Dimanche 6 mai 7 06 /05 /Mai 06:00

BR FV 40 01 Femdom01Alors que l’heure avance et que la soirée s’étire dans une sorte de torpeur insouciante, là-bas dans le salon de peinture, dont les portes ont été laissées ouvertes pour ne rien dissimuler des préparatifs qui s’y déroulent, Tania fait siffler sa cravache. Ultime conditionnement des étalons qu’elle excite tour à tour avec un sadisme méthodique, afin d’exacerber leurs désirs, en vue du tableau final. Celui-ci aura lieu dans quelques instants dans le salon voisin, celui de musique, où le petit marquis poudré, sans doute vexé de se sentir incompris comme beaucoup d’artistes, a rabattu le couvercle de son clavecin et fini par s’assoupir, la tête entre les mains et la perruque de travers.

Pressentant un danger imminent, Béatrice, le rouge aux joues, les yeux baissés, se fait toute petite aux pieds de sBR FV 40 02 Femdom02a maîtresse, tandis que les invités, impatients, et comme fascinés à l’avance par l’ultime gerbe qui ne va pas tarder à embraser le ciel multicolore de leurs fantasmes, se regroupent en désordre autour de la maîtresse de maison. Martèlement des talons sur le parquet ciré. Carambolage de chaises pour s’installer à la meilleure place. Échanges de signes de conniveBR FV 40 03 Femdom03nce. Regards émoustillés. On se pousse du coude. Tania fait son entrée, sa cravache sous l’aisselle, le visage habité d’une joie sombre, suivie par la cohorte des étalons au grand complet, raides et tendus. Le brouhaha se dissipe. Les conversations s’interrompent. La comtesse Irina convie son amie Alexandra à donner solennellement le signal de la scène finale. Le cou tendu par la laisse qui la tire vers le haut, Béatrice est contrainte de se lever. Elle est entièrement nue. Offerte aux yeux concupiscents qui la dénudent encore davantage. Tremblante au milieu d’un cercle de sexes turgescents.   BR FV 40 04 Femdom04

- Viens là, ma petite pouliche, n’aie pas peur, regarde plutôt comme tu as de la chance, tu as vu l’effet que tu suscites ! Cette rangée de queues dressées rien que pour toi ! Tous ces beaux mâles en rut qui s’apprêtent à te monter les uns après les autres !  

Deux gigantesques colosses l’empoignent et la soulèvent littéralement du sol pour la conduire au centre de la pièce, devant une table basse. Après l’avoir contrainte à s’agenouiller et à courber le buste sur le plateau de verre, ils lui attachent solidement lesBR FV 40 05 Femdom05 poignets et les chevilles aux quatre pieds avec des sangles de cuir. Tania s’approche et glisse sous son bassin un coussin épais qui relèvera ses reins au maximum.

Les cuisses écartées, prête à l’usage, Béatrice dévoile ainsi à tous ceux qui l’observent la plus admirable lune qu’on puisse imaginer, rebondie, dodue, ferme, gonflée avec insolence, prolongée par des cuisses rosées et des mollets adorables. La posture la plus avantageuse pour tout donner à voir. Une raie bien lisse avec, tout au fond, l’étoile froncée de son petit œilletBR FV 40 06 Femdom06 sombre et, en dessous, le calice entrouvert de sa vulve nacrée. Lady Alexandra y mouille son doigt avec délice avant de le retirer pour l'engager doucement dans l’anus palpitant.  

- La double porte des plaisirs ! Ces messieurs n’auront que l’embarras du choix !  

Tania lui tend un bâillon de cuir muni d’une boule rouge en caoutchouc.

- Non, c’est inutile, il faut qu’on l’entende crier pendant qu’elle se fait saillir ! Et puis elle va devoir sucer des choses beaucoup plus agréables !  

Omar et Ali, BR FV 40 07 Femdom07les deux colosses, auront le privilège de tirer les premiers. Honneur au sexe fort. Dans toutes les écuries du château, Il n’existe pas de braquemarts plus gros que les leurs. Omar vient se placer devant Béatrice. En même temps qu’il lui relève le menton, il enfonce d’un seul coup son sexe monstrueux entre ses lèvres. Béatrice comprend qu’elle devra le pomper lentement. Se contenter de l’échauffer à petit feu. Sans aller jusqu’au bout. Pour le porter à incandescence au bon moment. C’est-à-dire en même temps que celui d’Ali. Celui-ci, en effet, a pris place derrière elle. Elle sent son gland commencer parBR FV 40 08 Femdom08 barboter dans la moiteur de sa fente, puis se présenter à l’entrée de son orifice le plus étroit, et élargir, millimètre par millimètre, cette sublime porte, avant de s’y introduire jusqu’à la garde, la tirant contre lui de toutes ses forces, le souffle court, les deux mains plaquées contre ses hanches. La soubrette, les yeux révulsés, grimaçante, abandonnée aux va-et-vient des deux membres qui nBR FV 40 09 Femdom09’en finissent pas de la pilonner, supplie Lady Alexandra du regard. Sans succès. Ses protestations sont étouffées par le gigantesque mandrin qui coulisse entre ses lèvres. La comtesse Irina sourit. Autour d’elle, les invités contemplent la scène avec enthousiasme.

- Laisse-toi faire, ils ne vont pas te faire de mal, au contraire !

Arrivés au sommet du plaisir, les deux colosses accélèrent leurs mouvements jusqu’à la délivrance qui les fige au même instBR FV 40 10 Femdom10ant dans une ultime crispation. Quelques secondes de pause pour leur laisser le temps de se retirer. Lady Alexandra flatte la croupe chaude de Béatrice avant de désigner les deux montures suivantes d’un coup de badine sec sur leur sexe tendu.

 

 

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Mercredi 6 juin 3 06 /06 /Juin 06:00

BR FV 41 Max01Le ciel de Glendale était parfois zébré de météorites fulgurantes. Il suffisait, en effet, de peu de chose, de la présence d’un invité exceptionnel, par exemple, pour que les réceptions de Lady Alexandra confinent au sublime. L’effet de surprise, c’était sa spécialité. Elle n’avait pas son pareil pour dénicher la perle rare, la « guest star ». Celle qui allait embraser la soirée et la rendre inoubliable. En pareil cas, elle recourait aux services d’indicateurs spécialisés, seuls capables de lui signaler le spécimen rare à ne manquer sous aucun prétexte, qui figurerait sans hésitation « la » pièce maîtresse de ces grands dîners comme elle seule savait les organiser en pareille occasion. L’espèce étant malheureusement en voie de disparition, il était crucial de la capturer au plus vite, puis de la protéger à tout prix des prédateurs et des aléas climatiques, de la rentrer précautionneusement au chaud sous une serre en hiver et de l’entretenir avec un soin jaloux comme un bonsaï centenaire tout le reste de l’année.

C’est ainsi que la huitième merveille du monde, celle qui avait immédiatement recueilli l’unanimité sur sa personne, était un jour apparue à Glendale sous les traits d’un certain Max, surnommé « Grosse Pine » ou encore « Bite d’Acier ». Il avait été repéré un soir, dans le village voisin,BR FV 41 Max02 accoudé au bar du Green Dragon au milieu d’un cercle de consommateurs subjugués à qui il débitait avec un bagout incomparable ses meilleures histoires de bagnole, de cul, et de service militaire, les trois sujets qui lui semblaient dignes de retenir son attention et qui animaient, avec le tiercé dominical (« les bourrins », pour reprendre son expression), l’horizon paisible de ses pensées. Depuis ce jour mémorable, il était devenu le chouchou de ces dames, le centre des conversations. Entouré et choyé comme la BR FV 41 Max03mascotte de Glendale, son porte-bonheur, sa patte de lapin, son trèfle à quatre feuilles, il était de toutes les fêtes.

Dresser un portrait fidèle de Max procède un peu de la gageure. Disons, pour esquisser d’un mouvement sa silhouette générale, que ses traits physiques pouvaient rappeler par certains aspects - et sans jugement de valeur aucun - ceux de personnalités des arts et du spectacle aussi variées que Nikos Aliagas, Hubert Bonisseur de la Bath (alias OSS 117), Julio Iglesias, ou encore Aldo Maccione.

Bedonnant, les cheveux gominés teints en noir corbeau, Max s’efforçait de dissimuler son âge à grand renfort d’entraînements quotidiens dans les salles de musculation. Ses soi-disant séjours sous les tropiques, qui étaient censés entretenir son teint cuivré de séducteur, se résumaient en fait à des séances régulières d’ultra violet dans les cabines de son quartier. Toutefois, à l’entendre, il tenait une forme olympique, et comme la demi-mesure n’était pas précisément sa marque de fabrique, il ajoutait qu’en comparaison, Sylvester Stallone était tout juste bon à faire dBR FV 41 Max04e la figuration dans les vitrines du musée Grévin.

De façon à compenser un léger handicap de taille, il s’autorisait le port de bottines à talons et gardait hiver comme été vissée sur le nez une paire de lunettes de soleil Ray-Ban à verres miroir, souvenir d’une époque révolue où ses fonctions de disc jockey l’avaient projeté sous les « spotlights des dancefloors » du Macumba à Montceau-les-Mines puis du Papagayo à Romorantin, avant d’accéder, enchaînait-il avec aplomb, à la gloire et à la BR FV 41 Max05consécration, au Shogun d’Arcachon (à deux pas du camping des « Flots Bleus ») au terme d’une ascension qualifiée de « foudroyante ».

Une fine moustache à la Rhett Butler, alias Clark Gable dans « Autant en emporte le vent », que d’aucuns auraient pu confondre avec celle d’un garçon coiffeur, accentuait selon lui son côté irrésistible de « latin lover ». Et pour couronner le tout, un nuage suffocant d’embrocation, « pour nous les hommes », l’enveloppait - le précédait plutôt - dans ses déplacements, ce qui permettait à tout un chacun de le suivre à la trace.

A vrai dire, même sans son parfum, on aurait pu le repérer entre mille. A la couleur de ses chemises, par exemple. Les invités n’avaient d’yeux que pour elles. Leur mauvais goût appuyé les ravissait chaque fois d’une joie sans mélange. Et de fait, il avait la délicatesse de ne jamais les décevoir avec des modèles en satin brillant, rose malabar, vert pistache, jaune canari, orange Guantanamo, ou blanc transparent, portés col ouvert « pour rester jeune » mais surtout pour mettre en valeur sa poitrine velue, signe d’une virilité inépuisable, agrémentée de son inévitable chaîne en orBR FV 41 Max06 et de sa dent de requin. Les rares fois où il osait le jabot de dentelle sous un costume à paillettes bleu électrique, sa tenue « Alexandrie », murmurait Alexandra, c’était le délire absolu. Les convives, les yeux embués de larmes, devaient littéralement se pincer pour ne pas rouler sous la table.

Le portrait de Max serait incomplet si l’on omettait de s’attarder quelques instants sur un sujet un peu délicat : la particularité physique à l’origine de son surnom. A demi-mot, il avait été exceptionnellBR FV 41 Max07ement doté par la nature et en langage plus direct, il pouvait se vanter de posséder des attributs virils hors du commun. Soucieux d’entretenir sa réputation de hardeur dans un nombre soi-disant incalculable de films pornos - notamment dans «Merlin l’Emmancheur» et «Les Tontons Tringleurs», ses deux plus beaux rôles - , il affectionnait le port de pantalons ajustés qui, confiait-il pudiquement, « le mettaient en valeur ». Les femmes qui avaient eu accès au temple de son intimité n’avaient pas de superlatifs assez forts pour qualifier les proportions du monument qu’elles avaient découvert. Selon les cas, elles levaient les yeux au ciel comme pour chasser de leur esprit un souvenir douloureux voire un cauchemar, ou bien se poussaient du coude d’un air émoustillé, comme si le démon les démangeait de franchir la ligne continue pour renouveler l’expérience.

