Fessée

Samedi 6 juin 6 06 /06 /Juin 07:00

 

05 01L'apprentissage de Béatrice se poursuit. En dépit des conseils que lui prodigue sa maîtresse, la soubrette éprouve les pires difficultés à venir à bout de l'exercice des petits pas. La montée des marches n'est pas non plus un franc succès. Les minutes s'écoulent. La fatigue augmente. Les tensions s'exacerbent.

- Écoute-moi, Béatrice, je suis très patiente mais ça commence à suffire ! Tu ne sortiras pas d'ici sans m'avoir montré     05 02que tu sais marcher correctement à petits pas. Cela n'a peut-être pas d'importance pour toi mais ma réputation est en jeu. J'en fais une affaire personnelle. La maison n'accepte pas l'échec, c'est clair?  

- Mais Madame, je ne le fais pas exprès, au contraire, je vous assure, je prends la situation à cœur mais à la longue je finis par avoir mal aux chevilles et puis j'ai peur de tomber.

- Parfait, j'ai compris, Mademoiselle fait de la résistance! Elle joue la forte tête ! Elle s'imagine peut-être qu'elle va réussir à me faire céder!

- Oh non, Madame!

- Eh bien à ce jeu-là tu 05 03n'es pas près de gagner, ma belle, c'est moi qui te le dis, tu me connais mal !

- Mais...

- Il n'y a pas de mais, viens là, nous allons changer de méthode, j'en connais une qui est très efficace... elle donne toujours d'excellents résultats. Qu'en penses-tu, Blandine?

- Oh oui, Madame, une fessée magistrale, il n'y a rien de tel, ça va lui remettre les idées en place, après, elle saura tout de suite comment faire!

- Ah, tu vois, ton amie Blan05 04dine partage mon avis, c'est tout à fait ce qu'il te faut!

- Oh non, Madame !

- Il va falloir que tu t'y habitues, parce que si tu continues comme ça, tu vas être servie!

- Je vous en prie, Madame... s'il vous plaît!!!

- Et en plus, tu crois que je vais me laisser attendrir par tes pleurnicheries?

- [Blandine] Des larmes de crocodile, Madame!

- Replie les bras dans le dos et penche-toi en avant... encore... encore... voilà, reste dans cette position, ne bouge plus.

- Madame, par pitié...!!!

- Tu as vu, Blandine05 05, elle est adorable comme ça, avec sa jupe relevée!

- Oh oui, Madame, et puis ce n'est pas son body qui cache grand-chose!

- Justement, aide-moi donc à le rentrer dans la raie de ses fesses.

- Avec plaisir, Madame.

- Attention, si tu appuies trop fort, tu vas passer au travers!

- Madame plaisante!

- N'en profite pas non plus!

- Je ne me permettrais pas, Madame!

- Alors Béatrice? On ne t'entend plus! D'habitude, tu es plus bavarde! 05 06 

- S'il vous plaît, Madame, donnez-moi encore une chance ! Si vous m'autorisez à me relever, je vous montrerai que je suis capable de faire des petits pas comme vous voulez !

- J'en suis moins sûre que toi, Béatrice, et puis de toute façon il est maintenant trop tard, tant pis pour toi! Il fallait te montrer capable au moment où je te l'ai demandé. Tu ne crois tout de même pas que c'est toi qui commandes ici! Alors cette fessée, non seulement tu vas la recevoir mais en plus tu vas commencer par me la demander!

- Oh Madame!  

- Répète après moi: je05 07 suis une petite soubrette entêtée qui a grand besoin d'être punie...

- Je suis une petite soubrette............ grand besoin d'être punie...

- Et je vous supplie, Madame, de bien vouloir m'administrer...  

- ... de bien vouloir m'administrer...

- ... une très sévère fessée.

- ... une très sévère fessée.

- A la bonne heure !

- [Blandine] Vous ne pouvez pas la lui refuser, Madame, elle vous la demande si gentiment!

- Tu as raison, Blandine, tiens-lui bien les jambes, Mademoiselle est encore un peu sauvage!

- Tu es prête, Béatrice? 05 08 

- Oh non, Madame... s'il vous plaît...

- Tu vas voir, d'ici peu, tes fesses vont virer au rouge écarlate... comme des petites pommes bien mûres!

- Oww... Oowww... Oww!  

- ... que dis-je, au rouge cramoisi...

- Oww... Oowww... Oww!

- ... et devenir tellement brûlantes...

    - Oww... Oowww... Oww !

- ... que tu ne pourras plus t'asseoir pendant plusieurs jours...!

- Oww... Noon... Oww! 05 09 

- ... histoire de t'apprendre ce à quoi tu t'exposes lorsque tu me désobéis...

- Oww... Oowww... Oww !

- Mais tais-toi donc, tu n'es plus une gamine huit ans!

- Vous ne trouvez pas qu'elle est douillette, Madame?

