L'apprentissage de Béatrice se poursuit. En dépit des conseils que lui prodigue sa maîtresse, la soubrette éprouve les pires
difficultés à venir à bout de l'exercice des petits pas. La montée des marches n'est pas non plus un franc succès. Les minutes s'écoulent. La fatigue augmente. Les tensions
s'exacerbent.
- Écoute-moi, Béatrice, je suis très patiente mais ça commence à suffire ! Tu ne sortiras pas d'ici sans m'avoir montré
que tu sais
marcher correctement à petits pas. Cela n'a peut-être pas d'importance pour toi mais ma réputation est en jeu. J'en fais une affaire personnelle. La maison n'accepte pas l'échec, c'est
clair?
- Mais Madame, je ne le fais pas exprès, au contraire, je vous assure, je prends la situation à cœur mais à la longue je finis par avoir mal aux chevilles et puis j'ai peur de tomber.
- Parfait, j'ai compris, Mademoiselle fait de la résistance! Elle joue la forte tête ! Elle s'imagine peut-être qu'elle va réussir à me faire céder!
- Oh non, Madame!
- Eh bien à ce jeu-là tu
n'es pas près de gagner, ma belle, c'est moi qui te le dis, tu me
connais mal !
- Mais...
- Il n'y a pas de mais, viens là, nous allons changer de méthode, j'en connais une qui est très efficace... elle donne toujours d'excellents résultats. Qu'en penses-tu, Blandine?
- Oh oui, Madame, une fessée magistrale, il n'y a rien de tel, ça va lui remettre les idées en place, après, elle saura tout de suite comment faire!
- Ah, tu vois, ton amie Blan
dine partage mon avis, c'est tout à fait ce qu'il te
faut!
- Oh non, Madame !
- Il va falloir que tu t'y habitues, parce que si tu continues comme ça, tu vas être servie!
- Je vous en prie, Madame... s'il vous plaît!!!
- Et en plus, tu crois que je vais me laisser attendrir par tes pleurnicheries?
- [Blandine] Des larmes de crocodile, Madame!
- Replie les bras dans le dos et penche-toi en avant... encore... encore... voilà, reste dans cette position, ne bouge plus.
- Madame, par pitié...!!!
- Tu as vu, Blandine
, elle est adorable comme ça, avec sa jupe relevée!
- Oh oui, Madame, et puis ce n'est pas son body qui cache grand-chose!
- Justement, aide-moi donc à le rentrer dans la raie de ses fesses.
- Avec plaisir, Madame.
- Attention, si tu appuies trop fort, tu vas passer au travers!
- Madame plaisante!
- N'en profite pas non plus!
- Je ne me permettrais pas, Madame!
- Alors Béatrice? On ne t'entend plus! D'habitude, tu es plus bavarde!
- S'il vous plaît, Madame, donnez-moi encore une chance ! Si vous m'autorisez à me relever, je vous montrerai que je suis capable de faire des petits pas comme vous voulez !
- J'en suis moins sûre que toi, Béatrice, et puis de toute façon il est maintenant trop tard, tant pis pour toi! Il fallait te montrer capable au moment où je te l'ai demandé. Tu ne crois tout de même pas que c'est toi qui commandes ici! Alors cette fessée, non seulement tu vas la recevoir mais en plus tu vas commencer par me la demander!
- Oh Madame!
- Répète après moi: je
suis une petite soubrette entêtée qui a grand besoin d'être
punie...
- Je suis une petite soubrette............ grand besoin d'être punie...
- Et je vous supplie, Madame, de bien vouloir m'administrer...
- ... de bien vouloir m'administrer...
- ... une très sévère fessée.
- ... une très sévère fessée.
- A la bonne heure !
- [Blandine] Vous ne pouvez pas la lui refuser, Madame, elle vous la demande si gentiment!
- Tu as raison, Blandine, tiens-lui bien les jambes, Mademoiselle est encore un peu sauvage!
- Tu es prête, Béatrice?
- Oh non, Madame... s'il vous plaît...
- Tu vas voir, d'ici peu, tes fesses vont virer au rouge écarlate... comme des petites pommes bien mûres!
- Oww... Oowww... Oww!
- ... que dis-je, au rouge cramoisi...
- Oww... Oowww... Oww!
- ... et devenir tellement brûlantes...
- Oww... Oowww... Oww !
- ... que tu ne pourras plus t'asseoir pendant plusieurs jours...!
- Oww... Noon... Oww!