Les plus aventureuses garderaient certainement à tout jamais en mémoire le tatouage explicite en lettres bBR FV 41 Max10leues (« Nique-les toutes ») qui lui barrait le bas-ventre. De leurs propos ressortait une profusion d’images colorées qui empruntaient pour l’essentiel au langage militaire (artillerie lourde, batterie antichars, obusier de campagne) alors que l’intéressé lui-même, plus sensible, semble-t-il, aux métaphores animalières, se comparait sans état d’âme à la bête du Gévaudan. En bref, un braquemart impressionnant, en parfait état de marche, aux dimensions sBR FV 41 Max11ans égales et, en tout état de cause, sans commune mesure avec les étalons, c’est le cas de le dire, généralement reconnus dans cette spécialité. Toutes proportions gardées, l’engin d’Harry, « l’essayeur » de Lady Alexandra, pourtant déjà d’une taille considérable, apparaissait aussi ridicule que la « virgule » attendrissante d’un nourrisson, tandis que celle de Rocco Siffredi s’en sortait tout juste mieux.

Marathonien du sexe (« 42,195 kilomètres de plaisir »), fin connaisseur des mille et une positions du Kâma-Sûtra, incollable sur les subtilités de la toupie chinoise ou de la brouette japonaise, il garantissait à ses multiples partenaires les extases les plus folles. Son « joujou extra » les conduirait à coup sûr au grand frisson et au septième ciel.

Les hommes le jalousaient pour ses conquêtes innombrables et ne comprenaient pas qu’un individu aussi vulgaire puisse provoquer un tel engouement de la part des jolies femmes. Celles-ci adoraient au contraire ses manières simples, presque frustes, lBR FV 41 Max12a façon très directe qu’il avait de les aborder, sans tourner autour du pot, de les déshabiller du regard, de plonger effrontément ses yeux dans la profondeur insondable de leur décolleté, de les faire rire aux éclats et de leur chuchoter des mots crus au creux de l’oreille pour les faire rougir comme des pivoines. En un mot, un homme, un vrai, brut de décoffrage, qui détonnait agréablement au milieu des chiffes molles habituelles et deBR FV 41 Max13s raseurs intellos.  

C’était aussi pour sa conversation que Max valait en quelque sorte le détour. Car en dépit des qualificatifs plutôt familiers qu’il utilisait à l’égard de Lady Alexandra (« Ma princesse », quand ce n’était pas « Mon poussin »), celle-ci pouvait difficilement se priver de sa présence. Lui seul, en effet, avait le don de dégeler l’atmosphère des soirées un peu « coincées ». D’apporter une note « décalée ». Un ton original. Un souffle d’imprévu. Au risque de laisser parfois tomber un énorme pavé dans la mare des convenances.

Le procédé était assez simple. Il consistait à lui donner la parole sur un sujet qu’il affectionnait et à se contenter de l’écouter. Il devenait rapidement intarissable. Opposé un soir à un François Pignon pourtant en grande forme, qui détaillait à l’assemblée pendue à ses lèvres ses dernières constructions en allumettes, la basilique de Lisieux et le viaduc de Millau, il l’avait emportBR FV 41 Max14é haut la main en évoquant ce qu’il appelait pompeusement « sa carrière dans le show-biz ». En fait de célébrité, mis à part un prix d’encouragement obtenu à Pézenas dans un radio-crochet, son heure de gloire avait culminé le 18 mars 1961 à Cannes dans l’orchestre de Jean-Claude Pascal, lauréat du Concours Eurovision de la chanson pour « Nous Les Amoureux ». Depuis lors, il cachetonnait ici ou là dans des spectacles minables. Sa dernière performance, en compagnie d’Yvette Horner, avait eu pour cadre l’émission « La Chance aux Chansons » de Pascal Sevran, dont la diffusion en semaine l’après-midi sur TF1 rencontrait une auBR FV 41 Max15dience inespérée dans les maisons de retraite.

En fait, personne ne savait très bien comment ni de quoi il vivait. Quand il expliquait - avec maladresse - qu’il avait pendant longtemps « fait dans la culotte pour dame », il fallait traduire qu’il avait occupé les fonctions de représentant en lingerie fine pour la marque « Glamour ». Les réunions, ajoutait-il en clignant de l’œil, étaient organisées à domicile, chez la ménagère de moins de cinquante ans. Sur cet épisode marquant de sa vie, il faisait généralement un tabac lorsqu’il révélait ses trucs pour convaincre ses clientes d’essayer les modèles les plus légers (Honeymoon, Playmate, Sex Bomb) et ses formules magiques pour les faire céder à la tentation (« N’hésitez pas, mesdames, prenez les deux, le slip pour votre mari, le string pour votre amant »).

Au demeurant, il entretenait un flou permanent autour de ses occupations et de ses voyages. Prompt à extraire de son portefeuille des photos où il trônait au milieu d’un essaim de jolies filles peu farouches et peu vêtues, des «véritables championnes de la baise », croyait-il opportun d’ajouter, il revenait toujours de Saint Barth ou de Curaçao, rarement de Bar-sur-Aube ou du Puy-en-Velay.   BR FV 41 Max16

« En correspondance entre deux missions », poursuivait-il, le buste légèrement incliné, l’air grave, sur le ton de la confidence, il vous laissait entendre, sans pouvoir en dire - malheureusement - davantage, secret d’État, vous comprendrez, qu’il était sur un gros coup… livraison d’armes aux Forces armées révolutionnaires de Colombie… jungle hostile… chaleur suffocante… moustiques… marécages… seul avec ma bite et mon couteau… intermédiaire… route de la cocaïne… plein de pognon à ramasser… Heureusement, il disposait sur place d’excellents contacts, y compris dans les cercles politiques les plusBR FV 41 Max17 fermés, qu’il avait pu facilement pénétrer grâce à son entregent, s’esclaffait-il tout en portant la main à sa braguette.

De ce numéro extraordinaire de mercenaire à la petite semaine, les invités de Lady Alexandra, qui s’efforçaient à grand peine de contenir leur sérieux, ne croyaient pas un traître mot. Ils avaient appris à décoder ses propos : le trafic de narcodollars en question devait plutôt ressembler à un inoffensif commerce de contrebande - trois cartouches de cigarettes et deux bouteilles de pastis de temps en temps - à l’occasion d’un déplacement dansBR FV 41 Max18 la Principauté d’Andorre.

Lors de ses nombreux séjours à Glendale, Max n’avait pas pu manquer de croiser le chemin de Béatrice. Sa présence l’électrisait. Quant à elle, elle en avait une peur bleue, craignant par-dessus tout de se retrouver seule avec lui. Car en pareille circonstance, elle était quasiment sûre de passer un mauvais quart d’heure, tripotée entre deux portes, voire prise en levrette tandis qu’elle se pencherait en avant pour border un lit ou pour faire le ménage. Très récemment encore, il s’était enfermé avec elle dans le salon télé, l’avait installée sur ses genoux, avait glissé sa main dans sa petite culotte, et sous prétexte de lui faire découvrir une « pépite » en matière de film X, avait passé son temps à la doigter pendant toute la durée du DVD.  

Mais tout cela n’était pas grand-chose en comparaison de son numéro favori qui consistait à attendre de se trouver en public pour apostropher la soubrette tout en déboutonnant lentement le haut de son pantalon :

- C’est l’heure du biberon, ma biquette, viens vite téter le bon lait chaud de Tonton Max.

Bien entendu, Lady Alexandra n’ignorait rien de ces multiples incartades. Si elle ne les approuvait pas toutes, elle savait en tirer parti à l’occasion. Car pour l’éducation de Béatrice, Max représentait une option à laquelle elle n’excluait pas de recourir quand il le fallait.

Par Béatrice - Publié dans : Humour
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Vendredi 6 juillet 5 06 /07 /Juil 06:00

42 01Bien chère amie,

Vos lettres sont un cadeau du ciel et j’éprouve toujours infiniment de plaisir à recevoir de vos nouvelles. La présence de votre neveu Vincent à vos côtés n’est apparemment pas de tout repos. Comment pourrait-il en être autrement ? Il est en plein dans l’âge difficile. Les repères essentiels lui manquent. Dans votre rôle d'éducatrice, c'est à vous de lui fixer quelques règles de conduite qui le guideront pour l’avenir.

Par où commencer ? Mon premier conseil est d’éviter de vous laisser déborder. Vincent vous a été confié. Il est inadmissible qu'il échappe à votre autorité. Il est urgent d’agir avec la plus extrême fermeté. Si j’étais à votre place, j’appliq42 02uerais sans état d’âme les bonnes vieilles méthodes. Elles ont fait leurs preuves. A ma connaissance, on n’a rien inventé de mieux.

Ici en Angleterre, les parents et les professeurs trouvent tout naturel de recourir aux châtiments corporels quand il s’agit de remettre les enfants dans le droit chemin. J’ai moi-même été élevée selon ces principes de rigueur et de discipline. Je les trouve excellents et je ne vois pas de raisons conva42 03incantes de les abandonner sous prétexte que nous ne serions plus au Moyen-âge, que les temps auraient changé, et que notre société serait devenue plus « permissive ». Le laisser-aller est un mauvais choix. Il est crucial que nous assumions nos responsabilités.

C’est en tout cas ce à quoi je m’emploie, de mon côté. Car je me trouve confrontée, comme vous, à des difficultés du même ordre avec Béatrice. Les conseils que je m'apprête à vous donner ne sont donc pas le résultat de mes lectures sur le sujet mais le fruit de l’expérience, entretenue par une pratique régulière. Je vous garantis mes recettes à coup sûr. Je les ai essayées personnellement. Elles se sont toujours montrées efficaces. Avec les filles comme avec les garçons. Bien entendu, je vous les livre en l’état. La prescription est applicable à une jeune fille mais je ne doute pas que vous saurez la transposer aisément à un adolescent.

Pour commencer, parmi ces méthodes, celle qui a de très loin ma préférence est la fessée. J’en suis une inconditionnelle.

Mais attention, la fessée ne doit pas être administrée n’importe comment, n’importe quand, ni pour n’importe quel motif. Bien plus qu’une simple punition, c’est un acte raisonné. Je serais tentée de dire un art à part entière quand il est 42 05parfaitement maîtrisé. Il ne me semble donc pas inutile de vous rappeler brièvement le déroulement d'une séance.

Il convient tout d’abord de planter le décor, un peu comme au théâtre, avec les éléments qui vont contribuer à faire vivre la pièce : ses personnages, son intrigue, ses rebondissements, son dénouement… La fessée doit être tout le contraire d’une punition improvisée, anodine, qui serait décidée et exécutée dans l’urgence, sous l’emprise de la colère ou de l’émotion. Il n’y a pas de bonne fessée sans un certain cérémonial. Et celui-ci est largement articulé autour de l’idée que, dans la fessée, c’est moins la douleur qui importe que l’humiliation qui l’accompagne.

Dès la faute commise, la future punie doit connaître sans ambiguïté et suffisamment longtemps à l’avance le châtiment qui l’attend. Elle doit comprendre que celui-ci est la sanction logique, inéluctable, de son comportement coupable. Et qu’il sera 42 06appliqué sans sadisme mais aussi sans faiblesse ni indulgence. Personnellement, j’ai l’habitude de prévenir Béatrice quelques heures à l’avance, parfois même plus longtemps encore, de façon à la laisser méditer sur son sort, à la mettre en condition, en quelque sorte, et à faire naître chez elle un sentiment de repentir avant même que la correction ne commence. La peur se révèle une excellente conseillère !

Une fois la décision prise et annoncée, elle doit rester définitive. Il faut, en effet, s'interdire le moindre retour en arrière ou le plus léger regret. Je donne mes ordres sans crier mais de façon très ferme. Et si Béatrice, piquée au vif, émet la plus infime protestation ou se permet une remarque insolente, elle ne manquera pas d'en subir les conséquences.