- Oh si, Blandine, beaucoup trop ! Tes protestations n'y changeront rien, Béatrice, c'est à peine si nous avons commencé, je n'en suis qu'au début...

- Aow... Aoww... Oww ! 05 10 

- ... c'est juste un échauffement... tu n'as tout de même pas oublié ce que tu que tu m'as demandé? Une fessée... une fessée?  

- «Très sévère», Madame.

- Eh bien voilà, la mémoire te revient!

- Elle commence à rosir, Madame !

- A peine, Blandine, à peine... encore quelques minutes de préparation et elle sera fin prête.

- Oww... Noon, Madame ! ... Oww!

- Vous avez raison, ce serait dommage d'aller trop vite!

- Pas de précipitation, de l'ord05 11re et de la méthode, il faut qu'elle s'en souvienne longtemps. Tu as entendu, Béatrice?

- Aow... Aoww... Oww !

- Bien, maintenant que tu es suffisamment échauffée, nous allons passer aux choses sérieuses... trois séries de cinquante, tu ne les auras pas volées ! Aide-moi, Blandine, pendant que je la fesse, tu la caresseras par-devant.  

- Oh non, par pitié, Madame, je vous en supplie!  

- Je veux te les entendre compter, Béatrice, dépêche-toi!

- Aow... un! ... Aoww... deux! ... Oww... trois! 05 12 

- Tu as des petites fesses superbes, tu sais!

..............

- ... moulées pour recevoir la fessée.

..............  

- Aow... trente-cinq ! ... Aoww... trente-six ! ... Oww ! trente-sept ! ...

- ... On dirait des fesses de bébé, Madame.

- Et encore, tu peux t'estimer heureuse, Béatrice, habituellement je donne les fessées en public !

- Oh non, Madame... Aoww... trente-huit !

- Parfaitement, devant tout le monde et déculottées!

.............. 05 13 

- Aoww... quarante-deux ! ... Aïe... quarante-trois !

- Je vais te dresser, ma belle, tu deviendras une petite soubrette...  

- Aoww... quarante-six!

- ... docile...

- Aoww... quarante-sept!  

    - ... obéissante...

- Aoww... quarante-huit!

- ... soumise...

- Quarante-neuf!

- ... respectueuse...  

- Oooh... cinquante!

- Tu commences à prendre des couleurs, tu sais ! 05 14 

- Oh Madame, regardez, elle est toute humide par-devant!

- Qu'est-ce que j'entends, Béatrice, tu n'as pas honte?  

- Je vous assure, Madame, elle ruisselle ! A mon avis, elle fait semblant de se plaindre mais en réalité, elle adore ça !  

- Oh non, Madame...!

- Mais oui, Blandine, tu as tout à fait raison. Mademoiselle proteste! Mais Mademoiselle apprécie! Mademoiselle n'en a pas eu assez! Mademoiselle en redemande! Penche-toi en avant, ma belle, oui comme ça, encore. Voilà, tu es prête?

- Oh Madame, je vous en supplie!

- Allons-y pour une nouvelle 05 15série de cinquante puisque tu sembles y prendre goût!

- Aow... un! ... Aoww... deux! ... Oww... trois!

- Regarde-moi ce rouge, Blandine!  

- Magnifique, Madame!

- ... Aow... trente-deux ! ... Aoww... trente-trois! ...  

- Inutile de sangloter, Béatrice, quand j'ai décidé quelque chose, je ne reviens jamais en arrière.

..............

- ... Aow... quarante-huit ! ... Aoww... quarante-neuf!

- Alors Béatrice, tu as réfléchi? Je suis sûre que maintenant tu vas savoir 05 16très rapidement marcher à petits pas!

- ... Oohhh! ... cinquante! Ooh oui, Madame!

- Tu peux te relever. Touche ses fesses, Blandine, elles sont brûlantes.

- Qu'est-ce qu'on dit, Béatrice?

- Merci, Madame.

- Va te mettre au coin là-bas, penche-toi en avant et relève ta robe. Je veux que tout le monde te voie!

- Oh Madame!
- Quant à toi, Blandine, tu resteras à côté d'elle pour la surveiller. 

Par Béatrice - Publié dans : Fessée - Communauté : Soumission et appartenance
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 06:00

42 01Bien chère amie,

Vos lettres sont un cadeau du ciel et j’éprouve toujours infiniment de plaisir à recevoir de vos nouvelles. La présence de votre neveu Vincent à vos côtés n’est apparemment pas de tout repos. Comment pourrait-il en être autrement ? Il est en plein dans l’âge difficile. Les repères essentiels lui manquent. Dans votre rôle d'éducatrice, c'est à vous de lui fixer quelques règles de conduite qui le guideront pour l’avenir.

