire que nous nous sommes déjà croisés dans le salon un jour où je m’y trouvais pour arranger des bouquets.
- Ah bon, c’est possible, je ne m’en souviens plus. Approchez-vous, Andrew, voilà, c’est ça, restez debout près de moi. Et puis retirez donc votre veste, vous serez plus à l’aise. Toi, Béatrice, mets-toi à genoux devant lui, je suis curieuse d’observer les résultats de ton entraînement.
Excitée à l’idée de montrer son savoir-faire et de se sentir à nouveau soumise aux pieds d’un homme, la soubrette se met à caresser lentement l’entrejambe d’Andrew
et accentue progressivement la pression sur le renflement qui commence à se former. Elle s’est arrêtée de respirer pour se donner l’air rougissante et fautive. Juste au-dessus d’elle, Andrew
observe son décolleté
plongeant et
ses cils sagement recourbés sur ses paupières, comme ceux, endormis, d’une poupée de porcelaine.
Elle minaude en descendant la fermeture éclair du pantalon. Hésite quelques instants comme pour faire croire qu’elle tente de résister à la tentation. Le jardinier
l’encourage en lui caressant les cheveux et le lobe de l’oreille. Ses doigts suivent très lentement les contours de sa bouche, s’insinuent entre ses lèvres, lui suggèrent de se livrer à un
divertissement dont elle prétend ignorer encore les règles. Ce qui n’était jusque-là qu’un exercice,
qu’une leçon apprise et répétée, se transforme insensiblement en une
pulsion incontrôlable.
Lady Alexandra observe la scène avec ravissement. Sa soubrette plonge la main dans l’ouverture, palpe à travers le tissu la protubérance qui a démesurément grossi, fait glisser le vêtement vers le bas d’un geste résolu, et ne peut contenir sa surprise devant ce qu’elle découvre : un sexe long, épais, turgescent, doté d’un gland énorme dont la pointe évasée fait saillie sous la peau, à l’extrémité du pénis, parcouru par une veine écarlate, et tendu comme un canon monté sur des testicules herculéens, palpitants, gonflés comme deux gros kiwis juteux qui achèveraient de mûrir sous les rayons paresseux des tropiques.
- Regardez, Madame, vous vous rendez compte, c’est à peine croyable, je n’avais encore jamais vu un engin pareil !
- Tu n’as pas encore vu grand-chose, Béatrice, et puis ce n’est pas un engin, chez un jardinier, on appelle ça un plantoir. Andrew est
doté d’un plantoir magnifique, c’est pour ça que je l’ai pris à
mon service !
- Je peux continuer, Madame ?
- Attends un peu, jusque-là tu as parfaitement assimilé ta leçon. Je dirais même que tu as brûlé les étapes. Mais maintenant, il est temps que je t’apprenne quelque
chose de nouveau. Je veux faire de toi une bonne suceuse. La fellation, puisque c’est comme ça que ça s’appelle, est un art difficile. Alors
écoute-moi attentivement, c’est très important pour la suite, parce
que ça fera partie de ton service quand je recevrai des invités.
- Bien, Madame.
- Tu vas tirer la peau le plus doucement possible vers l’arrière, comme je te l’ai montré, pour dégager complètement le gland. Très bien, regarde, il est à point. Pour l’exciter encore plus, tu vas le faire patienter. Avec ta langue, caresse doucement son pénis, lentement, de bas en haut, en te gardant, pour le moment, de toucher à la pointe.
- Comme si j’étais au cinéma et que je léchais un esquimau, Madame ?
- Euh…oui, si tu veux. Prends bien soin au passage de câliner ses testicules, titille-les par-dessous avec le bout de ta langue et continue en aspirant
successivement l’un et l’autre entre tes lèvres
, comme si tu t’apprêtais à déguster un fruit. N’oublie pas de rester souriante et de lui montrer que toi aussi, tu ressens du plaisir.
- C’est pas difficile, Madame, je me régale !