Lorsque le temps est venu de passer à l’acte, la coupable est convoquée. Habituellement, je confère à cette étape une certaine solennité. L’expérience m’a montré notamment que le choix du lieu jouait un rôle important pour la suite des opérations. A ce sujet, je suis fortement opposée à toute punition qui serait donnée à la sauvette, dans un endroit discret, à l’abri des regards, comm42 08e si la personne qui allait procéder à la correction se sentait en quelque sorte mauvaise conscience de se livrer à un acte répréhensible. Il ne faut surtout pas que vous ayez honte de donner la fessée. Pour cette raison, le choix de la chambre à coucher ou de toute autre pièce à usage privé n'est pas approprié. A l’inverse, le salon (ou le jardin quand il fait beau), lieu ouvert, est parfaitement adapté à la circonstance. D42 09’une part, parce que tout ce qui s’y passe est transparent et d’autre part, parce qu’il permet d’associer des spectateurs à la cérémonie. Je recommande vivement, en effet, les fessées données en public. Elles sont beaucoup plus humiliantes pour les victimes. Elles procurent à ceux qui y assistent des plaisirs parfois inavouables. Elles peuvent également exacerber les tendances exhibitionnistes de certains sujets. Elles permettent enfin à la maîtresse de cérémonie de se mettre en valeur par son autorité, son énergie, ou son adresse.

Par exception cependant, il arrive parfois que la correction doive être infligée ailleurs qu’à la maison, chez des amis ou des connaissances, par exemple. Parce que ces derniers ont été directement ou indirectement mêlés à l’affaire et qu’il semble alors naturel de les prendre à témoin d’une réparation exemplaire. Dans ce cas précis, ne laissez rien au hasard et emportez avec v42 10ous les instruments dont vous aurez besoin. Ils vous sont familiers. Vous en connaissez le maniement comme personne. Rangez-les dans un sac et confiez ce dernier à la punie elle-même. C’est bien la moindre des choses. Savoir qu’elle transporte les accessoires qui vont lui rougir les fesses aura la plupart du temps un effet extrêmement salutaire sur son comportement et contribuera à42 11 calmer toute envie de rébellion de sa part.

Faut-il donner soi-même la fessée ou déléguer cette tâche à un tiers ? A cette question, il n’y a pas, à mon sens, de réponse unique. Tout dépend des circonstances et du but poursuivi. En ce qui me concerne, j’en fais mon affaire la plupart du temps car il me semble logique que la personne qui a prescrit la sentence soit aussi celle qui l'exécute. Mais il m’arrive parfois d’en confier le soin à George, mon majordome, qui s’en acquitte toujours avec beaucoup de sérieux. Les mains de George sont de véritables battoirs. Au lieu de m’épuiser à la tâche, je sais que je peux m’en remettre totalement à lui.

Je n’ignore pas non plus que pour une jeune fille, être livrée aux mains d’un homme est plus troublant et plus humiliant. Car la fessée classique donnée à travers les genoux, outre son caractère régressif (le retour à l’enfance), c42 12ontraint la soumise à sentir physiquement l'érection de son maître, voire à supporter, en cours de route, quelques caresses plus intimes au niveau du pubis ou de l’anus. La sensation éprouvée par un garçon est souvent du même ordre. Vous pourrez observer qu'une fois installé sur vos genoux, votre jeune Vincent se trouve dans une posture qui ne le laisse pas indifférent. Voilà une occasion à ne pas manquer pour asseoir votre autorité de femme. Pour l’éveiller à la42 13 vie. Pour débuter son éducation sexuelle. Ou son éducation tout court. Il faut un début à tout. Les fessées enfantines constituent souvent une étape importante dans le processus de domination des hommes.

Passons maintenant aux instruments. Même si vous savez d’avance lequel ou lesquels vous allez utiliser, je vous recommande d’en faire au préalable un étalage le plus large possible. Faites mine d'hésiter, comme si vous n’aviez pas encore fixé votre choix. Histoire d’impressionner la coupable. Je vous fais grâce d’une longue énumération. Les possibilités sont diverses. Elles vont du martinet au battoir, en passant par la règle plate, la lanière de cuir épaisse, le « strap » comme nous l’appelons ici, la canne en rotin, la ceinture, la cravache ou même le fouet, sans compter toute une série d’accessoires ou d’objets qui peuvent être détournés de leur utilisation première. Pourquoi ne pas tenter la pantoufle, la brosse à cheveux, la raquette de ping-pong ou le battoir à tapis ? Laissez libre cours à votre42 14 imagination. Il faut savoir rompre de temps en temps avec les habitudes ! Demandez à la coupable de vous apporter l’instrument que vous aurez choisi et de vous le présenter, à genoux, avec respect et déférence. Le seul fait d’avoir à le tenir entre ses doigts doit provoquer sa crainte.

Un minimum de pédagogie est souvent nécessaire avant même l’exécution de la punition. Celle-ci, en effet, ne doi42 15t pas tomber brusquement du ciel sans raison apparente mais être associée à une cause clairement identifiée. Vous expliquerez donc d’une voix calme et posée à votre petit Vincent les motifs pour lesquels sa conduite a été répréhensible, en quoi elle vous a choquée, ce qu’elle mérite en retour et la punition qui en résulte. A ce stade, il n’est pas nécessaire d’entrer dans les détails, notamment de spécifier le degré de sévérité de la fessée. La victime en jugera bien assez tôt ! L’essentiel est que votre message soit clair et bien compris.

Durant ces préliminaires, la position de la victime est importante. Personnellement, j’impose à Béatrice de se mettre à genoux, de joindre les mains sur sa tête, les coudes levés bien hauts, et de garder les yeux baissés. Elle est obligée de m’écouter dans cette posture aussi longtemps qu’il est nécessaire. Selon mon humeur, je peux être confortablement assise en face d’elle ou bien marcher de long en large dans la pièce en la toisant du regard.

De mon point de vue, il est préférable que la punie soit déjà en tenue pour sa fessée lorsqu’elle écoute la sentence. Mais plutôt que de la dévêtir moi-même, je trouve préférable de lui en laisser le soin. Une façon comme une autre de lui faire honte et de la forcer à participer contre son gré à sa punition. Je le fais aussi pour ceux et celles qui prennent un certain plaisir à assister à ce genre de déshabillage. Béatrice est maintenant habituée à se mettre en petite tenue dès que l’ordre lui en est donné. Elle doit tout enlever. Je ne lui laisse que sa petite culotte.

Pour sa part, mon amie Martine est adepte d'une tenue spéciale pour les fessées. Courte jupette plissée bleu marine, chemisier blanc, socquettes blanches, pas de soutien-gorge, et une culotte haute en coton blanc style "Petit Bateau". Comme une petite gamine de 12 ans ! Et elle impose la même tenue aux garçons. Vous imaginez !

Chère amie, pardonnez-moi mais je dois interrompre cette lettre. On me signale à l’instant que ma petite Béatrice - justement ! - a encore fait des siennes. Il va falloir que je m’occupe d’elle. Quand je vous disais qu’il n’y a pas un jour sans que je sois amenée à mettre mes théories en pratique ! A bientôt donc pour la suite de mes conseils.  

Avec toute mon affection,

Alexandra

 

Par Béatrice - Publié dans : Fessée - Communauté : Soumission et appartenance
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Lundi 6 août 1 06 /08 /Août 06:00

 

43 01Bien chère amie,

Excusez-moi pour cette interruption inopinée. Une urgence ! Il fallait s’y attendre ! Avec Béatrice, je pourrais compter sur les doigts d’une main les jours où elle ne fait pas de bêtises ! A la longue, je me demande si je ne vais pas finir par me faire mal au poignet !

Je pose donc mon martinet - les lanières commencent à être usées, il faudrait que je pense à en changer - pour reprendre ma lettre à l’endroit où je l’avais laissée, c’est-à-dire aux préliminaires. Plus précisément à la question de la tenue adéquate pour recevoir la fessée. Je suis persuadée43 02 qu’obliger la coupable à retirer elle-même ses vêtements est extrêmement salutaire. Pour autant, n’allez pas jusqu’à lui ordonner de tout enlever et dites-lui de rester en petite culotte. Elle se croira ainsi momentanément protégée. Personnellement, j’adore prendre le temps de contempler à loisir les petites fesses de ma soubrette lorsqu’elles sont encore moulées dans le vêtement lumineux qui délimite très exactement les contours de ma future cible.

La sentence une fois énoncée, la victime se mettra en place. A vous de lui indiquer précisément la position qu'elle doit adopter : couchée en travers de vos genoux ou courbée sur le dossier d'un fauteuil, par exemple. Pensez aussi à votre bien-être car la punition doit pouvoir être administrée sans fatigue ni gêne. Il est primordial que vous vous sentiez à l’aise.

La position classique et préférée de nombreux pratiquants est celle où la fesseuse ou le fesseur allonge sa victime sur ses genoux. Pourquoi ? Parce que le fessier se trouve à distance optimale de la main et que les réactions de la victime sont immédiatement perçues par celle ou celui qui officie. Un fesseur pourra également éprouver une certaine excitation physique en sentant sa victime reposer sur le haut de ses cuisses.

Sauf circonstance exceptionnelle, la victime ne devra pas être attachée. Toute entrave irait, en effet, à l’encontre du postulat de départ, à savoir que la correction est acceptée sans réserve dès lors 43 03qu’elle est la contrepartie logique d’une faute reconnue. Naturellement, il peut arriver qu’un sujet se montre plus ou moins agité. Si vraiment il n'y a pas moyen de le tenir tranquille, il faudra se résoudre à l’immobiliser et penser à lui infliger, tout à fait à la fin, le surcroît de claques qu'il mérite pour la peine.

Habituellement, je commence par une fessée classique à mains nues, « over the knee », pour reprendre l’expression que nous utilisons ici, en Angleterre. Béatrice vient s’allonger en travers de mes genoux. Je veille à ce que le poids de son43 045 corps soit déséquilibré en avant, ses mains touchant le plancher et ses jambes en l’air, de façon à faire ressortir ses reins et à l’empêcher de se redresser. Elle doit être bien calée, son bras gauche serré contre mon abdomen, son bras droit fermement maintenu dans le dos.

A ce stade, cependant, tous les spécialistes vous le confirmeront, il est indispensable de se ménager encore un peu de temps avant d'opérer. Le rapport de forces n'est désormais plus le même. Immobilisée, la victime se trouve livrée corps et âme à sa maîtresse. Ce qui va suivre est à sa totale discrétion.

Quelques recommandations ne seront pas inutiles : toute tentative pour se protéger les fesses avec les mains, tout essai pour se dérober, tout trémoussement intempestif, tout changement de position, ne pourront qu'aggraver la punition initiale.

Ces précisions apportées, la correction sera toujours appliquée jusqu'au bout, sans égard pour la moindre plainte ou supplication.  A l’usage, vous constaterez qu’il est assez facile de déterminer à quel moment les limites du supportable auront été atteintes : les cris et les geignements changent de nature, l’attitude se fait plus humble, les supplications s’imprègnent d’un accent de sincérité qui ne trompe pas. Ne vous laissez donc pas abuser par des larmes de crocodile trop vite versées. Certaines savent les faire couler avec abondance. Restez au contraire inflexible. Avec moi, Béatrice est corrigée aussi longtemps qu’il est nécessaire, jusqu’à ce qu’elle abandonne toute résistance. Je ne vous cacherai pas le plaisir intense que j’éprouve lorsque je la sens enfin matée, lorsque l’éclair de révolte qui illuminait jusque-là ses yeux a disparu pour faire place au désarroi d’un regard rempli de larmes, soumis et adorant. De mon point de vue, la preuve d’une fessée réussie se mesure à l’aune des pleurs qu’elle provoque. A la longue, vous verrez, je suis persuadée que votre petit Vincent finira par vous remercier pour votre fermeté.  

