Partager l'article ! (13) Bonne pour le service: - Béatrice, te rappelles-tu ce que je t'ai dit le premier jour, quand j'ai accepté ta candidature et que je t'ai em ...
Béatrice ou l'éducation d'une jeune soubrette
- Béatrice, te rappelles-tu ce que je t'ai dit le premier jour, quand j'ai accepté ta candidature et que je t'ai embauchée ?
- Oui, Madame, vous m’avez dit que vous comptiez sur moi pour ne pas vous décevoir.
- C’est vrai, mais j’ai ajouté autre chose. J’ai précisé que je t’engageais à l’essai pour quelques mois et que je prendrais ma décision définitive à ce moment-là.
- Oh, Madame, vous n’allez pas m’annoncer que je ne fais pas l’affaire et que vous vous apprêtez à me renvoyer, n’est-ce pas ?
- Rassure-toi, pour l’instant, rien n’est encore décidé, ni dans un sens ni dans l’autre. Tu te doutes bien qu’à force d’observer ta conduite, je me suis fait mon propre jugement mais je dois aussi tenir compte des résultats de ton examen de fin de stage.
- Un examen ?
- Disons plutôt une visite.
- Une visite médicale ?
- Oui, si tu veux, on peut appeler ça comme ça. Tu comprendras très vite, j’ai demandé au « docteur » de passer, il est là qui attend dans la pièce d’à côté.
Sur un signe discret de Lady Alexandra, Harry, son « essayeur » attitré, est introduit dans le petit salon par George, le majordome. Un colosse gigantesque, presque entièrement nu, apparaît dans l’encadrement de la porte. L’impression de puissance qu’il dégage est renforcée par une musculature hors du commun : de larges épaules, un torse luisant, des pectoraux en relief, des biceps saillants, des abdominaux tendus, un dos en trapèze, des cuisses de lutteur.
Il entre dans la pièce d’un pas solennel et vient se placer à droite de la maîtresse de maison, les jambes écartées, les bras croisés sur la poitrine, dans une attitude de défi, tel un bourreau juché sur son estrade, appuyé sur sa hache, le regard hautain et fixe au-dessus de la foule. Son corps est totalement imberbe, y compris son crâne, poli comme une boule de billard, et le loup noir qui couvre le haut de son visage accentue la mobilité de ses yeux clairs. Pour tout vêtement, il porte un slip noir très échancré et équipé, par-devant, d'une fermeture-éclair que Lady Alexandra se fait un plaisir de descendre lentement sous les yeux de sa soubrette, afin de dégager des attributs exceptionnels : un pénis énorme, long et épais, légèrement tendu, que vient encadrer une paire de testicules démesurés. L’ensemble est épilé avec minutie, ce qui contribue à en souligner les dimensions inhabituelles.
- Mais, Madame, je n’ai jamais vu un docteur comme ça !
- Eh bien, il y a un début à tout, Béatrice ! Pour le moment, tu vas obéir bien gentiment et commencer par te déshabiller. Harry va t’ausculter.
La domestique se tient debout au milieu de la pièce, intimidée, le rose aux joues. Par pudeur, elle a gardé sa petite culotte et tente de dissimuler sa poitrine en la couvrant avec ses mains. Tandis que le colosse s’avance, elle garde les yeux baissés et observe son énorme sexe se rapprocher d’elle. Un frisson la parcourt tout entière quand il l’empoigne et qu’il replie ses bras sans ménagement dans son dos. Ses énormes battoirs serrent ses seins l’un contre l’autre, les palpe, les soulève. Béatrice sent les battements de son cœur s’accélérer. Elle avale sa salive avec difficulté. Sa gorge se noue. L’essayeur s’est maintenant saisi de ses tétons qu’il pince pour les faire rouler entre ses doigts. La soubrette se mord les lèvres pour ne pas crier. Sa poitrine ne tarde pas à se dresser. Le colosse accentue sa pression pour l’observer se gonfler. La main remonte ensuite vers le visage et force la bouche à s’ouvrir. Le petit doigt écarte les lèvres et s’attarde au contact de la langue qui se dresse comme le bec d’un oisillon hors de son nid, puis il cède la place à l’index, pour terminer par le pouce. Comme s’il s’agissait d’un geste naturel ou d’un réflexe conditionné, Béatrice se met à le sucer lentement, les yeux fermés, et continue sans s’en rendre compte à tendre le cou en avant lorsque Harry recule légèrement sa main.