- J’en étais sûre, petite garce ! Gourmande comme tu es, il va falloir que je te surveille. Plus tard, je t’attacherai les bras dans le dos, mais pour le début, il
faut que tu te serves à la fois de ta bouche et de ta main et surtout que tu apprennes à synchroniser les deux mouvements. Évite toute bru
squerie et reste concentrée. Pendant que tu l’actionnes doucement de
haut en bas, ta bouche doit maintenant s’activer en priorité sur le gland, c’est lui qui est le plus sensible.
- Je peux faire semblant de le grignoter, Madame ?
- Surtout pas, malheureuse ! Il ne faut jamais mordre un gland, c’est un principe de base, les dents sont les pires ennemies de la fellation. Ta langue doit au contraire le lécher amoureusement, tâter chaque repli, chaque boursouflure.
- Comme ça, Madame ?
- Oui, c’est bien, continue, suce, ma belle, suce… mais bannis les gestes mécaniques, tu risques de t’en lasser très vite et ton partenaire aussi. Au contraire,
sois imaginative, créatrice. En variant les
plaisirs, tu devrais rapidement identifier les caresses auxquelles il est le plus sensible.
- Celles qui le feront monter aux rideaux !
- Oui, comme tu dis, en plus tu gagneras du temps et il t’en sera reconnaissant.
- Je peux souffler dedans ?
- Pourquoi pas ? C’est à toi de voir, tout est possible à condition que cela lui soit agréable.
- Comme ça, Madame ?
- Non, pas du tout, tu y vas beaucoup trop fort, je ne t’ai pas demandé d’embo
ucher une trompette ou de souffler dans un ballon d’alcootest ! Continue, encore plus doucement,
c’est mieux, voilà !
- Il a l’air d’apprécier !
- Maintenant, au point où tu en es, ouvre la bouche au maximum et aspire-le tout entier comme si tu étais prête à l’engloutir.
- Argh…..
- Oui, je sais, avec les gros mandrins, c’est plus difficile… mais rien n’est impossible, tu finiras bien par y arriver.
- Umpf….
- Avale-le plus profond… encore… encore… il faut qu’il disparaisse totalement et que tes lèvres arrivent au contact de sa toison.
- Glurp…….
- Le haut-le-cœur est formellement déconseillé, Béatrice. Si exceptionnellement il peut exciter quelques messieurs particulièrement pervers, la plupart du temps il
risque d’être
interprété comme un
réflexe de dégoût de ta part et donc d’indisposer ton partenaire.
- Je n’ai pas pu m’en empêcher, Madame !
- J’ai bien compris, Béatrice, mais il faut que tu apprennes à maîtriser tes réactions. Au début, tu pourras lui demander de ne pas s’introduire brusquement. Au
lieu que ce soit lui qui s’enfonce plus profondément dans ta bouche, tu t’arrangeras pour absorber son pénis de façon continue et progressive. Parallèlement, tu chercheras à reproduire le
mê
me mouvement de déglutition que
celui que tu ferais pour avaler un comprimé un peu trop volumineux. De cette façon, tu arriveras à tes fins tout en surmontant la sensation nauséeuse très désagréable que tu éprouves en ce
moment.
- Bien, Madame.
- N’oublie pas que tu es censée lui apporter du plaisir et en éprouver également de ton côté par la même occasion. Voilà, c’est mieux, savoure-le comme ça quelques secondes, fais-le ressortir, puis recommence. Oui, très bien, sans te précipiter, plusieurs fois de suite, continue… encore… mets-le au supplice, tu ne vas pas tarder à le rendre fou.
Béatrice, les yeux clos, se lance dans l’aventure avec l’ardeur d’une débutante. Rapidement, elle n’entend plus rien et gémit en cadence avec les mouvements
d’Andrew. Sa façon de sucer semble modulable à l’infini, aussi bien dans les mouvements de sa tête, le pétrissage de ses doigts, la force de son aspiration, que dans la rapidité des
va-et-vi
ent de sa langue. Elle sait,
devine, choisit, soit de calmer, soit au contraire de stimuler, jusqu’à l’accélération finale, lorsqu’elle sent le plaisir monter, le gland buter au fond de sa gorge encore et encore et libérer
enfin sa liqueur blanchâtre en spasmes puissants, dans une ultime poussée.