Au commencement, il est conseillé de procéder doucement. Les claques initiales ont pour but de chauffer les fesses (mais aussi la main) en faisant affluer le sang à la surface de la peau et de favoriser ainsi la sensibilité et l'excitation. Tous les fesseurs expérimentés préconisent de frapper avec le plat de la main. La vibration produite irradie les nerfs de la fesse et se répercute immanquablement au niveau du sexe. Le coup doit être donné assez lentement pour que la brûlure produite ait le temps de se diffuser en totalité avant que le43 08 suivant ne tombe. Ne vous précipitez donc pas.

D'une manière strictement physiologique, vous constaterez rapidement que la fessée déclenche l'excitation sexuelle. Car c’est pour une large part le mental de la soumise qui érotise ou non la punition. D'où la nécessité de varier constamment le rythme et la force de la correction.

L’effet de surprise est également le bienvenu. N’hésitez pas à souffler le chaud et le froid. Vous pourrez, par exemple, faire croire que la claque suivante sera beaucoup plus forte que la précédente, alors qu’elle ne sera en réalité à peine plus appuyée. A l'inverse, une claque légère pourra être suivie d'une autre carrément cinglante. Bien entendu, vous prendrez soin d’alterner vos coups pour que chaque fesse reçoive sa part. L’idéal est d’atteindre progressivement une couleur uniforme. Rien n’est plus charmant que de belles joues bien rouges !  

Un cocktail douleur-volupté bien dosé (un peu de douleur pour 43 09beaucoup de plaisir) est le gage d'une séance de fessées réussie. Pour cela, la fesseuse doit être à l'écoute des sensations de la soumise mais elle doit parallèlement être inspirée par ses propres fantasmes. Il est important qu’un authentique dialogue mental et érotique puisse s’instaurer entre les deux partenaires.

La manière forte qui consiste à déshabiller le sujet d'un geste brusque, dans un accès de colère mal maîtrisé, par exemple, est, à mon avis, à proscrire. Mieux vaut y recourir à bon escient, dans les cas43 10 les plus graves. A l’inverse, la méthode douce, qui peut être agrémentée d’innombrables variantes, est celle que je recommande. Elle suscitera et accompagnera au plus près la montée du trouble de la victime.

Un bon déculottage doit être progressif car la progressivité fait partie intégrante du processus d’humiliation. Donc, si vous lui avez laissé sa jupe, comptez environ dix minutes pour une première série. La victime s'imaginera que vous allez en rester là et qu'elle va s'en sortir à bon compte.

Sans marquer d'arrêt, passez ensuite à la deuxième étape, jupe relevée, directement sur la petite culotte. Là encore, une bonne dizaine de minutes seront nécessaires. N’épargnez pas les cuisses. D’une part, parce que leur chair étant 43 11plus tendre, la sensation de douleur sera plus vive. D’autre part, parce que les marques des doigts y demeurant imprimées plus longtemps, elles continueront à être exposées à la vue de tous, y compris une fois la correction terminée et la jupe renfilée, surtout si celle-ci est très courte.  

Une petite jupette à porter par tous les temps, hiver comme été, rappellera sa vulnérabilité à celle qui la porte. Vous ne regretterez pas d'en avoir fait l'acquisition. Pas plus que vous ne considérerez inutile l'achat, pour un garçon, d'un petit short court à ceinture élastique, facile à baisser. C’est la tenue que je réserve aux collégiens turbulents qui me sont confiés en pension. Il m’arrive parfois aussi de leur faire porter des petites culottes de filles. Le modèle de base, tout ce qu’il y a de classique, blanc comme il se doit, orné d’un petit noeud par-devant et de picots élastiques brodés au niveau des cuisses. Féminiser ces grands dadais m’amuse beaucoup. Cela les rend en général furieux. Une partie de la punition est ainsi déjà exécutée avant même d’avoir réellement commencé. Je choisis à dessein la taille inférieure afin de coller au plus près aux reliefs de leur anatomie. Sans compter que j’adore sentir une certaine résistance sous mes doigts quand je les déculotte. Et puis, cette tenue moulante ne peut absolument rien cacher des « émotions » 43 13qui peuvent s’emparer de certains d’entre eux lorsqu’ils se retrouvent basculés sur mes genoux.  

La correction se poursuivra, la petite culotte rentrée dans la raie des fesses, histoire de vous offrir cette petite fantaisie au passage et de faire sentir l’impudeur d’un tel geste à celle - ou celui - qui se trouve sur vos genoux.

Nous voilà maintenant arrivés à la phase déculottée proprement dite. Je me contente, dans un premier temps, de baisser la culotte à mi-cuisses, cette position intermédiaire qui accentue, de mon point de vue, le sentiment d’humiliation. Vous constaterez cependant que la petite culotte en question ne tardera pas à glisser plus bas, sous l’effet des gesticulations. J'adore observer ces quelques grammes de coton blanc finir leur course autour des chevilles de mes victimes et entraver leurs gesticulations contre leur gré. Dix bonnes minutes seront encore nécessaires, au cours desquelles vous la contraindrez à tout instant à garder cette humiliante position étendue sur vos genoux, les reins cambrés, les cuisses rougies et brûlantes, suffisamment écartées pour qu'elle vous expose son intimité sans plus de mystère.

Au total, la correction aura duré une demi-heure. A mon avis, il faut bien cela.

Pourquoi est-il absolument indispensable de donner la fessée 43 15déculottée ? Il y a plusieurs raisons à cela. D’abord parce qu’exposer la nudité développe immanquablement chez celui ou celle qui la reçoit un sentiment de malaise et de honte. Ensuite parce que celle qui la donne doit pouvoir évaluer sans risque de se tromper les conséquences de ses gestes : le degré de rougeur et de chaleur atteint, les marques laissées sur la peau, les zones encore vierges… Une fessée ne s’administre jamais à l’aveugle ou à la volée. C’est un exercice qui exige43 16 au contraire beaucoup de méthode et d’attention. La main constitue l’outil par excellence, le thermomètre si l’on peut dire.  

Pour accentuer son humiliation, il m’arrive assez souvent de demander à ma soubrette de compter les coups d’une voix haute et intelligible. Je l’avertis que la moindre erreur de sa part me conduira à reprendre tout depuis le début. L'émotion et la douleur aidant, vous pouvez être à peu près certaine qu’il finira, à un moment ou à un autre, par se tromper, pour votre plus grand plaisir.

Vous pourrez aussi estimer qu’il ne faut pas en rester là et qu'une prolongation s'impose, par exemple sous la forme d'une fouettée au au martinet. La punie devra donc se 43 178relever et prendre la pose, le buste plaqué à l’horizontale sur le dessus d’une table ou d’un bureau, les reins cambrés et les jambes écartées. Cette position est à mon avis encore plus humiliante que la précédente. Outre le fait que le martinet évoque inévitablement le retour à l’enfance, il est également complémentaire de la fessée à la main dans la mesure où son effet est plus cinglant et où il doit être principalement appliqué sur les cuisses. Il permet aussi d’atteindre des zones difficiles. Je pense à l’entrejambe, un endroit sensible, tant chez les43 1900 filles que chez les garçons.

En résumé, une fois atteint le compte que vous vous êtes mentalement fixé, rajoutez tout de même quelques claques supplémentaires afin que le puni sache à quoi s’en tenir en cas de récidive. Inutile, cependant, de vouloir terminer en « apothéose ». Celles-ci seront de la même intensité que celles qui les ont précédées, sans violence inutile ou déplacée. Gardez à l’esprit qu’il ne s’agit pas d’un jeu ou d’un défoulement de votre part mais d’une correction inévitable, administrée parce qu’il le fallait bien.

La fessée terminée, la punie sera mise au coin comme une écolière, les fesses rougies exposées à la vue de la personne qui l’a corrigée et des éventuels spectateurs. Les mains sur la tête, elle restera là en exposition autant de temps qu’il le faudra afin de méditer sur les conséquences de ses actes. Personnellement, je glisse une règle carrée en buis sous les genoux de Béatrice. Ce supplice supplémentaire, particulièrement douloureux, vient ainsi s’ajouter à 43 191celui de la fessée proprement dite. Mais il m’arrive aussi de la jucher à genoux sur un tabouret afin de l’obliger à garder l’équilibre et à se tenir droite. Naturellement, vous resterez à proximité pour la surveiller du coin de l’œil et vous la menacerez d’une nouvelle correction si vous la surprenez en train de se frotter les fesses avec les mains pour tenter d’apaiser le feu qui les consume.

Dans la mesure où vous l’estimez nécessaire - cela peut être le cas lorsque la fessée a été administrée43 201 en public -, un écriteau attaché autour de son cou - du genre « je suis insolente » ou encore « je me masturbe » - viendra rappeler à tout un chacun le motif de la punition. Ce genre d’exhibition, l’expérience me l’a montré, attire toujours un certain nombre de curieux - de voyeurs, disons-le - et il serait regrettable, à mon avis, de ne pas les faire profiter du spectacle. N’oubliez pas que, jusqu’à son terme, la fessée doit rester humiliante.

Puis, lorsque vous jugerez que sa pénitence aura assez duré, vous l’inviterez à se remettre debout et à renfiler sa culotte. A ce stade, il ne sera peut-être pas inutile de la sermonner une nouvelle fois en lui expliquant que tout acte d’indiscipline ou d'insolence de sa part sera automatiquement sanctionné comme il se doit. Bonté et patience ne riment pas avec faiblesse. Il y a des limites à ne pas dépasser. Puisqu’elle ne comprend que la manière forte, celle-ci sera employée autant de fois qu’il le faudra.

Des photos ? Pourquoi pas ? Mais de préférence juste après la séance de correction. Car une fois commencée, la fessée ne doit pas être interrompue, à moins qu’il n’y ait un spectateur (ou une spectatrice) qui se propose de faire le nécessaire en cours de route. Ces photos enrichiront un album en vue de rafraîchir la mémoire de la punie. La vue d’une série de fessiers rouge vif striés de belles raies parallèles lui rappellera à tout instant ce qu’elle encourt en cas de récidive.43 211

Parallèlement, pour ne rien oublier des fautes commises, je vous recommande l'usage d’un petit carnet où seront consignés avec soin les dates, les lieux, la durée et les motifs de la punition, ainsi que l’instrument utilisé. On ne pense pas toujours à tout ! Il vous faut une comptabilité claire et précise. La lecture du carnet vous permettra de faire le point à intervalles réguliers - la situation s’est-elle améliorée ou aggravée ? - et de fixer la marche à suivre pour l’avenir - les corrections doivent-elles être plus sévères et plus fréquentes ? -. 43 997 

Une fois la punition terminée et le carnet mis à jour, on n'en parle plus. La vie reprend son cours ordinaire. Vous n’avez agi que par devoir, sans animosité mais avec toute la rigueur qui s’imposait. Après le temps de la correction vient celui du pardon. Il vous appartient de le manifester clairement de façon à ce que la punie sache que tout est oublié. La peine est purgée. Dans un monde idéal, la punie devrait avoir conscience de la faute qu’elle a commise et demander la punition de sa propre initiative. On peut toujours rêver ! Je n’en suis pas encore là avec Béatrice et je me demande si j’y parviendrai un jour.

Pour terminer, je souhaiterais vous faire part d'une réflexion. La fessée peut devenir une habitude, voire un plaisir. Une habitude, c’est facile à comprendre, dans la mesure où, avec les domestiques et les enfants, les occasions ne manquent pas pour sévir ! Un plaisir ? C’est plus délicat ! Vous en jugerez rapidement par vous-même en observant vos réactions et celles de votre victime. Nous nous connaissons suffisamment pour que je vous fasse un aveu : il m’est très agréable de fesser Béatrice et sans doute plus qu’il ne serait vraiment nécessaire. Cet exercice me procure à chaque fois des sensations indéfinissables, comparables à une jouissance intime.