Par où commencer ? Mon premier conseil est d’éviter de vous laisser déborder. Vincent vous a été confié. Il est inadmissible qu'il échappe à votre autorité. Il est urgent d’agir avec la plus extrême fermeté. Si j’étais à votre place, j’appliq42 02uerais sans état d’âme les bonnes vieilles méthodes. Elles ont fait leurs preuves. A ma connaissance, on n’a rien inventé de mieux.

Ici en Angleterre, les parents et les professeurs trouvent tout naturel de recourir aux châtiments corporels quand il s’agit de remettre les enfants dans le droit chemin. J’ai moi-même été élevée selon ces principes de rigueur et de discipline. Je les trouve excellents et je ne vois pas de raisons conva42 03incantes de les abandonner sous prétexte que nous ne serions plus au Moyen-âge, que les temps auraient changé, et que notre société serait devenue plus « permissive ». Le laisser-aller est un mauvais choix. Il est crucial que nous assumions nos responsabilités.

C’est en tout cas ce à quoi je m’emploie, de mon côté. Car je me trouve confrontée, comme vous, à des difficultés du même ordre avec Béatrice. Les conseils que je m'apprête à vous donner ne sont donc pas le résultat de mes lectures sur le sujet mais le fruit de l’expérience, entretenue par une pratique régulière. Je vous garantis mes recettes à coup sûr. Je les ai essayées personnellement. Elles se sont toujours montrées efficaces. Avec les filles comme avec les garçons. Bien entendu, je vous les livre en l’état. La prescription est applicable à une jeune fille mais je ne doute pas que vous saurez la transposer aisément à un adolescent.

Pour commencer, parmi ces méthodes, celle qui a de très loin ma préférence est la fessée. J’en suis une inconditionnelle.

Mais attention, la fessée ne doit pas être administrée n’importe comment, n’importe quand, ni pour n’importe quel motif. Bien plus qu’une simple punition, c’est un acte raisonné. Je serais tentée de dire un art à part entière quand il est 42 05parfaitement maîtrisé. Il ne me semble donc pas inutile de vous rappeler brièvement le déroulement d'une séance.

Il convient tout d’abord de planter le décor, un peu comme au théâtre, avec les éléments qui vont contribuer à faire vivre la pièce : ses personnages, son intrigue, ses rebondissements, son dénouement… La fessée doit être tout le contraire d’une punition improvisée, anodine, qui serait décidée et exécutée dans l’urgence, sous l’emprise de la colère ou de l’émotion. Il n’y a pas de bonne fessée sans un certain cérémonial. Et celui-ci est largement articulé autour de l’idée que, dans la fessée, c’est moins la douleur qui importe que l’humiliation qui l’accompagne.

Dès la faute commise, la future punie doit connaître sans ambiguïté et suffisamment longtemps à l’avance le châtiment qui l’attend. Elle doit comprendre que celui-ci est la sanction logique, inéluctable, de son comportement coupable. Et qu’il sera 42 06appliqué sans sadisme mais aussi sans faiblesse ni indulgence. Personnellement, j’ai l’habitude de prévenir Béatrice quelques heures à l’avance, parfois même plus longtemps encore, de façon à la laisser méditer sur son sort, à la mettre en condition, en quelque sorte, et à faire naître chez elle un sentiment de repentir avant même que la correction ne commence. La peur se révèle une excellente conseillère !

Une fois la décision prise et annoncée, elle doit rester définitive. Il faut, en effet, s'interdire le moindre retour en arrière ou le plus léger regret. Je donne mes ordres sans crier mais de façon très ferme. Et si Béatrice, piquée au vif, émet la plus infime protestation ou se permet une remarque insolente, elle ne manquera pas d'en subir les conséquences.

Lorsque le temps est venu de passer à l’acte, la coupable est convoquée. Habituellement, je confère à cette étape une certaine solennité. L’expérience m’a montré notamment que le choix du lieu jouait un rôle important pour la suite des opérations. A ce sujet, je suis fortement opposée à toute punition qui serait donnée à la sauvette, dans un endroit discret, à l’abri des regards, comm42 08e si la personne qui allait procéder à la correction se sentait en quelque sorte mauvaise conscience de se livrer à un acte répréhensible. Il ne faut surtout pas que vous ayez honte de donner la fessée. Pour cette raison, le choix de la chambre à coucher ou de toute autre pièce à usage privé n'est pas approprié. A l’inverse, le salon (ou le jardin quand il fait beau), lieu ouvert, est parfaitement adapté à la circonstance. D42 09’une part, parce que tout ce qui s’y passe est transparent et d’autre part, parce qu’il permet d’associer des spectateurs à la cérémonie. Je recommande vivement, en effet, les fessées données en public. Elles sont beaucoup plus humiliantes pour les victimes. Elles procurent à ceux qui y assistent des plaisirs parfois inavouables. Elles peuvent également exacerber les tendances exhibitionnistes de certains sujets. Elles permettent enfin à la maîtresse de cérémonie de se mettre en valeur par son autorité, son énergie, ou son adresse.