- [Après avoir laissé un long silence s’installer dans la pièce] Béatrice ?
- [Essoufflée, les joues écarlates et la coiffe de travers] Oui, Madame.
- [La fixant intensément] Je te préviens, à partir d’aujourd’hui, je t’interdis de poursuivre ton « entraînement » sans mon autorisation, c’est compris ?
Sous le pouvoir des yeux verts qui lisent dans ses pensées, la soubrette baisse les siens, troublée. Mais elle les relève aussitôt, comme par provocation et, en se gardant de répondre à sa maîtresse, dévisage à son tour Lady Alexandra, séduite par le regard de défi qu’elle lui lance.
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embouchant leurs trompettes, tandis
qu’une série de cadres dorés égaient la boiserie sombre des lambris. Galerie de portraits figés pour la postérité dans le nacré d’une chair, le pétillement d’une prunelle et l’éternité d’un
sourire. Le duc de Penthièvre par Nattier. Gabrielle d’Estrées en Diane Chasseresse, par Ambroise Dubois. Deux toiles de Mesdames de
Châteauroux et de Mailly, favorites de Louis XV, par Van Loo. Le portrait du Comte de
Toulouse par Rigaud et derrière Lady Alexandra, celui en pied, par Nicolas de Largillière, de François-Henri-Hyacinthe Aramon d’Outrelaise, amiral de France et chevalier de l’Ordre de
Saint-Michel, tué au combat de Saint-Vaast-la Hougue le 29 mai 1692, lointain ancêtre de la maîtresse de maison.
taillé est alignée devant chaque couvert. De somptueuses couronnes odorantes de lis
blancs dessinent un chemin de lumière et font ressortir par contraste les motifs bleu nuit des assiettes en porcelaine de Chine. Au centre, ruisselante d’arabesques ouvragées, flamboie une
soupière monumentale
aux allures de carrosse.
ensuite
les hommes. Elle croirait entendre résonner à ses oreilles les consignes de sa maîtresse. Celle-ci sourit à ses voisins qui se relaient pour dresser l’éloge de sa beauté et l’élégance de sa
tenue.
coin des chasseurs frémit encore des aventures de l’après-midi, émaillées d’anecdotes et
d’expressions à double sens que les hommes s’échangent entre eux à haute voix, les yeux brillants - bon tireur, joli coup, poule splendide - et que les femmes, gênées, font semblant de ne pas
comprendre. A côté, avec moins de succès, un expert en fusions-acquisitions chez Goldman Sachs New York expose ses vues magistrales sur les dangers d’un durcissement trop rapide des taux par la
Réserve fédérale américaine.
décolleté. Malgré tous les efforts de la maîtresse de maison pour aborder des thèmes plus
légers, la conversation ne dévie pas d’un pouce. A bout d’arguments, elle fait un signe discret à Béatrice. C’est le code convenu entre elles. La soubrette disparaît à quatre pattes sous la
table. Opération éclair. Action de commando. Surprendre l’adversaire. Écourter les préliminaires.
Privilégier l’efficacité. Déboutonner la braguette. Introduire la main. Écarter
l’élastique. Chic, un gros paquet ! Ça tombe à pic, c’est bientôt Noël ! Empaumer les bourses d’une main. Dégager le gland de l’autre. Le visage du jeune homme s’empourpre subitement.
Accélérer au moment de l’embrasement
final. Jusqu’à ce qu’elle le sente se vider au fond de sa gorge et qu’elle avale avec délice son fluide abondant.
George sert le vin en carafe. Un trio de connaisseurs s’essaie au jeu de la devinette.