J’adore les petits derrières43 998 dodus, gonflés avec insolence, qui s’offrent à mes caprices en arrondissant avec orgueil leurs belles joues potelées. Et puis c’est un plaisir partagé. Car je devine ce que Béatrice ressent de son côté dans ces moments-là. Entre deux séries de fessées, je lui caresse le sexe. Mes doigts passent et repassent le long de sa fente, s'insinuent entre ses lèvres. Je l'entends gémir. Non pas de douleur mais de plaisir. Un plaisir que je sens monter dans son ventre, brûler sa vulve, irradier du clitoris à l'anus. Elle est humide, excitée, comme prête pour l'amour. A la longue, j'ai fini par la dresser comme un petit chien. Fessée est devenue maintenant pour elle synonyme de jouissance. Avec elle, la fessée finit souvent en levrette, les cuisses bien écartées, offerte à mes amants de passage, trop contents de l'aubaine, qui la pénètrent devant moi.

Voilà, je vous ai tout dit ou presque. Si jamais, en dépit de ces conseils, vous continuiez à rencontrer des difficultés avec votre petit Vincent, n’hésitez pas à me l’envoyer quelques jours en pension. Je me ferai un plaisir de m’occuper de lui personnellement. A son retour, vous pourrez constater que nos méthodes d’éducation à l’anglaise lui auront fait le plus grand bien !  

A bientôt, j’espère, le plaisir de vous lire.

Alexandra

 

Par Béatrice - Publié dans : Fessée - Communauté : Soumission et appartenance
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Jeudi 6 septembre 4 06 /09 /Sep 06:00

44 01Oui, je sais, vous allez sans doute me trouver ridicule de tenir mon journal mais peu importe, je n’en ai pas honte. De toute façon, je ne peux pas m’en passer. C’est mon compagnon de tous les jours. Celui à qui je me confie et qui me rassure. Je le tiens depuis que je suis adolescente. J’y note tout ce qui me passe par la tête. Mes attentes. Mes joies. Mes émotions. Et surtout mes souvenirs. Les bons et les mauvais. En les posant sur le papier, j’ai l’impression de les retenir captifs. Comme des papillons épinglés dans un sous-verre. Et de pouvoir les revivre aussi. Car depuis que je suis au service de Madame, j’en ai accumulé des choses à raconter ! Elle m’a fait partager des moments tellement merveilleux qu’il serait dommage de les laisser s’envoler.   44 02

Maintenant que j’y repense, quand je suis arrivée au château, je devais vraiment avoir l’air d’une petite oie blanche ! A la vérité, je n’étais pas complètement née de la dernière pluie, mais je n’ai pas cherché à détromper Madame. D’une part, parce que j’ai immédiatement senti que, quoi que j’aie pu faire ava44 03nt d’être sa femme de chambre, elle était résolue à reprendre mon éducation à la base. A me dresser à sa guise. Si j’avais été un animal de compagnie, elle m’aurait appris à lever la patte. D’autre part, parce que j’aime beaucoup jouer à la vierge effarouchée. Enfin quand je dis effarouchée, je m’entends. Suffisamment accueillante pour ne pas décourager ces messieurs. Mais pas trop non plus pour ne pas avoir l’air de leur céder dès les préliminaires. Et puis, ils auraient la désagréable impression de pouvoir l’emporter sans combattre. Disons plutôt ambiguë. Innocente et perverse à la fois.

C’est comme ça que je me compose mon perso44 04nnage depuis le début. Ce n’est pas difficile. Il suffit de le vivre de l’intérieur. D’en faire un autre soi. Comme un pull-over dont on reconnaît l’odeur familière quand on l’enfile. Tout le reste est à l’avenant. La petite robe super courte. La coiffe blanche. Le tablier froncé. Les talons hauts. Les bas à coutures. Les petits pas, la poitrine bombée, les reins cambrés, les yeux baiss44 05és. Déférente. Soumise. Prête à se plier à tous les ordres. Sans jamais manifester mes sentiments. De révolte ou d’enthousiasme. Parfois, je n’arrive pas à me retenir. Je me pique au jeu et mon naturel reprend le dessus. Le plaisir l’emporte. Madame s’en rend compte. Tant pis pour moi ! De toute façon, je suis ainsi faite que j’apprécie autant la bêtise que la correction qui l’accompagne. Si Madame voulait vraiment me châtier, il faudrait plutôt qu’elle me prive de punition. Heureusement, cela n’arrive jamais. Du coup, je suis gagnante sur les deux tableaux. Je ne m’en lasse pas. Je finis même par me demander si je ne suis pas devenue vicieuse.

Hier, par exemple, je ne sais pas quelle mouche m’a44 06 piquée mais ça a été plus fort que moi, je n’ai pas pu m’empêcher d’entrer dans sa salle de bains pour lui chaparder un peu de parfum. Du Shalimar de Guerlain. Le flacon est tout en haut de l’étagère, à gauche. J’ai failli glisser du tabouret en me hissant pour le saisir. A peine une goutte derrière l’oreille. Presque rien. C’était super ! Blandine m’a regardé faire sans rien dire, l’air 44 07amusée. J’ai très vite compris pourquoi. C’était comme si je venais de signer mon crime. L’odorat de Madame est d’une subtilité incroyable. Du coup, ça n’a pas raté. Elle a tout de suite réalisé ce qui s’était passé. En un tournemain, je me suis retrouvée basculée sur ses genoux, culotte baissée. J’ai protesté et trépigné pour le principe. Des larmes de crocodile. Madame n’y a prêté aucune attention. Elle commence à être habituée. Depuis le temps, elle a parfaitement compris que je ferais n’importe quoi pour recevoir la fessée. A mains nues, au martinet, à la badine ou au battoir. Parfois, elle croit m’humilier davantage en me l’administrant en public mais je trouve au contraire que c’est encore plus excitant. C’est la même chose après, quand elle me met exprès au coin, à genoux, à un endroit où il y a beaucoup de passage, par exemple     au beau milieu de la pelouse devant le château.  

Mais ce que je préfère par-dessus tout, c’est ce q44 08ui se passe après la punition, le dernier acte, après la tempête, une fois le calme revenu. Quand vient le temps du pardon. Celui où nous faisons la paix. Lorsqu’elle me fait un gros câlin, assise sur son canapé. Ou bien qu’elle reste debout devant moi et que je suis à genoux à ses pieds. Tout contre elle. Ma joue collée à son corps.

Nous nous sommes inventé ce petit rituel, ce petit infini. Afin 44 09de prolonger pour quelques minutes encore la pièce que nous venions de jouer. Un peu comme au théâtre, quand on s’embrasse, qu’on se touche, qu’on a besoin d’être intimes, de brûler les étapes, de vivre en une heure ou deux toute l’expérience d’une vie. Parce que cette expérience a été d’une intensité rare. Et que les paroles en rendraient mal la puissance. Parce que, comme au théâtre, notre jeu a été une affaire de corps, de contact, de sueur. Une affaire de peau.

Nous nous taisons. Le temps est suspendu. Il n’y a plus que le silence qui nous enveloppe. Elle et moi. J’entends les battements de son cœur. La tiédeur de sa peau imprègne le tissu de sa robe. « Tu ne recommenceras plus, Béatrice, tu me le promets ? » « Oui, Madame. » Je ne vais pas dire le contraire. Mais elle n’est pas dupe. Elle sait que dès le lendemain et peut-être m44 10ême avant, le démon me reprendra. De mon côté, sans trop chercher à me l’avouer, je ne suis pas loin de penser la même chose.

Qu’importe la suite, dans l’immédiat, je savoure un moment de bien-être absolu. Une parenthèse d’éternité. Une sensation de plénitude semblable à celle qu’un homme doit ressentir après l’amour. Je 44 11ne pense plus à rien. Je redeviens une enfant. J’enlace ses jambes. Ses hanches. Mon étreinte se resserre. Il n’y a que dans de pareilles occasions que je peux me permettre de caresser son corps. De l’effleurer à peine. Du bout des doigts. De le deviner. Je voudrais que mes gestes soient les plus tendres possible. Qu’ils traduisent les sentiments mêlés de respect et de sensualité qui m’animent. Qu’ils expriment ce que je ressens sans avoir à crever la bulle du silence pour le lui dire. Elle me laisse faire. Je crois qu’elle me comprend.

Au plus profond de mon rêve, je garde les yeux clos pour prolonger la magie du bonheur. L’obscurité protège. Ma joue repose contre sa robe. Je la respire. Pour bien faire, il faudrait que le temps s’arrête. Que je reste à ses pieds. Que je puisse la garder pour moi toute seule. Pour toujours.   44 12

Mais les minutes s'écoulent. Je dois me résigner. Accepter de renaître à la vie. De reprendre contact avec le monde environnant. Alors avant de me redresser, je dépose un dernier baiser au creux de son épaule. Et je finis par rouvrir les yeux. Bordés de reconnaissance. Embués de tendresse.  

C’est l’instant qu’elle guette. Celui où nos regards se croiseront à nouveau. Où elle me sourira. Où je saurai que je suis pardonnée. Où je comprendrai que je ne serais plus moi si je ne faisais plus de bêtises. Où nous serons heureuses.

 

 

Par Béatrice - Publié dans : Maîtresse Alexandra
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Samedi 6 octobre 6 06 /10 /Oct 06:00

01 R60 Lingerie 09Si ça continue comme ça, je crois bien que je ne serai jamais prête. Le trac. La peur au ventre. La gorge qui se noue. Comme si je m’apprêtais à sauter dans le vide du haut d’un pont. Sans élastique. Il faut que je réussisse du premier coup. Il n’y aura pas de deuxième fois. En attendant, c’est plutôt mal parti. Je dois finir de me préparer. Et la bride de mon escarpin vient de lâcher. On m’appelle. Julie, ma coiffeuse, est au bord de l’hystérie. La tension est à son comble.

Col cassé impeccable, verres fumés, mitaines incongrues en résille argent, Klaus s’agite dans tous les sens en tripotant nerveusement son bracelet talisman couvert de breloques et de02 R60 Front Row grigris. C’est la première de sa collection de lingerie printemps-été. Et chaque fois, c’est la même chose. Le même désordre indescriptible. Au-dessus des têtes, les écrans annoncent en lettres rouges clignotantes « The show will start in one minute ». Encore quelques poignées de secondes et le03 R60 Lingerie 145s salons de l’hôtel de Bourbon-Condé seront plongés dans le noir. Avant de renaître dans un jaillissement de lumière. Pour quelques instants de grâce. Pour une féerie des sens. Pour une folie intitulée cette année « Burning Desire », offerte en toute simplicité « aux femmes, à la haute couture et à Paris ».

Un bourdonnement frénétique s’empare de la ruche des accessoiristes, maquilleurs, couturières, agents de sécurité, régisseurs, éclairagistes, techniciens du son et de l’image… Derniers réglages. Ultimes recommandations. Un défilé se prépare et se gère comme un spectacle. Dans le luxe, le show do04 R60 Maquillageit être maîtrisé à la perfection.

Une journaliste de Vogue écoute, perplexe, un blondinet maniéré décrypter les intentions du maître de sa voix de fausset. « Les icônes de la mode changent… Il faut jeter aux orties l’agressivité du porno chic et le flashy des paillettes pour redécouvrir le goût de la féminité épanouie… Ode à la t05 R60 Lingerie 05ransparence… Habiller le rêve d’une caresse… Rendre à l’éphémère une part d’absolu… Il n’y a d’autre beauté que la liberté du corps. ».

C’est Walter qui m’a maquillée. Il a l’habitude. J’ai un petit faible pour Walter. Avec lui, je suis tranquille. En voilà un qui pense sûrement à autre chose qu’à peloter les seins des filles. Un véritable artiste. Un esthète qui pose ses couleurs comme le ferait un peintre, tout en écoutant la symphonie 41 (Jupiter) de Mozart sur son baladeur MP3. Maquillage glamour. De braise et de velours. Cils cambrés. Lèvres ardentes, repulpées à l’extrême. Ma bouche est en feu, comme celle d’une geisha.