Par exception cependant, il arrive parfois que la correction doive être infligée ailleurs qu’à la maison, chez des amis ou des connaissances, par exemple. Parce que ces derniers ont été directement ou indirectement mêlés à l’affaire et qu’il semble alors naturel de les prendre à témoin d’une réparation exemplaire. Dans ce cas précis, ne laissez rien au hasard et emportez avec v42 10ous les instruments dont vous aurez besoin. Ils vous sont familiers. Vous en connaissez le maniement comme personne. Rangez-les dans un sac et confiez ce dernier à la punie elle-même. C’est bien la moindre des choses. Savoir qu’elle transporte les accessoires qui vont lui rougir les fesses aura la plupart du temps un effet extrêmement salutaire sur son comportement et contribuera à42 11 calmer toute envie de rébellion de sa part.

Faut-il donner soi-même la fessée ou déléguer cette tâche à un tiers ? A cette question, il n’y a pas, à mon sens, de réponse unique. Tout dépend des circonstances et du but poursuivi. En ce qui me concerne, j’en fais mon affaire la plupart du temps car il me semble logique que la personne qui a prescrit la sentence soit aussi celle qui l'exécute. Mais il m’arrive parfois d’en confier le soin à George, mon majordome, qui s’en acquitte toujours avec beaucoup de sérieux. Les mains de George sont de véritables battoirs. Au lieu de m’épuiser à la tâche, je sais que je peux m’en remettre totalement à lui.

Je n’ignore pas non plus que pour une jeune fille, être livrée aux mains d’un homme est plus troublant et plus humiliant. Car la fessée classique donnée à travers les genoux, outre son caractère régressif (le retour à l’enfance), c42 12ontraint la soumise à sentir physiquement l'érection de son maître, voire à supporter, en cours de route, quelques caresses plus intimes au niveau du pubis ou de l’anus. La sensation éprouvée par un garçon est souvent du même ordre. Vous pourrez observer qu'une fois installé sur vos genoux, votre jeune Vincent se trouve dans une posture qui ne le laisse pas indifférent. Voilà une occasion à ne pas manquer pour asseoir votre autorité de femme. Pour l’éveiller à la42 13 vie. Pour débuter son éducation sexuelle. Ou son éducation tout court. Il faut un début à tout. Les fessées enfantines constituent souvent une étape importante dans le processus de domination des hommes.

Passons maintenant aux instruments. Même si vous savez d’avance lequel ou lesquels vous allez utiliser, je vous recommande d’en faire au préalable un étalage le plus large possible. Faites mine d'hésiter, comme si vous n’aviez pas encore fixé votre choix. Histoire d’impressionner la coupable. Je vous fais grâce d’une longue énumération. Les possibilités sont diverses. Elles vont du martinet au battoir, en passant par la règle plate, la lanière de cuir épaisse, le « strap » comme nous l’appelons ici, la canne en rotin, la ceinture, la cravache ou même le fouet, sans compter toute une série d’accessoires ou d’objets qui peuvent être détournés de leur utilisation première. Pourquoi ne pas tenter la pantoufle, la brosse à cheveux, la raquette de ping-pong ou le battoir à tapis ? Laissez libre cours à votre42 14 imagination. Il faut savoir rompre de temps en temps avec les habitudes ! Demandez à la coupable de vous apporter l’instrument que vous aurez choisi et de vous le présenter, à genoux, avec respect et déférence. Le seul fait d’avoir à le tenir entre ses doigts doit provoquer sa crainte.

Un minimum de pédagogie est souvent nécessaire avant même l’exécution de la punition. Celle-ci, en effet, ne doi42 15t pas tomber brusquement du ciel sans raison apparente mais être associée à une cause clairement identifiée. Vous expliquerez donc d’une voix calme et posée à votre petit Vincent les motifs pour lesquels sa conduite a été répréhensible, en quoi elle vous a choquée, ce qu’elle mérite en retour et la punition qui en résulte. A ce stade, il n’est pas nécessaire d’entrer dans les détails, notamment de spécifier le degré de sévérité de la fessée. La victime en jugera bien assez tôt ! L’essentiel est que votre message soit clair et bien compris.

Durant ces préliminaires, la position de la victime est importante. Personnellement, j’impose à Béatrice de se mettre à genoux, de joindre les mains sur sa tête, les coudes levés bien hauts, et de garder les yeux baissés. Elle est obligée de m’écouter dans cette posture aussi longtemps qu’il est nécessaire. Selon mon humeur, je peux être confortablement assise en face d’elle ou bien marcher de long en large dans la pièce en la toisant du regard.

De mon point de vue, il est préférable que la punie soit déjà en tenue pour sa fessée lorsqu’elle écoute la sentence. Mais plutôt que de la dévêtir moi-même, je trouve préférable de lui en laisser le soin. Une façon comme une autre de lui faire honte et de la forcer à participer contre son gré à sa punition. Je le fais aussi pour ceux et celles qui prennent un certain plaisir à assister à ce genre de déshabillage. Béatrice est maintenant habituée à se mettre en petite tenue dès que l’ordre lui en est donné. Elle doit tout enlever. Je ne lui laisse que sa petite culotte.