- ... histoire de t'apprendre ce à quoi tu t'exposes lorsque tu me désobéis...
- Oww... Oowww... Oww !
- Mais tais-toi donc, tu n'es plus une gamine huit ans!
- Vous ne trouvez pas qu'elle est douillette, Madame?
- Oh si, Blandine, beaucoup trop ! Tes protestations n'y changeront rien, Béatrice, c'est à peine si nous avons commencé, je n'en suis qu'au début...
- Aow... Aoww... Oww !
- ... c'est juste un échauffement... tu n'as tout de même pas oublié ce que tu que tu m'as demandé? Une fessée... une fessée?
- «Très sévère», Madame.
- Eh bien voilà, la mémoire te revient!
- Elle commence à rosir, Madame !
- A peine, Blandine, à peine... encore quelques minutes de préparation et elle sera fin prête.
- Oww... Noon, Madame ! ... Oww!
- Vous avez raison, ce serait dommage d'aller trop vite!
- Pas de précipitation, de l'ord
re et de la méthode, il faut qu'elle s'en souvienne longtemps. Tu
as entendu, Béatrice?
- Aow... Aoww... Oww !
- Bien, maintenant que tu es suffisamment échauffée, nous allons passer aux choses sérieuses... trois séries de cinquante, tu ne les auras pas volées ! Aide-moi, Blandine, pendant que je la fesse, tu la caresseras par-devant.
- Oh non, par pitié, Madame, je vous en supplie!
- Je veux te les entendre compter, Béatrice, dépêche-toi!
- Aow... un! ... Aoww... deux! ... Oww... trois!
- Tu as des petites fesses superbes, tu sais!
..............
- ... moulées pour recevoir la fessée.
..............
- Aow... trente-cinq ! ... Aoww... trente-six ! ... Oww ! trente-sept ! ...
- ... On dirait des fesses de bébé, Madame.
- Et encore, tu peux t'estimer heureuse, Béatrice, habituellement je donne les fessées en public !
- Oh non, Madame... Aoww... trente-huit !
- Parfaitement, devant tout le monde et déculottées!
..............
- Aoww... quarante-deux ! ... Aïe... quarante-trois !
- Je vais te dresser, ma belle, tu deviendras une petite soubrette...
- Aoww... quarante-six!
- ... docile...
- Aoww... quarante-sept!
- ... obéissante...
- Aoww... quarante-huit!
- ... soumise...
- Quarante-neuf!
- ... respectueuse...
- Oooh... cinquante!
- Tu commences à prendre des couleurs, tu sais !
- Oh Madame, regardez, elle est toute humide par-devant!
- Qu'est-ce que j'entends, Béatrice, tu n'as pas honte?
- Je vous assure, Madame, elle ruisselle ! A mon avis, elle fait semblant de se plaindre mais en réalité, elle adore ça !
- Oh non, Madame...!
- Mais oui, Blandine, tu as tout à fait raison. Mademoiselle proteste! Mais Mademoiselle apprécie! Mademoiselle n'en a pas eu assez! Mademoiselle en redemande! Penche-toi en avant, ma belle, oui comme ça, encore. Voilà, tu es prête?
- Oh Madame, je vous en supplie!
- Allons-y pour une nouvelle
série de cinquante puisque tu sembles y prendre goût!
- Aow... un! ... Aoww... deux! ... Oww... trois!
- Regarde-moi ce rouge, Blandine!
- Magnifique, Madame!
- ... Aow... trente-deux ! ... Aoww... trente-trois! ...
- Inutile de sangloter, Béatrice, quand j'ai décidé quelque chose, je ne reviens jamais en arrière.
..............
- ... Aow... quarante-huit ! ... Aoww... quarante-neuf!
- Alors Béatrice, tu as réfléchi? Je suis sûre que maintenant tu vas savoir
très rapidement marcher à petits pas!
- ... Oohhh! ... cinquante! Ooh oui, Madame!
- Tu peux te relever. Touche ses fesses, Blandine, elles sont brûlantes.
- Qu'est-ce qu'on dit, Béatrice?
- Merci, Madame.
- Va te mettre au coin là-bas, penche-toi en avant et relève ta robe. Je veux que tout le monde te voie!
- Oh Madame!
- Quant à toi, Blandine, tu resteras à côté d'elle pour la surveiller.