Le « front row » a été pris d’assaut par les06 R60 45 célébrités. Stars du cinéma. Du show-biz. De la mode. Vedettes de télévision. Personnalités politiques. Invitées de marque. J’aperçois Lady Alexandra - à qui je dois l’insigne privilège de pouvoir défiler - accompagnée de son amie Martine. Des coulisses, on entend gronder la rumeur de la salle. Tous ces gens venus spécialement pour l’occasion et qu’il ne faut pas décevoir. 07 R60 Lingerie 10Qui se dévisagent à distance, s’échangent des signes, papotent, s’éventent avec leur programme et soudain se figent dès que la lumière décline.

Le défilé commence. Sur une bande-son poussée au maximum - un mixte de The Cure, B 52's et Arcade Fire - la salle est balayée de faisceaux lumineux. Turquoise strident. Jaune pastis. Rose phosphorescent. Je n’entends plus rien. Nous nous parlons par gestes. Comme arrachés à la nuit, les mannequ08 R60 Lingerie 549ins s’élancent tour à tour sur le long ruban du podium inondé de lumière. Catwalk. Démarche chaloupée. Nuisette aux rubans de soie. Body en dentelle Chantilly et satin. Bustier en résille et volants. Décolletés pigeonnants. Jupon troussé sur un maillot en tulle plissé chair. Soutien-gorge en plumetis, gansé velours. Caraco rose sépia. Coton09 R60 Lingerie 010 à rayures banquier. Porte-jarretelles. Guêpière. Déshabillé charmeuse de mousseline champagne. « Oh, my God ! », s’exclame une invitée, tandis que sa voisine lance des « Marvelous… Fabulous ! », en se balançant sur sa petite chaise dorée. Les meilleures vendeuses de la collection, ce sont ses clientes.

Les filles se succèdent dans un ballet millimétré : 1 minute 5 secondes par passage, 20 secondes devant chaque rangée de gradins. A l’extrémité de la piste, téléobjec10 R60 Lingerie 055tif au poing, le mur des photographes se dresse, telle une pyramide instable. Crépitement des flashs. Claquement des obturateurs. Campés sur leurs pieds, le coude du voisin dans l’œil, ils guettent l'instant où ils appuieront sur le déclencheur. L'instant magique. Celui où le mouvement est naturel, le regard captif, le cadrage idéal, l'équilibre parfait entre l'ombre et la lumière.

Dans quelques secondes, lorsque Chloé et Eurydice seront revenues, ce sera mon tour. Je présente le mod11 R60 Lingerie 03èle n° 17, « Exciting », une mini culotte en tulle noir transparent, largement fendue par-devant et par-derrière. Dix grammes d’érotisme qui moulent à la perfection mes rondeurs potelées. Lolita. Bimbo. Baby-doll. Il paraît qu’avec, je suis super craquante.

Dernière inspiration avant de traverser l’écran de lumière. Go ! Je surgis du néant au rythme de la musique. Poser un pied devant l’autre en conservant la même ligne. Animer le mouvement d’un très léger déhanchement. Le regard droit. Résolu. Madame m’observe attentivement. Elle est là quelque part, je le sens. Je voudrais qu’elle soit fière de moi. Pour la satisfaire, je serais prête à tout. Nous avons tellement répété ensemble. Rester naturelle. Penser à sourire. Un peu. Juste ce qu’il faut. Tout en restant hyper concentrée sur mes pas. Ni trop lents ni trop rapides.

Demi-tour à l’extrémité du podium. Arrêt éclair. Le temps de concéder un demi-sourire à l’assemblée. De défier les photographes dans le blanc des yeux. Avant de tirer ma révérence et de repartir ravie, en sentant dans mon dos mille admirateurs envieux fantasmer sur ma silhouette… sur mes deux petites fesses mutines qui ondulent et s’éloignent insensiblement pour finir par disparaître là-bas, tout au fond, dans le noir…

 

Par Béatrice - Publié dans : Féminisation - Communauté : blog sexe des amis
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Mardi 6 novembre 2 06 /11 /Nov 06:00

BR FV 46 01Tirée par une laisse fixée à son collier de chien, les poignets attachés dans le dos par des bracelets de cuir, Béatrice emboîte le pas de George, le majordome, qui semble prendre un malin plaisir à l’exhiber à travers le dédale des couloirs du château afin que nul n’ignore la gravité de la faute qu’elle a commise et la sévérité de la punition qui l’attend. Elle a les seins nus. Son seulBR FV 46 02 vêtement est une petite culotte blanche dont la forme très échancrée par derrière laisse clairement percevoir les balafres rouges qui sillonnent ses reins. Lady Alexandra a donné des instructions pour qu’elle soit d’abord fouettée avant d’être emmenée à la cave auprès d’Harry. George s’est acquitté de la première partie de sa mission avec beaucoup de zèle et a même profité de ce tête-à-tête particulier pour abuser de Béatrice à plusieurs reprises.

Les voilà maintenant au bas des marches luisantes d’humidité de l’escalier de pierre. Une découveBR FV 46 03rte pour la soubrette qui n’a jamais mis les pieds dans les profondeurs du château. Elle n’imaginait pas que sa maîtresse finirait par mettre sa menace à exécution. C’était bien mal la connaître. Devant elle, le maître d’hôtel cogne contre une épaisse porte en chêne parsemée de gros clous à tête carrée et bardée de ferrures métalliques. Le judas pivote sur ses gonds. Un visage patibulaire s’encadre derrière le guichet grillagé. Un silence interminable s’installe. Et dans un grincement lugubre, BR FV 46 04la porte finit par s’entrouvrir.

- Tiens, je t’amène de la visite !

Le ton de voix de George, enjoué, plutôt moqueur, est accompagné d’un gros rire sonore qui rebondit contre les murs comme un grondement de tonnerre. Béatrice, effrayée, tente de tourner les talons. Il est malheureusement trop tard. Elle vient de reconnaître Harry, le docteur, l’essayeur attitré des jeunes vierges recrutées par Madame, le grand inquisiteur, le Prince des ténèbres. Comment pourrait-elle l’oublier ? Harry est l’homme qui l’a soumise à une visite médicale approfondie quelques temps après son arrivée au château. Et qui continue, beauBR FV 46 05coup trop fréquemment à son gré, à lui faire subir toutes sortes d’examens. Comme d’humiliantes et interminables séances de lavement, chaque fois que Madame s’apprête à recevoir des invités, afin qu’elle soit toujours propre et disponible. Une brassée de souvenirs horribles remonte brusquement à sa mémoire. Comme si elle était subitement confrontée à nouveau aux visions de cauchemar qui avaient agité son sommeil pendant de nombreuses nuits. BR FV 46 06 

- Ça par exemple, comme on se retrouve… quelle agréable surprise !

Harry se saisit fermement de la laisse que lui tend le majordome et tire la soubrette à l’intérieur. L’épaisse porte se referme. Quelques marches encore. La peau de Béatrice se hérisse sous l’effet du froid et de la peur. La cave occupe une immense salle voûtée soutenue par de larges colonnes. Baignée dans une pénombre menaçante, elle est éclairée ici et là par quelques torchères dont les larges clartés jaunes dansent au plafond et sur les murs. Tout au fond, un feu clair flambe dans la cheminée. Rompant un silence sépulcral, les pétillements du bois jettent de petits bruits secs.  

Alentour, sont disposées toutes soBR FV 46 07rtes d’instruments de torture et de contention. Béatrice écarquille les yeux devant les cages, les bancs, les poulies, les croix, les roues, les chevalets, les chandeliers, les anneaux scellés aux murs, les cordes rouges et blanches, les appareils à lavement, qui attendent leurs victimes, et auxquels vient s'ajouter une collection impressionnante de fouets, de cravaches, de martinets, de battoirs, de lanières de cuir de toutes les tailles, de godemichés monstrueux, de menottes, de pincesBR FV 46 08, de poids, de cagoules, de masques, de bâillons… Son regard s'attarde longuement sur une chaise à gode rectal dressée au milieu de la pièce.

Victime d’un accès subit de vertige, elle vacille sur ses jambes mais Harry feint de ne pas s’en apercevoir et la pousse sans ménagement contre la colonne la plus proche.

- Bienvenue ma belle, le bon docteur s’impatientait de te revoir !

Il la libère de sa laisse et lui ramène les poignets par-devant afin de les attacher par des crochets à l’anneau de son collier.

- Magnifique ! Les mains jointes comme en prière ! On te prendrait pour une novice tout juste arrivée dans son couvent !

Cette voix, elle avait fini par l’oublier, mais en l’écoutant à nouveau, il lui revient tout à coup à la mémoire la première apparition du colosse dans le petit salon de Madame, avec ses larges épaules, son torse luisant, son cou de taureau aux veines saillantes, ses biceps proéminents, ses cuisses d’haltérophile. Harry s’approche d’elle et la fixe avec concupiscence de ses BR FV 46 09petits yeux noirs. Le rouge aux joues, Béatrice essaie de le repousser. Peine perdue, le « bon docteur » la soulève et la suspend par l’anneau fixé à l’arrière de son collier à un crochet planté en contre-haut dans la colonne, l’obligeant à se tenir sur la pointe des pieds.

- Mademoiselle devine sans doute pourquoi elle a été conduite jusqu’ici ?  

La question est ponctuée d’un sourireBR FV 46 10 goguenard. Béatrice sent l’haleine d’Harry se répandre sur son visage. Le bon docteur presse ses seins entre ses mains épaisses. Il les palpe avec gourmandise comme un connaisseur soupesant avec attention des melons sur l’étal d’un marché. Les tétons comprimés roulent entre ses doigts. Décontenancée, Béatrice émet des gémissements en se dandinant d’un pied sur l’autre.  

- Allons donc, tu ne vas tout de même pas me faire croire que tu n’en as pas la moindre idée ?

Tandis que les doigts d’Harry continuent de malmener ses extrémités, ceux de l’autre main glissent lentement sur sa peau vers le bas, hésitent un instant à se faufiler sous l’élastique de sa petite culotte, et finissent par s’immobiliser sur les rondeurs de son mont de Vénus. Le contact, d’une tBR FV 46 11iédeur délicieuse, laisse deviner des lèvres charnues et bien formées que des pressions répétées de haut en bas à travers le fin tissu finissent par entrouvrir légèrement. Béatrice se débat dans tous les sens, enflammée par ces attouchements insupportables.

- Faut-il que je t’aide à retrouver la mémoire ?

Harry se retourne et s’empare de deuxBR FV 46 12 pinces à seins posées sur une console. Elles sont équipées d’une fine chaînette dont l’extrémité est lestée d’une boule de plomb. Quand il les referme sur les tétons de la soubrette, celle-ci se met à pousser un cri déchirant. Désormais le moindre de ses mouvements se répercutera sur ces deux poids et ne pourra que la faire souffrir davantage. A travers le tissu, les doigts d’Harry poursuivent leur chemin et se montrent maintenant plus insistants. Si Béatrice avait la force de se maîtriser, elle ferait tout pour dissimuler son trouble mais elle discerne au contraire une sorte de moiteur la gagner et lui échapper complètement. Arborant un large sourire, le bon docteur le remarque aussi, ce qui semble loin de lui déplaire.  

- Mais oui, tu es émue, c’BR FV 46 13est bien naturel…

Cette suffisance provoque plutôt son indignation et un sentiment de révolte. Elle ne lui parlera pas si elle n’en a pas envie. Et surtout pas pour lui offrir la satisfaction de lui céder. Plus qu’un souci d’orgueil une question de dignité.