Pour sa part, mon amie Martine est adepte d'une tenue spéciale pour les fessées. Courte jupette plissée bleu marine, chemisier blanc, socquettes blanches, pas de soutien-gorge, et une culotte haute en coton blanc style "Petit Bateau". Comme une petite gamine de 12 ans ! Et elle impose la même tenue aux garçons. Vous imaginez !

Chère amie, pardonnez-moi mais je dois interrompre cette lettre. On me signale à l’instant que ma petite Béatrice - justement ! - a encore fait des siennes. Il va falloir que je m’occupe d’elle. Quand je vous disais qu’il n’y a pas un jour sans que je sois amenée à mettre mes théories en pratique ! A bientôt donc pour la suite de mes conseils.  

Avec toute mon affection,

Alexandra

 

Par Béatrice - Publié dans : Fessée - Communauté : Soumission et appartenance
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Lundi 6 août 1 06 /08 /Août 06:00

 

43 01Bien chère amie,

Excusez-moi pour cette interruption inopinée. Une urgence ! Il fallait s’y attendre ! Avec Béatrice, je pourrais compter sur les doigts d’une main les jours où elle ne fait pas de bêtises ! A la longue, je me demande si je ne vais pas finir par me faire mal au poignet !

Je pose donc mon martinet - les lanières commencent à être usées, il faudrait que je pense à en changer - pour reprendre ma lettre à l’endroit où je l’avais laissée, c’est-à-dire aux préliminaires. Plus précisément à la question de la tenue adéquate pour recevoir la fessée. Je suis persuadée43 02 qu’obliger la coupable à retirer elle-même ses vêtements est extrêmement salutaire. Pour autant, n’allez pas jusqu’à lui ordonner de tout enlever et dites-lui de rester en petite culotte. Elle se croira ainsi momentanément protégée. Personnellement, j’adore prendre le temps de contempler à loisir les petites fesses de ma soubrette lorsqu’elles sont encore moulées dans le vêtement lumineux qui délimite très exactement les contours de ma future cible.

La sentence une fois énoncée, la victime se mettra en place. A vous de lui indiquer précisément la position qu'elle doit adopter : couchée en travers de vos genoux ou courbée sur le dossier d'un fauteuil, par exemple. Pensez aussi à votre bien-être car la punition doit pouvoir être administrée sans fatigue ni gêne. Il est primordial que vous vous sentiez à l’aise.

La position classique et préférée de nombreux pratiquants est celle où la fesseuse ou le fesseur allonge sa victime sur ses genoux. Pourquoi ? Parce que le fessier se trouve à distance optimale de la main et que les réactions de la victime sont immédiatement perçues par celle ou celui qui officie. Un fesseur pourra également éprouver une certaine excitation physique en sentant sa victime reposer sur le haut de ses cuisses.

Sauf circonstance exceptionnelle, la victime ne devra pas être attachée. Toute entrave irait, en effet, à l’encontre du postulat de départ, à savoir que la correction est acceptée sans réserve dès lors 43 03qu’elle est la contrepartie logique d’une faute reconnue. Naturellement, il peut arriver qu’un sujet se montre plus ou moins agité. Si vraiment il n'y a pas moyen de le tenir tranquille, il faudra se résoudre à l’immobiliser et penser à lui infliger, tout à fait à la fin, le surcroît de claques qu'il mérite pour la peine.

Habituellement, je commence par une fessée classique à mains nues, « over the knee », pour reprendre l’expression que nous utilisons ici, en Angleterre. Béatrice vient s’allonger en travers de mes genoux. Je veille à ce que le poids de son43 045 corps soit déséquilibré en avant, ses mains touchant le plancher et ses jambes en l’air, de façon à faire ressortir ses reins et à l’empêcher de se redresser. Elle doit être bien calée, son bras gauche serré contre mon abdomen, son bras droit fermement maintenu dans le dos.

A ce stade, cependant, tous les spécialistes vous le confirmeront, il est indispensable de se ménager encore un peu de temps avant d'opérer. Le rapport de forces n'est désormais plus le même. Immobilisée, la victime se trouve livrée corps et âme à sa maîtresse. Ce qui va suivre est à sa totale discrétion.

Quelques recommandations ne seront pas inutiles : toute tentative pour se protéger les fesses avec les mains, tout essai pour se dérober, tout trémoussement intempestif, tout changement de position, ne pourront qu'aggraver la punition initiale.