- Voyons le bas.
Alors que Béatrice reste debout, les mains dans le dos, Harry s’assied, tire sur l’élastique de la petite culotte et fait glisser celle-ci sur ses chevilles, admirant au passage une taille bien prise, des hanches galbées, des jambes fines, un pubis bombé et minutieusement épilé. Il lui écarte les jambes sans ménagement. Deux doigts lui ouvrent les lèvres, comme on soulèverait les ouïes d’un poisson sur l’étal du marché pour en vérifier la fraîcheur, avant de poursuivre leur examen clinique : au toucher, le petit organe érectile semble bien développé, l’entrée du vagin, de son côté, est étroite et déjà lubrifiée.
- Allonge-toi.
En un tour de main, Béatrice se retrouve basculée sur les genoux d’Harry, les fesses à l’air. Le colosse les caresse longuement pour en apprécier la rondeur, avant d’en tester la fermeté par quelques grandes claques sonores, auxquelles elle réagit instantanément en se débattant avec vigueur. Il n’hésite pas à les écarter pour observer le petit œillet qui sommeille et à réveiller celui-ci en y introduisant prudemment l’extrémité de son doigt, auquel il imprime un mouvement de va-et-vient pendant quelques instants.
- Passons à la pratique. A genoux !
Harry s’est relevé et son sexe pointe juste à la hauteur de la bouche de Béatrice. Celle-ci a vite fait de comprendre ce qu’on attend d’elle. Des images agréables de parties coquines avec William et Andrew lui reviennent à la mémoire. Depuis qu’elle est au service de Maîtresse Alexandra, elle s’est fait un devoir de s’entraîner pratiquement chaque jour. C’est un exercice qu’elle affectionne. La seule note de nouveauté tient à la taille impressionnante du pénis qu’elle va devoir avaler. Sa main gauche s’en empare délicatement, tandis que la droite palpe les testicules et les fait rouler entre ses doigts. La pression se fait progressivement plus forte. Elle n’oublie pas de lever les yeux et de fixer en souriant le géant à travers son masque tout en décalottant délicatement sa verge. Sa langue parcourt langoureusement la hampe, descend jusqu’aux testicules qu’elle aspire avec soin, remonte jusqu’au gland, le titille avec la pointe, puis, la bouche grande ouverte, l’introduit avec gourmandise entre ses lèvres pour le sucer et le pomper avec la plus grande application. Ses petites dents l’enserrent par-derrière, au niveau de l’ourlet, et le tirent légèrement en avant, pour le retenir prisonnier quelques instants, puis l’engloutissent au plus profond de sa gorge, comme si elle l’avalait en entier. Surpris par l’ardeur de la jeune fille, Harry tente de se retirer précipitamment, mais elle l’en empêche et poursuit sur sa lancée jusqu’à ce qu’il se vide en elle. Les joues pleines de la semence du colosse, elle se retourne pour adresser un clin d’œil victorieux à Lady Alexandra qui observe la scène avec intérêt. Bien qu’un peu décontenancé par la tournure des évènements, Harry se ressaisit et ne laisse rien paraître.
- Mets-toi à quatre pattes sur la table basse, les jambes écartées, et relève la tête vers ta maîtresse. Je veux qu’elle te voie en train de jouir.