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

uerais sans état d’âme les bonnes vieilles méthodes. Elles ont fait
leurs preuves. A ma connaissance, on n’a rien inventé de mieux.
incantes de les abandonner sous prétexte que nous ne serions
plus au Moyen-âge, que les temps auraient changé, et que notre société serait devenue plus « permissive ». Le laisser-aller est un mauvais choix. Il est crucial que nous assumions nos
responsabilités.
parfaitement maîtrisé. Il ne me semble donc pas inutile de
vous rappeler brièvement le déroulement d'une séance.
appliqué sans sadisme mais aussi sans faiblesse ni indulgence.
Personnellement, j’ai l’habitude de prévenir Béatrice quelques heures à l’avance, parfois même plus longtemps encore, de façon à la laisser méditer sur son sort, à la mettre en condition, en
quelque sorte, et à faire naître chez elle un sentiment de repentir avant même que la correction ne commence. La peur se révèle une excellente conseillère !
e si la personne qui allait procéder à la correction se sentait en quelque sorte mauvaise conscience de se livrer à un acte répréhensible. Il ne faut surtout
pas que vous ayez honte de donner la fessée. Pour cette raison, le choix de la chambre à coucher ou de toute autre pièce à usage privé n'est pas approprié. A l’inverse, le salon
(ou le jardin quand il fait beau), lieu ouvert, est parfaitement adapté à la circonstance. D
’une part, parce que tout ce qui s’y passe est transparent et d’autre
part, parce qu’il permet d’associer des spectateurs à la cérémonie. Je recommande vivement, en effet, les fessées données en public. Elles sont beaucoup plus humiliantes pour les victimes. Elles
procurent à ceux qui y assistent des plaisirs parfois inavouables. Elles peuvent également exacerber les tendances exhibitionnistes de certains sujets. Elles permettent enfin à la maîtresse
de cérémonie de se mettre en valeur par son autorité, son énergie, ou son adresse.
ous les instruments dont vous aurez besoin. Ils vous sont familiers. Vous en connaissez le maniement comme personne. Rangez-les dans un sac et confiez ce dernier à la punie
elle-même. C’est bien la moindre des choses. Savoir qu’elle transporte les accessoires qui vont lui rougir les fesses aura la plupart du temps un effet extrêmement salutaire sur son comportement
et contribuera à
calmer toute envie de
rébellion de sa part.
ontraint la soumise à sentir physiquement l'érection de son maître,
voire à supporter, en cours de route, quelques caresses plus intimes au niveau du pubis ou de l’anus. La sensation éprouvée par un garçon est souvent du même ordre. Vous pourrez observer qu'une
fois installé sur vos genoux, votre jeune Vincent se trouve dans une posture qui ne le laisse pas indifférent. Voilà une occasion à ne pas manquer pour asseoir votre autorité de femme. Pour
l’éveiller à la
vie. Pour débuter son
éducation sexuelle. Ou son éducation tout court. Il faut un début à tout. Les fessées enfantines constituent souvent une étape importante dans le processus de domination des hommes.
imagination. Il faut savoir rompre de temps en temps avec les habitudes
! Demandez à la coupable de vous apporter l’instrument que vous aurez choisi et de vous le présenter, à genoux, avec respect et déférence. Le seul fait d’avoir à le tenir entre ses
doigts doit provoquer sa crainte.
t pas tomber brusquement du ciel sans raison apparente
mais être associée à une cause clairement identifiée. Vous expliquerez donc d’une voix calme et posée à votre petit Vincent les motifs pour lesquels sa conduite a été répréhensible, en quoi
elle vous a choquée, ce qu’elle mérite en retour et la punition qui en résulte. A ce stade, il n’est pas nécessaire d’entrer dans les détails, notamment de spécifier le degré de sévérité de la
fessée. La victime en jugera bien assez tôt ! L’essentiel est que votre message soit clair et bien compris.
Bien chère amie,
qu’obliger la coupable à retirer elle-même ses vêtements est
extrêmement salutaire. Pour autant, n’allez pas jusqu’à lui ordonner de tout enlever et dites-lui de rester en petite culotte. Elle se croira ainsi momentanément protégée. Personnellement,
j’adore prendre le temps de contempler à loisir les petites fesses de ma soubrette lorsqu’elles sont encore moulées dans le vêtement lumineux qui délimite très exactement les contours de ma
future cible.
qu’elle est la contrepartie logique d’une faute reconnue. Naturellement, il peut arriver qu’un sujet se montre plus ou moins agité. Si vraiment il n'y a pas
moyen de le tenir tranquille, il faudra se résoudre à l’immobiliser et penser à lui infliger, tout à fait à la fin, le surcroît de claques qu'il mérite pour la peine.