Ces précisions apportées, la correction sera toujours appliquée jusqu'au bout, sans égard pour la moindre plainte ou supplication.  A l’usage, vous constaterez qu’il est assez facile de déterminer à quel moment les limites du supportable auront été atteintes : les cris et les geignements changent de nature, l’attitude se fait plus humble, les supplications s’imprègnent d’un accent de sincérité qui ne trompe pas. Ne vous laissez donc pas abuser par des larmes de crocodile trop vite versées. Certaines savent les faire couler avec abondance. Restez au contraire inflexible. Avec moi, Béatrice est corrigée aussi longtemps qu’il est nécessaire, jusqu’à ce qu’elle abandonne toute résistance. Je ne vous cacherai pas le plaisir intense que j’éprouve lorsque je la sens enfin matée, lorsque l’éclair de révolte qui illuminait jusque-là ses yeux a disparu pour faire place au désarroi d’un regard rempli de larmes, soumis et adorant. De mon point de vue, la preuve d’une fessée réussie se mesure à l’aune des pleurs qu’elle provoque. A la longue, vous verrez, je suis persuadée que votre petit Vincent finira par vous remercier pour votre fermeté.  

Au commencement, il est conseillé de procéder doucement. Les claques initiales ont pour but de chauffer les fesses (mais aussi la main) en faisant affluer le sang à la surface de la peau et de favoriser ainsi la sensibilité et l'excitation. Tous les fesseurs expérimentés préconisent de frapper avec le plat de la main. La vibration produite irradie les nerfs de la fesse et se répercute immanquablement au niveau du sexe. Le coup doit être donné assez lentement pour que la brûlure produite ait le temps de se diffuser en totalité avant que le43 08 suivant ne tombe. Ne vous précipitez donc pas.

D'une manière strictement physiologique, vous constaterez rapidement que la fessée déclenche l'excitation sexuelle. Car c’est pour une large part le mental de la soumise qui érotise ou non la punition. D'où la nécessité de varier constamment le rythme et la force de la correction.

L’effet de surprise est également le bienvenu. N’hésitez pas à souffler le chaud et le froid. Vous pourrez, par exemple, faire croire que la claque suivante sera beaucoup plus forte que la précédente, alors qu’elle ne sera en réalité à peine plus appuyée. A l'inverse, une claque légère pourra être suivie d'une autre carrément cinglante. Bien entendu, vous prendrez soin d’alterner vos coups pour que chaque fesse reçoive sa part. L’idéal est d’atteindre progressivement une couleur uniforme. Rien n’est plus charmant que de belles joues bien rouges !  

Un cocktail douleur-volupté bien dosé (un peu de douleur pour 43 09beaucoup de plaisir) est le gage d'une séance de fessées réussie. Pour cela, la fesseuse doit être à l'écoute des sensations de la soumise mais elle doit parallèlement être inspirée par ses propres fantasmes. Il est important qu’un authentique dialogue mental et érotique puisse s’instaurer entre les deux partenaires.

La manière forte qui consiste à déshabiller le sujet d'un geste brusque, dans un accès de colère mal maîtrisé, par exemple, est, à mon avis, à proscrire. Mieux vaut y recourir à bon escient, dans les cas43 10 les plus graves. A l’inverse, la méthode douce, qui peut être agrémentée d’innombrables variantes, est celle que je recommande. Elle suscitera et accompagnera au plus près la montée du trouble de la victime.

Un bon déculottage doit être progressif car la progressivité fait partie intégrante du processus d’humiliation. Donc, si vous lui avez laissé sa jupe, comptez environ dix minutes pour une première série. La victime s'imaginera que vous allez en rester là et qu'elle va s'en sortir à bon compte.

Sans marquer d'arrêt, passez ensuite à la deuxième étape, jupe relevée, directement sur la petite culotte. Là encore, une bonne dizaine de minutes seront nécessaires. N’épargnez pas les cuisses. D’une part, parce que leur chair étant 43 11plus tendre, la sensation de douleur sera plus vive. D’autre part, parce que les marques des doigts y demeurant imprimées plus longtemps, elles continueront à être exposées à la vue de tous, y compris une fois la correction terminée et la jupe renfilée, surtout si celle-ci est très courte.  

Une petite jupette à porter par tous les temps, hiver comme été, rappellera sa vulnérabilité à celle qui la porte. Vous ne regretterez pas d'en avoir fait l'acquisition. Pas plus que vous ne considérerez inutile l'achat, pour un garçon, d'un petit short court à ceinture élastique, facile à baisser. C’est la tenue que je réserve aux collégiens turbulents qui me sont confiés en pension. Il m’arrive parfois aussi de leur faire porter des petites culottes de filles. Le modèle de base, tout ce qu’il y a de classique, blanc comme il se doit, orné d’un petit noeud par-devant et de picots élastiques brodés au niveau des cuisses. Féminiser ces grands dadais m’amuse beaucoup. Cela les rend en général furieux. Une partie de la punition est ainsi déjà exécutée avant même d’avoir réellement commencé. Je choisis à dessein la taille inférieure afin de coller au plus près aux reliefs de leur anatomie. Sans compter que j’adore sentir une certaine résistance sous mes doigts quand je les déculotte. Et puis, cette tenue moulante ne peut absolument rien cacher des « émotions » 43 13qui peuvent s’emparer de certains d’entre eux lorsqu’ils se retrouvent basculés sur mes genoux.  