La soubrette obéit, le regard humide. Le « docteur » l’ignore mais c’est la position qu’elle préfère, offerte, le dos cambré et les fesses tendues. Une douce chaleur l’envahit progressivement. Sa vulve gonfle et palpite. Entre ses cuisses moites, son petit abricot épilé et gorgé de soleil laisse échapper quelques gouttes de nectar. Le colosse ne rencontre apparemment aucune résistance et un sourire inonde le visage de la jeune fille quand le membre puissant s’enfonce en elle pour entamer un va-et-vient régulier. L’homme a posé ses battoirs sur ses hanches et la tient fermement par-derrière. A chaque passage, il retire complètement son engin avant de l’introduire à nouveau de tout son long pour venir buter contre elle, comme un bélier. Ses poussées s’intensifient. Béatrice prend un malin plaisir à le stimuler. Elle tend ses fesses en arrière pour aller au-devant du membre et elle contracte au maximum ses muscles afin de le retenir dans le chaud fourreau qu’elle lui offre. Elle résiste avec une énergie peu commune. Petit à petit, les rapports s’inversent. Maintenant c’est elle qui impose son rythme et en définitive, le vainqueur n’est pas celui que l’on attendait. La soubrette est rayonnante quand elle le sent à nouveau s’abandonner en elle.
- [Harry, légèrement essoufflé] Reste comme tu es, je n’ai pas terminé.
Béatrice est toujours à quatre pattes sur la table basse, haletante. Des perles de sueur sillonnent son front et ses joues écarlates. Elle sent les mains du colosse remonter entre ses jambes, puis, au-dedans d’elle, la caresser du bas vers le haut pour s’imprégner du liquide qu’elle sécrète en abondance. Un doigt s’insinue entre ses fesses et se met à masser délicatement l’entrée de son petit orifice brun pour l’assouplir. Il le dilate avec soin et finit par s’y introduire. Un deuxième le rejoint afin de l’élargir davantage. La soubrette, qui n’accepte habituellement ce genre de caresse qu’avec une extrême réticence, se crispe, les yeux fermés. Lorsqu’elle sent la pointe du pénis se présenter contre elle, elle se remémore les conseils de sa maîtresse (« Détends-toi et tousse, c’est seulement le tout début qui est un peu difficile, dans quelques instants, tu ne sentiras plus rien »). Un cri lui échappe sous la poussée mais elle se reprend vite. Harry est un expert. A la douleur passagère du début succède rapidement, sous l’effet des mouvements réguliers qui l’animent, une phase de soulagement, puis de plaisir. Elle aime se sentir empalée, livrée impuissante au membre turgescent qui la transperce, la secoue, la projette en avant, enfoncée jusqu’à la garde, les testicules de son partenaire collés contre ses reins. Les coups de boutoir s’accélèrent. Lady Alexandra sourit. Elle parierait volontiers que sa domestique fait tout son possible pour resserrer son étreinte sur l’engin qui la traverse. Elle a vu juste : à nouveau vaincu, le colosse grimace et finit par se répandre en elle en longs jets chauds et puissants.
Tandis que Béatrice renfile sa tenue de soubrette, Le « docteur » s’adresse à la maîtresse de maison.
- Madame, je ne sais pas qui je dois féliciter en premier, l’élève ou le professeur ! Il n’y a pas l’ombre d’un doute, Mademoiselle montre d’excellentes dispositions. Elle a été très bien dressée. Vous devriez en être satisfaite, vos invités aussi.
- Béatrice, tu as entendu, ça confirme ce que je pensais, te voilà bonne pour le service, approche-toi, que je t’embrasse !
- Oh merci, Madame, Madame est très gentille, vous ne pouvez pas savoir comme je suis contente !
- Et moi donc !
- [Harry] Si Madame m’autorise à lui livrer le fond de ma pensée, j’aurais juste une ou deux suggestions à formuler mais ce ne sont vraiment que des détails, des petits défauts de jeunesse, allais-je dire. D’abord, elle aurait besoin d’être élargie par-derrière, elle est encore un peu étroite. Et puis, pour qu’elle soit vraiment parfaite, il faudrait également l’habituer à garder la poitrine tendue en lui fixant des pinces au bout des seins.
- Merci, Harry, pour ces précieux conseils. Vous avez entièrement raison, tous les détails ont leur importance. Sachez bien que j’en tiendrai compte.
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