corps soit déséquilibré en avant, ses mains touchant le plancher
et ses jambes en l’air, de façon à faire ressortir ses reins et à l’empêcher de se redresser. Elle doit être bien calée, son bras gauche serré contre mon abdomen, son bras droit
fermement maintenu dans le dos.
suivant
ne tombe. Ne vous précipitez donc pas.
beaucoup de plaisir) est le gage d'une séance de fessées réussie. Pour
cela, la fesseuse doit être à l'écoute des sensations de la soumise mais elle doit parallèlement être inspirée par ses propres fantasmes. Il est important qu’un authentique dialogue mental et
érotique puisse s’instaurer entre les deux partenaires.
les plus graves. A l’inverse, la méthode douce, qui peut être agrémentée d’innombrables variantes, est celle que je recommande. Elle suscitera et
accompagnera au plus près la montée du trouble de la victime.
plus tendre, la sensation de douleur sera plus vive. D’autre
part, parce que les marques des doigts y demeurant imprimées plus longtemps, elles continueront à être exposées à la vue de tous, y compris une fois la correction terminée et la jupe
renfilée, surtout si celle-ci est très courte.
qui peuvent s’emparer de certains d’entre eux lorsqu’ils se retrouvent basculés sur mes genoux.
déculottée ? Il y a plusieurs raisons à cela. D’abord parce qu’exposer
la nudité développe immanquablement chez celui ou celle qui la reçoit un sentiment de malaise et de honte. Ensuite parce que celle qui la donne doit pouvoir évaluer sans risque de se tromper les
conséquences de ses gestes : le degré de rougeur et de chaleur atteint, les marques laissées sur la peau, les zones encore vierges… Une fessée ne s’administre jamais à l’aveugle ou à la volée.
C’est un exercice qui exige
au contraire
beaucoup de méthode et d’attention. La main constitue l’outil par excellence, le thermomètre si l’on peut dire.
relever et prendre la pose, le buste plaqué à l’horizontale sur le dessus d’une table ou d’un bureau, les reins cambrés et les jambes écartées. Cette position est à mon avis encore plus
humiliante que la précédente. Outre le fait que le martinet évoque inévitablement le retour à l’enfance, il est également complémentaire de la fessée à la main dans la mesure où son
effet est plus cinglant et où il doit être principalement appliqué sur les cuisses. Il permet aussi d’atteindre des zones difficiles. Je pense à l’entrejambe, un endroit sensible,
tant chez les
filles que chez les
garçons.
celui de la fessée proprement dite. Mais il m’arrive aussi de la jucher
à genoux sur un tabouret afin de l’obliger à garder l’équilibre et à se tenir droite. Naturellement, vous resterez à proximité pour la surveiller du coin de l’œil et vous la menacerez d’une
nouvelle correction si vous la surprenez en train de se frotter les fesses avec les mains pour tenter d’apaiser le feu qui les consume.
en public -, un écriteau attaché autour de son cou - du genre « je
suis insolente » ou encore « je me masturbe » - viendra rappeler à tout un chacun le motif de la punition. Ce genre d’exhibition, l’expérience me l’a montré, attire toujours un certain nombre de
curieux - de voyeurs, disons-le - et il serait regrettable, à mon avis, de ne pas les faire profiter du spectacle. N’oubliez pas que, jusqu’à son terme, la fessée doit rester humiliante.
dodus, gonflés avec insolence, qui s’offrent à mes caprices en
arrondissant avec orgueil leurs belles joues potelées. Et puis c’est un plaisir partagé. Car je devine ce que Béatrice ressent de son côté dans ces moments-là. Entre deux séries de fessées,
je lui caresse le sexe. Mes doigts passent et repassent le long de sa fente, s'insinuent entre ses lèvres. Je l'entends gémir. Non pas de douleur mais de plaisir. Un plaisir que je sens monter
dans son ventre, brûler sa vulve, irradier du clitoris à l'anus. Elle est humide, excitée, comme prête pour l'amour. A la longue, j'ai fini par la dresser comme un petit chien. Fessée est devenue
maintenant pour elle synonyme de jouissance. Avec elle, la fessée finit souvent en levrette, les cuisses bien écartées, offerte à mes amants de passage, trop contents de l'aubaine, qui la
pénètrent devant moi.
Derniers Commentaires