Couleur pourpre soutenue... nez intense en fruits rouges... à coup sûr un Médoc... harmonieux... bien équilibré... intermédiaire entre un Pauillac... dont il rappellerait la structure... et un
Margaux... dont il emprunterait l'arôme... une rondeur et une finesse exceptionnelles en bouche... un peu réservé... tendre... gracieux... presque féminin dans son arrière-goût... très
vraisemblablement un Saint-Julien... mais lequel ? ... peut-être un château Beychevelle... il en aurait bien les qualités... à moins que... à moins que ce ne soit plutôt son voisin d'en face...
un ancien de la famille... oui, c'est sûrement ça... décidément, ils sont très forts... c'est un Branaire-Ducru.
Extravaganza au Royal Albert Hall. A côté,
un couple est encore sous le charme d’une soirée estivale à Glyndebourne pour la représentation de « Die Zauberflöte », précédée d’un pique-nique champêtre - sandwiches au concombre, Veuve
Clicquot cuvée 1996 - sur l’herbe tendre des prairies environnantes.
appelez-moi Michael ! »), la noie depuis maintenant près d’une demi-heure sous un déluge
de termes ésotériques – cloud computing, provider, bande passante, ADSL, firewall, streaming, balises HTML, webparts, sharepoint - qui finissent par la lasser. Pour couper court à la
conversation, son joker s’appelle Béatrice. Échange du code. Intérieurement, la maîtresse de maison se régale à l’avance d’observer la réaction de son interlocuteur (« Ça lui fera le plus grand
bien ! »). La soubrette repart en plongée. Remède magique. Le fil de la conversation ne tarde pas à s’interrompre. Le contact est établi. Il ne fait plus de doute que sous la table, Béatrice a
pris énergiquement les choses en main. C’est excitant de malmener un homme. De renverser pour une fois les rôles. Trouver le bon rythme. Ni trop lent ni trop précipité. Sa bouche s’ouvre toute
grande. La gourmandise est un vilain défaut. Le lécher d’abord. Reculer le dénouement. Faire durer
la jouissance jusqu’à l’insupportable. Le tenir à sa merci. Profiter de l’aubaine. Un
convive bien élevé ne met pas ses mains sous la table. Enserrer son membre dans l’anneau de ses lèvres, avant de le prendre plus à fond. Le sucer jusqu’à la racine. Jusqu’à la déraison. Prendre
son plaisir en même temps qu’on le donne. Béatrice doit se retenir pour ne pas crier. Sa victime aussi. Elle contracte la
bouche à la cadence des spasmes de son entrejambe. L’orgasme l’inonde. Le visage du
webmaster a viré au cramoisi. Objectif atteint. Mission exécutée. Organisation militaire. Ponctualité suisse. Juste à temps pour servir le dessert, un gratin de framboises à la
cassonade.
évoque haut et fort les mensurations et les prouesses de sa dernière conquête. Réagir immédiatement. Ne pas gâcher la fête. Préserver sa réputation. La faire taire par tous les
moyens. La soubrette croise le regard de sa maîtresse. Elle a immédiatement compris ce qu’elle attend d’elle.
minutes plus tôt, Blandine, de son côté, est descendue en plongée s’occuper d’un invité.
Lady Alexandra a l’impression d’assister au ballet de deux canards qui disparaîtraient périodiquement sous la surface d’un étang. Le monde du silence. L’ivresse des profondeurs. Se faufiler
discrètement à quatre pattes. Conserver son calme et le sens de l’orientation. Ne pas se tromper de cible. Une robe rouge, on ne peut pas se tromper. C’est plus facile qu’avec les pantalons des
hommes. Là voilà ! Béatrice relève le tissu, écarte les jambes de la jeune femme. Ses doigts s’insinuent au contact lisse et doux de la face intérieure des cuisses. Oh la jolie petite culotte en
satin blanc innocemment tendue sur la bosse du
mont de
Vénus ! La soubrette ne résiste pas à l’envie de chauffer le relief qui se dessine, la bouche plaquée sur le tissu à hauteur de l’entrejambe. Personne ne sait le faire aussi bien qu’elle.
L’invitée s’arrête de parler. C’est bon signe. Continuer jusqu’à la rendre folle. Elle écarte le tissu. La bouche ouverte contre la soie chaude de la toison, sa langue force le passage des lèvres
humides et gonflées et savoure la moiteur musquée qui les imprègne.
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