Qu’à cela ne tienne, Harry n’est pas pressé. Une simple affaire de temps. Et de patienceBR FV 46 14. L’issue est jouée d’avance. Il va se contenter de laisser sa proie méditer sur son triste sort. Elle ne devrait pas tarder à coopérer. En attendant, lui tournant le dos, il se réchauffe, les paumes tendues vers le foyer. La posture de Béatrice est moins enviable. L’image en pied renvoyée par le miroir qui lui fait face n’est guère à son avantage. Les joues rubicondes, le cou entravé par son collier, le front parcouru de perles de transpiration. Sous ses mains jointes en hauteur, ses seins sont maintenant gonflés comme des ballons de baudruche. Les poids qui étirent leurs pointes lui causent à la longue une douleur insupportable. Et puis plus bas encore, telle une marque avilissante en haut des cuisses, la présence de cette auréole humide qui assombrit la blancheur de son vêtement.   BR FV 46 15 

Abandonnant presque à regret la douce chaleur de l’âtre qui l’enveloppe, Harry revient vers elle.

- Alors Mademoiselle, on a réfléchi ?

Béatrice ferme les yeux. Céder peut-être, s’il n’y a pas d’autre issue, mais pas tout de suite. Il lui faut résister le plus longtemps possible. PBR FV 46 16our ne pas offrir sur un plateau à ce lutteur de foire prétentieux l’offrande de sa défaite. La jouissance de sa capitulation. A travers ses paupières closes, elle devine le visage de son bourreau se rapprocher tout contre le sien. Harry s’est emparé de pinces lestées de poids plus lourds. Les seins de la soubrette pendent maintenant douloureusement vers le sol. Elle grimace de douleur.  

- Non, toujours pas ? BR FV 46 17Libre à toi, je te laisse encore réfléchir.

En signe de provocation, Harry rapproche son fauteuil et s’installe juste en face d’elle. Un sourire narquois flotte sur son visage. Le     spectacle qui s’offre à lui a l’air de le ravir. Ses mains se posent sur la protubérance qui gonfle maintenant son pantalon. Ce tête à tête est sans doute déséquilibré, mais, pour lui, tellement agréable. Les voilà seuls au fond d’une cave aux murs épais. Personne ne pourra les déranger ni même les entendre. Et pourquoi devrait-il éprouver de la gêne ou de la honte ? Il ne fait qu’obéir aux instructions de Lady Alexandra.

L’attente se prolonge. Béatrice demeure silencieuse. Comme coupée du monde par une douleur muette. Le docteur se relèvBR FV 46 18e.

- Attends, je vais t’aider à réfléchir.

Joignant le geste à la parole, il attrape la petite culotte de Béatrice par l’élastique de sa taille et la fait glisser sur ses chevilles, découvrant au passage un sexe adorable, délicieusement bombé, épilé avec soin,BR FV 46 19 impudique.

- Oooooooooooh non, Monsieur, s’il vous plaît !!!!!!

Sourd à ses supplications, Harry décroche du mur une grande barre en métal chromé, dotée d’encoches à chaque extrémité, dans lesquelles il insère les chevilles de la soubrette, contraignant cette dernière à écarter les jambes et les cuisses au maximum.

- Et comme cela, Mademoiselle, vous montrerez-vous plus disposée à parler ?

La grosse main calleuse se referme sur son sexe moite qui s’entrouvre comme un fruit mûr. Un doigt parcourt la fente humide et nacrée avant de s’y introduire. Un deuxième prend le même chemin tandis que le pouce se met à titiller patiemment le petit bourgeon qu’il extrait de son capuchon. Puis les doigts ressortent pour se refermer sur ce fragile pistil qui s’est mis à gonfler.

- Aaaaaaah, Madame, au secours !!!!!!

 

 

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Jeudi 6 décembre 4 06 /12 /Déc 06:00

01 47 R60 819 1000- Ha, ha, ha ! Voilà qui est amusant ! Comme si Madame pouvait t’entendre ! Tu crois peut-être qu’elle va se précipiter pour venir te délivrer ! Se soucie-t-elle seulement une seconde de savoir où tu es ? Je te rappelle que c’est elle qui t’a envoyée ici. Alors crie, crie autant qu’il te plaira, si cela peut te faire du bien !

Pressant le clitoris de la soubrette pour le faire saillir, Harry y suspend une pince lestée d’une boule semblable à celles qui pendent déjà au bout de ses tétons. Cette charge supplémentaire appliquée à une partie du corps aussi fragile et sensible devient soudainement insupportable.

- Aowwwww !!! Non… Pas ça ! Noooooooooooooooooon !!! Arrêtez, Monsieur, par pitié, laissez-moi, je vais tout vous dire.

Les yeux exorbités, le visage constellé de perles de sueur qui roulent sur ses joues écarlates, Béatrice désigne du regard, plus bas, sous ses seins prêts à éclater, la pince resserrée sur son clitoris à vif. Malgré ses bonnes résolutions, sa capacité de ré02 47 R60 005sistance s’est vite émoussée. Harry l’observe avec ironie s’agiter d’un pied sur l’autre, comme prise d’une sorte de frénésie de vouloir se libérer, alors que les mains jointes en prière à l’anneau de son collier de chien, elle est toujours suspendue à sa colonne de pierre.

- A la bonne heure, Mademoiselle a l’air de vouloir se montrer plus raisonnable. Le bon docteur t’écoute, mon enf03 47 R60 698 1000ant !

- Non, pas comme ça, Monsieur, par pitié, j’ai trop mal, je vous en prie, retirez d’abord cette pince, s’il vous plaît !

- Certainement pas, pas avant que tu ne m’aies tout dit ! Donnant, donnant. Je veux d’abord une confession complète ! Complète, tu m’as entendu ? Plus vite tu commenceras et plus vite tu seras libérée !

Des larmes dans les yeux et la voix brisée, comprenant que sa cause ne sera pas entendue et qu’il est donc dans son intérêt d’écourter le plus rapidement possible son calvaire, Béatrice relève la tête, prend une large respiration et se résout à parler.

- Madame m’a punie pour ma mauvaise conduite.04 47 R60 584 10040

- J’entends bien… mais de quoi t’accuse-t-elle précisément ?

- Elle me reproche de ne penser qu’à prendre mon plaisir alors que je devrais uniquement me soucier de le donner aux autres.

- Tu veux dire qu’au lieu de ne rien laisser paraître pendant que tu es fouettée ou offerte aux invités X100 1000Rde Madame, tu ne peux pas te retenir de manifester ta satisfaction ?

- Oui.

- Eh bien, Madame a tout à fait raison. Voilà une très mauvaise habitude. Nous allons te la faire passer sur-le-champ. Le bon docteur connaît quelques excellentes recettes pour ça ! Mais il faut d’abord que je vérifie quelque chose.

D’un mouvement du poignet, Harry enfonce deux doigts entre les lèvres gonflées. Ils disparaissent en entier à l’intérieur du sexe de la soubrette qui, au lieu de chercher à échapper à la pénétration, arque inconsciemment son bassin en avant pour la fa06 47 R60 6 2ciliter.

- C’est bien ce que je pensais, Madame ne s’est pas trompée, une petite chienne, elles sont bien toutes les mêmes !

Comme pour confirmer son propos, les doigts d’Harry coulissent dans l’orifice avec beaucoup d’aisance. Ils vont et viennent à un rythme de plus en plus rapide. Les phalanges dispar07 47 R60 7 3aissent, ressortent, s’enfoncent à nouveau comme happées par cette bouche insatiable. Les cris de surprise de la soubrette se muent en gémissements de plus en plus bruyants.  

- Vous me faites mal !

Mais sa protestation molle ne convainc pas le docteur, qui continue de la pistonner avec énergie. Lorsque les cuisses de la jeune fille se resserrent autour de son poignet, Harry enfouit ses doigts une dernière fois au plus profond de son sexe et les y laisse jusqu’à ce que la soubrette jouisse, le corps secoué de spasmes incoercibles. Les derniers soubresauts passés, il finit par retirer ses doigts luisants et mouillés et les porte aux narines de Béatrice qui, consciente d’avoir été trahie par son propre corps, essaie d08 47 R60 sexand(10)e détourner la tête.

- Plus jamais ça, tu m’entends ? Je vais t’apprendre à te contrôler, tu vas voir ! A partir de maintenant tu ne prendras ton plaisir que lorsque ta maîtresse t’en donnera expressément l’autorisation ! C’est bien compris ?

- Oui, Monsieur.

- Et non seulement lorsque tu seras en sa présence mais également en présence de ses invités.

- Bien, Monsi09 47 R60 165 1000eur.

- Naturellement, à partir d’aujourd’hui, je t’interdis tout geste déplacé lorsque tu seras seule et livrée à toi-même. Tu vois ce que je veux dire ?  

- Oui, Monsieur.

- Est-ce qu’il t’arrive de te caresser, Béatrice ?

Harry se retourne vers la console placée derrière lui et se saisit d’une pince qu’il agite à la hauteur de son visage, l’ouvrant et la refermant à plusieurs reprises pour lui en faire écouter le claquement métallique.

- Jamais aucune pensée impure en cours de journée ?  

- ………….

- Oh je sais, c’est difficile à avouer mais réfléchis un peu… j’ai tout mon temps.

Harry se penche vers la jeune fille et après avoir écarté ses petites lèvres moites de ses deux doigts en « V », referme l10 47 R60 H 418 1000a pince sur la lèvre de gauche.

- Aaaaaaaaaahhhhhhhh ! (Béatrice étouffe un cri tandis que de grosses larmes roulent sur ses joues).

- Rien ? Pas de mauvaises habitudes ? Par exemple le matin, lorsque tu fais ta toilette ?  

- Aaaaaahhhh ! Ou… Ou… Oui…..

- J’en étais sûr ! Et quand encore ?

- …………. 11 47 R60 026 

Le docteur s’empare d’une autre pince et la referme, cette fois, sur la lèvre de droite.

- Le soir, quand ton service est fini ? Que tu peux te détendre ? Que tu es allongée sur ton lit, que tu penses à des choses agréables et que tu t’apprêtes à t’endormir ?

- Aaaaaaaaaahhhhhhhh ! Ou… Oui…..………….

Il contemple avec cynisme la soubrette devenue rouge comme un coq, en train de trépigner de douleur.

- Rien d’autre ? (Ses doigts s’attardent sur la pince qui lui mord le clitoris).

- Aaaaaaaaaahhhhhhhh ! Arrêtez, par pitié ! !12 47 R60 360 1000 ! Ma… Madame…

- Continue, ma belle enfant, libère-toi de tes mauvaises pensées. Le docteur t’écoute ! Tu vas voir comme tu seras soulagée lorsque tu m’auras tout avoué.

- Eh bien, Madame me reproche aussi de faire la fine bouche et 13 47 R60 015 2(2)d’accorder mes faveurs à certains de ses invités plutôt qu’à d’autres…  

- Tiens donc, voilà qui est intéressant ! Et avec qui te montres-tu la plus accueillante ?

- Avec les invités qui ont de la classe, ceux qui sont bien habillés, qui ont de bonnes manières, qui s’expriment avec distinction, qui sentent bon, qui ont les mains douces et caressantes…

- Et les autres ?

- Les autres, je fais tout pour les éviter. Ce sont des gros rustauds sanguins, fagotés comme l’as de pique, avec des poils partout, la peau rêche et calleuse, l’haleine avinée, qui vous empoignent, qui vous troussent et qui vous culbutent comme une fille d’auberge en débitant des plaisanteries salaces et en gloussant d’un gros rire gras.

- En résumé, Mademoiselle n’est qu’une petite vicieuse obsédée par son unique plaisir qu’elle prend quand elle en a env14 47 R60 357 1000ie, seule ou en compagnie de personnes agréables. Elle oublie qu’elle est une simple domestique. Une bonne à tout faire. Qu’elle est ici pour obéir aux ordres. Pour servir et non pas pour s’octroyer du bon temps.