La correction se poursuivra, la petite culotte rentrée dans la raie des fesses, histoire de vous offrir cette petite fantaisie au passage et de faire sentir l’impudeur d’un tel geste à celle - ou celui - qui se trouve sur vos genoux.

Nous voilà maintenant arrivés à la phase déculottée proprement dite. Je me contente, dans un premier temps, de baisser la culotte à mi-cuisses, cette position intermédiaire qui accentue, de mon point de vue, le sentiment d’humiliation. Vous constaterez cependant que la petite culotte en question ne tardera pas à glisser plus bas, sous l’effet des gesticulations. J'adore observer ces quelques grammes de coton blanc finir leur course autour des chevilles de mes victimes et entraver leurs gesticulations contre leur gré. Dix bonnes minutes seront encore nécessaires, au cours desquelles vous la contraindrez à tout instant à garder cette humiliante position étendue sur vos genoux, les reins cambrés, les cuisses rougies et brûlantes, suffisamment écartées pour qu'elle vous expose son intimité sans plus de mystère.

Au total, la correction aura duré une demi-heure. A mon avis, il faut bien cela.

Pourquoi est-il absolument indispensable de donner la fessée 43 15déculottée ? Il y a plusieurs raisons à cela. D’abord parce qu’exposer la nudité développe immanquablement chez celui ou celle qui la reçoit un sentiment de malaise et de honte. Ensuite parce que celle qui la donne doit pouvoir évaluer sans risque de se tromper les conséquences de ses gestes : le degré de rougeur et de chaleur atteint, les marques laissées sur la peau, les zones encore vierges… Une fessée ne s’administre jamais à l’aveugle ou à la volée. C’est un exercice qui exige43 16 au contraire beaucoup de méthode et d’attention. La main constitue l’outil par excellence, le thermomètre si l’on peut dire.  

Pour accentuer son humiliation, il m’arrive assez souvent de demander à ma soubrette de compter les coups d’une voix haute et intelligible. Je l’avertis que la moindre erreur de sa part me conduira à reprendre tout depuis le début. L'émotion et la douleur aidant, vous pouvez être à peu près certaine qu’il finira, à un moment ou à un autre, par se tromper, pour votre plus grand plaisir.

Vous pourrez aussi estimer qu’il ne faut pas en rester là et qu'une prolongation s'impose, par exemple sous la forme d'une fouettée au au martinet. La punie devra donc se 43 178relever et prendre la pose, le buste plaqué à l’horizontale sur le dessus d’une table ou d’un bureau, les reins cambrés et les jambes écartées. Cette position est à mon avis encore plus humiliante que la précédente. Outre le fait que le martinet évoque inévitablement le retour à l’enfance, il est également complémentaire de la fessée à la main dans la mesure où son effet est plus cinglant et où il doit être principalement appliqué sur les cuisses. Il permet aussi d’atteindre des zones difficiles. Je pense à l’entrejambe, un endroit sensible, tant chez les43 1900 filles que chez les garçons.

En résumé, une fois atteint le compte que vous vous êtes mentalement fixé, rajoutez tout de même quelques claques supplémentaires afin que le puni sache à quoi s’en tenir en cas de récidive. Inutile, cependant, de vouloir terminer en « apothéose ». Celles-ci seront de la même intensité que celles qui les ont précédées, sans violence inutile ou déplacée. Gardez à l’esprit qu’il ne s’agit pas d’un jeu ou d’un défoulement de votre part mais d’une correction inévitable, administrée parce qu’il le fallait bien.

La fessée terminée, la punie sera mise au coin comme une écolière, les fesses rougies exposées à la vue de la personne qui l’a corrigée et des éventuels spectateurs. Les mains sur la tête, elle restera là en exposition autant de temps qu’il le faudra afin de méditer sur les conséquences de ses actes. Personnellement, je glisse une règle carrée en buis sous les genoux de Béatrice. Ce supplice supplémentaire, particulièrement douloureux, vient ainsi s’ajouter à 43 191celui de la fessée proprement dite. Mais il m’arrive aussi de la jucher à genoux sur un tabouret afin de l’obliger à garder l’équilibre et à se tenir droite. Naturellement, vous resterez à proximité pour la surveiller du coin de l’œil et vous la menacerez d’une nouvelle correction si vous la surprenez en train de se frotter les fesses avec les mains pour tenter d’apaiser le feu qui les consume.

Dans la mesure où vous l’estimez nécessaire - cela peut être le cas lorsque la fessée a été administrée43 201 en public -, un écriteau attaché autour de son cou - du genre « je suis insolente » ou encore « je me masturbe » - viendra rappeler à tout un chacun le motif de la punition. Ce genre d’exhibition, l’expérience me l’a montré, attire toujours un certain nombre de curieux - de voyeurs, disons-le - et il serait regrettable, à mon avis, de ne pas les faire profiter du spectacle. N’oubliez pas que, jusqu’à son terme, la fessée doit rester humiliante.

Puis, lorsque vous jugerez que sa pénitence aura assez duré, vous l’inviterez à se remettre debout et à renfiler sa culotte. A ce stade, il ne sera peut-être pas inutile de la sermonner une nouvelle fois en lui expliquant que tout acte d’indiscipline ou d'insolence de sa part sera automatiquement sanctionné comme il se doit. Bonté et patience ne riment pas avec faiblesse. Il y a des limites à ne pas dépasser. Puisqu’elle ne comprend que la manière forte, celle-ci sera employée autant de fois qu’il le faudra.

Des photos ? Pourquoi pas ? Mais de préférence juste après la séance de correction. Car une fois commencée, la fessée ne doit pas être interrompue, à moins qu’il n’y ait un spectateur (ou une spectatrice) qui se propose de faire le nécessaire en cours de route. Ces photos enrichiront un album en vue de rafraîchir la mémoire de la punie. La vue d’une série de fessiers rouge vif striés de belles raies parallèles lui rappellera à tout instant ce qu’elle encourt en cas de récidive.43 211

Parallèlement, pour ne rien oublier des fautes commises, je vous recommande l'usage d’un petit carnet où seront consignés avec soin les dates, les lieux, la durée et les motifs de la punition, ainsi que l’instrument utilisé. On ne pense pas toujours à tout ! Il vous faut une comptabilité claire et précise. La lecture du carnet vous permettra de faire le point à intervalles réguliers - la situation s’est-elle améliorée ou aggravée ? - et de fixer la marche à suivre pour l’avenir - les corrections doivent-elles être plus sévères et plus fréquentes ? -. 43 997 

Une fois la punition terminée et le carnet mis à jour, on n'en parle plus. La vie reprend son cours ordinaire. Vous n’avez agi que par devoir, sans animosité mais avec toute la rigueur qui s’imposait. Après le temps de la correction vient celui du pardon. Il vous appartient de le manifester clairement de façon à ce que la punie sache que tout est oublié. La peine est purgée. Dans un monde idéal, la punie devrait avoir conscience de la faute qu’elle a commise et demander la punition de sa propre initiative. On peut toujours rêver ! Je n’en suis pas encore là avec Béatrice et je me demande si j’y parviendrai un jour.

Pour terminer, je souhaiterais vous faire part d'une réflexion. La fessée peut devenir une habitude, voire un plaisir. Une habitude, c’est facile à comprendre, dans la mesure où, avec les domestiques et les enfants, les occasions ne manquent pas pour sévir ! Un plaisir ? C’est plus délicat ! Vous en jugerez rapidement par vous-même en observant vos réactions et celles de votre victime. Nous nous connaissons suffisamment pour que je vous fasse un aveu : il m’est très agréable de fesser Béatrice et sans doute plus qu’il ne serait vraiment nécessaire. Cet exercice me procure à chaque fois des sensations indéfinissables, comparables à une jouissance intime.

J’adore les petits derrières43 998 dodus, gonflés avec insolence, qui s’offrent à mes caprices en arrondissant avec orgueil leurs belles joues potelées. Et puis c’est un plaisir partagé. Car je devine ce que Béatrice ressent de son côté dans ces moments-là. Entre deux séries de fessées, je lui caresse le sexe. Mes doigts passent et repassent le long de sa fente, s'insinuent entre ses lèvres. Je l'entends gémir. Non pas de douleur mais de plaisir. Un plaisir que je sens monter dans son ventre, brûler sa vulve, irradier du clitoris à l'anus. Elle est humide, excitée, comme prête pour l'amour. A la longue, j'ai fini par la dresser comme un petit chien. Fessée est devenue maintenant pour elle synonyme de jouissance. Avec elle, la fessée finit souvent en levrette, les cuisses bien écartées, offerte à mes amants de passage, trop contents de l'aubaine, qui la pénètrent devant moi.

Voilà, je vous ai tout dit ou presque. Si jamais, en dépit de ces conseils, vous continuiez à rencontrer des difficultés avec votre petit Vincent, n’hésitez pas à me l’envoyer quelques jours en pension. Je me ferai un plaisir de m’occuper de lui personnellement. A son retour, vous pourrez constater que nos méthodes d’éducation à l’anglaise lui auront fait le plus grand bien !  

A bientôt, j’espère, le plaisir de vous lire.

Alexandra

 

Par Béatrice - Publié dans : Fessée - Communauté : Soumission et appartenance
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  • : Quelques épisodes marquants de la vie de Béatrice, jeune soubrette débutante, au service de Lady Alexandra, son implacable maîtresse.
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  • : 05/02/2009

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