- Oh Monsieur, j’ai honte, vous savez… mais à partir de maintenant, je vous le promets, je vais tout faire pour ne pas recommencer.

- Mais bien sûr ! Comme c’est bizarre ! Béatrice la magicienne promet tout à coup monts et merveilles ! Elle croit sans doute que je peux me contenter de ses belles paroles. Que ses larmes de crocodile vont finir par m’attendrir. Ce serait bien mal me connaître ! Ha, ha, ha !

 

 

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Dimanche 6 janvier 7 06 /01 /Jan 06:00

BR FV 48 00Attachée à sa colonne, au plus profond des caves de Glendale, Béatrice croit entrevoir sa délivrance imminente quand Harry s’approche d’elle pour la libérer de ses liens. D’abord la barre d’écartement qui lui tient les chevilles et les cuisses douloureusement tendues. Puis la fine chaînette qui relie ses poignets à son collier de chien. Enfin, et volontairement en dernier, les pinces qui meurtrissent la pointe de ses seins et le bord de ses lèvres intimes. Le bon docteur procède avec une lenteur calculée, sachant pertinemment qu’à l’instant précis où il desserrera son étreinte, la circulation sanguine reprendra aussitôt, ravivant la douleur avec une intensité redoublée, comme si une multitude de têtes d’épingle s’apprêtaient à darder sa peau de piqûres insupportables.

- Non, non, Mademoiselle, ne vous réjouissez pas trop vite ! Ça n’est pas fini, ça ne fait au contraire que commencer !BR FV 48 01

Visiblement, Harry, le Prince des ténèbres, semble trouver très divertissant son tête-à-tête avec la soubrette et ne donne pas l’impression de vouloir abandonner la partie de sitôt. Trop content de pouvoir mettre en œuvre ses talents de grand inquisiteur. Voilà une activité qui semble loin de lui déplaire et à laquelle il se livre sans état d’âme, en se donnaBR FV 48 02nt la bonne conscience d’agir dans le strict respect des ordres de la maîtresse des lieux, Lady Alexandra.

- Mets-toi à quatre pattes. Oui, comme la petite chienne que tu es, et cambre-toi davantage, comme si tu m’offrais tes fesses.

Tandis que Béatrice obéit et patiente en silence, le bon docteur décroche du mur une sorte de long manche en bois dont l’extrémité, articulée par une rotule, est prolongée par un énorme godemiché. En moins de temps qu’il en faut pour le dire, Harry introduit ce dernier entre les reins de la soubrette, puis se saisissant de l’instrument, l’enfonce en elle jusqu’à la garde.

- Maintenant, avance jusqu’au lieu de ta punition !

Béatrice n’a guère le choix de résister. Au bout du BR FV 48 03manche coudé, l’engin pénètre en elle comme s’il allait la traverser. Le mieux qu’elle puisse faire est de s’exécuter au plus vite pour tenter d’atténuer cette poussée insoutenable. Mais sa progression est douloureuse. La position à quatre pattes s’avère pénible. D’autant plus qu’en dépit du rythme élevé qu’elle s’impose, la pression entre ses reins ne se relâche pas. Elle a mêmeBR FV 48 04 tendance à s’accentuer au fur et à mesure que, la fatigue pesant, son déplacement se fait plus lent. Et puis au contact des dalles de pierre rêches et froides qui les écorchent, ses genoux se raidissent et s’enflamment.

- Dépêche-toi !

La soubrette se demande quand son calvaire prendra fin. Elle traverse une salle puis une autre. Puis une autre encore. Au moindre arrêt, à la moindre pause pour reprendre son souffle, la tige qui l’empale se fait plus insistante et la pousse en avant pour la contraindre à repartir. Encore une vingtaine de mètres, interminables, et la voilà qui arrive au but, près d’une cheminée gigantesque devant laquelle se dresse un fauteuil imposant à haut dossier. On dirait un trône sorti tout droit d’un contBR FV 48 05e des mille et une nuits, sorte de fantasmagorie allégorique ouvragée de nymphes dénudées aux larges hanches, aux cuisses pleines et aux seins turgescents. Au bout de chaque accoudoir, sculpté en forme de bourses, un phallus en palissandre est érigé vers le plafond comme un trophée.

Harry s’y installe avec componction et écarte largement les jambes, découvrant un slip rouge en vinyle très échancrBR FV 48 06é dont la braguette zippée en strass est équipée d’un anneau métallique. Béatrice est à genoux devant lui.

- Voyons un peu si tu as progressé !

La soubrette n’a pas besoin d’explication. Elle se souvient parfaitement des mensurations exceptionnelles de l’essayeur et de la première " visite " que ce dernier lui a fait subir, peu de temps après son arrivée au château. Avec une adresse consommée, ses petites dents nacrées se resserrent sur l’anneau du slip et le font glisser vers le bas, libérant un pénis énorme, long et épais. Tant qu’il s’agit de débuter par les préliminaires, de retrousser délicatement la peau qui recouvre le gland, de lécher la prune luisante et de la titiller avec la pointe de sa langue, elle connaît sa leçon les yeux fermés mais Harry manifeste rapidement son impatience et l’interrompt.

- Abrège tes minauderies, tu vas finir par m’exaspérer !

Elle comprend qu’il faut accélérer la caBR FV 48 07dence et enfourner franchement le braquemart pointé vers elle. Mais introduire au plus profond de sa gorge cet énorme barreau de chair, aux veines saillantes, déclenche chez elle un réflexe de haut le cœur, une sensation de nausée.

- C’est bien ce que je craignais, Mademoiselle fait la fine bouche, la délicate ! Elle ménage sa peine ! Je vais lui apprendre, moi, à jouer la difficile !

En un éclair, BR FV 48 08Harry détache du mur l’accessoire qui va lui permettre de remédier à la situation. Un bâillon en forme d’anneau qu’il insère entre les dents de la soubrette en forçant celle-ci à écarter les mâchoires au maximum et à ouvrir la bouche démesurément. Il est relié à un harnais formé de lanières de cuir qui lui enserrent étroitement le visage de part et d’autre des ailes du nez, sous le menton et derrière la nuque, la contraignant à maintenir la tête relevée dans une position douloureuse comme si elle allait subir les soins d’un chirurgien dentiste. Les muscles de son visage sont étirés à l’extrême et ses joues tendues.

Visiblement ravi, Harry s’empresse de plonger son sexe à l’intérieur de l’orifice et de le faire aller et venir au pluBR FV 48 09s profond, jusqu’à écraser le nez de Béatrice contre son bas-ventre en l’empêchant de respirer.

- Qu’est-ce que je disais ! Ça glisse comme dans du beurre ! On pourrait même en faire entrer deux comme la mienne !

La soubrette essaie de se dégager en grimaçant.

- Parfaitement, tu m’as très bien entendu, un garage à bites, voilà ce que ta bouche va devenir !

Enchanté de ceBR FV 48 10tte fine plaisanterie et emporté par le plaisir, le bon docteur ne tarde pas à décharger par saccades de chaudes giclées au fond de la gorge de Béatrice.

- Ce n’est qu’une mise en appétit ! Qu’est-ce que ce sera quand tu auras affaire à un gros lourdaud en rut, poilu comme un singe, l’haleine chargée de relents de bière et de saucisson à l’ail, et qui fera jaillir de ses vêtements douteux une queue bien grasse et bien baveuse, imprégnée d’odeurs d’urine et de sperme !

- Nooonnn… Urggghh… Gluuub… Humpfff…

- Et je ne te parle pas de Max ! Comment ? Tu n’oserais tout de même pas me faire croire que tu n’as jamais rencontré Max, surnommé « Grosse Pine », le comble du bon goût, le summum de la distinction, le raffinement fait homme ! Tiens, je l’entends déjà te héler au passage : « Viens là, ma poulette, tonBR FV 48 11ton Max va te faire goûter à son boudin créole ! »

- Aaaaaaa… Aaaaaaarrrrr… Aaaaaarrrrrrghhhhh…

- Tu vas me garder cet appareil entre les dents jusqu’à demain matin, cela te fera le plus grand bien ! Je passerai de temps en temps pour vérifier la jauge et pour remettre à niveau le réservoir !!!!!!!!!!!!!

- Humpfff…

- En attendant, suis-moi, je t’ai préparé un petit nid douillet pBR FV 48 12our passer la nuit.

En fait de nid douillet, Harry conduit Béatrice devant un pilori, monumental et terrifiant comme un gibet du moyen-âge dressé sur ses poteaux de bois massif.

Après avoir forcé la soubrette à se courber derrière l’appareil, les jambes écartées, il lui introduit les chevilles dans les découpes circulaires d’une barre en bois posée au sol et fait ensuite descendre sur ses glissières la lourde demi-planche de bois destinée à emprisonner le cou et les poignets des suppliciées. Il en règle la hauteur avec le plus grand soin. Ni trop élevée ni trop basse, pour qu’elle ait, par-devant, la bouche juste au niveauBR FV 48 13 des pénis qui se présenteront, et qu’elle soit obligée, par-derrière, de cambrer les reins dans une position humiliante.

Au contact de ce carcan rugueux qui vient se refermer sur sa nuque, Béatrice est prise de désespoir.

- Voilà qui est mieux ! Grâce à ce traitement, tu auras tout le loisir de méditer les recommandations de Madame. Nous l’appliquerons aussi longtemps qu’il sera nécessaire. Ah oui, j’allais oublier, il faut que tu sois aussi accueillante par-derrière que par-devant !

BR FV 48 14Contournant le pilori, Harry écarte les fesses de la soubrette sans ménagement, dégage son petit œillet plissé et y introduit une puis deux phalanges.

- Aaaaaaa… Aaaaaaarrrrr…

- C’est bien ce que je craignais, Lady Alexandra avait raison, encore beaucoup trop étroit ! Ma pauvre fille, ce n’est pas un anus que tu as, c’est un taille-crayon ! Tu ne veux tout de même pas la décevoir, n’est-ce pas ? Ni indisposer ses invités ? Heureusement que le docteur est là pour penser à tout !

Harry se penche au-dessus d’une malle remplie d’un bric-à-brac indescriptible d’accessoires en tous genres et en extirpe un plug qu’il insère en un tournemain au creux des reins de Béatrice. Le diamètre de l’engin, déjà de bonne taille, présente la particularité d’être réglable à volonté au moyen d’une mollette qu’il suffit de remonter comme le ressort d’un réveil.

- Après toute une nuit avec ça, je peux te garantir que tu te sentiras beaucoup mieux !

- Aaaaaaa… Arrgghh…

 

 

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Mercredi 6 février 3 06 /02 /Fév 06:00
02 11Les deux vidéos présentées ci-dessous sont des documents inédits. Jamais diffusées jusqu’à présent, elles refont en quelque sorte surface, près de 10 ans après leur tournage dans les studios de Christophe Mourthé, rue Marcadet, à Paris (novembre 2003).
 
Les revoir à nouveau aujourd’hui m’émeut comme au premier jour. Elles apportent, en effet, un témoignage irremplaçable - que ne peuvent rendre ni les textes ni les photos - en restituant, comme si c’était hier, quelques précieuses minutes de jeu et de vie. 03 02 
 
Une occasion unique de découvrir ou de redécouvrir Alexandra en action. D’admirer sa beauté et son élégance. D’observer l’aisance naturelle dont elle fait preuve. De noter son sens de l’improvisation et de l’humour. D’apprécier son souci du détail et du travail bien fait. Et surtout, surtout, de réentendre le son de sa voix. Comme si elle était toujours là, parmi nous…
Cliquez sur : Le corset rouge    
Cliquez sur : Le corset noir
 
Par Béatrice - Publié dans : Maîtresse Alexandra
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  • : Béatrice ou l'éducation d'une jeune soubrette
  • : Quelques épisodes marquants de la vie de Béatrice, jeune soubrette débutante, au service de Lady Alexandra, son implacable maîtresse.
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  • : 05/02/2009

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