Bien chère amie,
Excusez-moi pour cette interruption inopinée. Une urgence ! Il fallait s’y attendre ! Avec Béatrice, je pourrais compter sur les doigts
d’une main les jours où elle ne fait pas de bêtises ! A la longue, je me demande si je ne vais pas finir par me faire mal au poignet !
Je pose donc mon martinet - les lanières commencent à être usées, il faudrait que je pense à en changer - pour reprendre ma lettre à
l’endroit où je l’avais laissée, c’est-à-dire aux préliminaires. Plus précisément à la question de la tenue adéquate pour recevoir la fessée. Je suis persuadée qu’obliger la coupable à retirer elle-même ses vêtements est
extrêmement salutaire. Pour autant, n’allez pas jusqu’à lui ordonner de tout enlever et dites-lui de rester en petite culotte. Elle se croira ainsi momentanément protégée. Personnellement,
j’adore prendre le temps de contempler à loisir les petites fesses de ma soubrette lorsqu’elles sont encore moulées dans le vêtement lumineux qui délimite très exactement les contours de ma
future cible.
La sentence une fois énoncée, la victime se mettra en place. A vous de lui indiquer précisément la position qu'elle doit adopter :
couchée en travers de vos genoux ou courbée sur le dossier d'un fauteuil, par exemple. Pensez aussi à votre bien-être car la punition doit pouvoir être administrée sans fatigue ni gêne.
Il est primordial que vous vous sentiez à l’aise.
La position classique et préférée de nombreux pratiquants est celle où la fesseuse ou le fesseur allonge sa victime sur ses genoux.
Pourquoi ? Parce que le fessier se trouve à distance optimale de la main et que les réactions de la victime sont immédiatement perçues par celle ou celui qui officie. Un fesseur pourra également
éprouver une certaine excitation physique en sentant sa victime reposer sur le haut de ses cuisses.
Sauf circonstance exceptionnelle, la victime ne devra pas être attachée. Toute entrave irait, en effet, à l’encontre du postulat de
départ, à savoir que la correction est acceptée sans réserve dès lors qu’elle est la contrepartie logique d’une faute reconnue. Naturellement, il peut arriver qu’un sujet se montre plus ou moins agité. Si vraiment il n'y a pas
moyen de le tenir tranquille, il faudra se résoudre à l’immobiliser et penser à lui infliger, tout à fait à la fin, le surcroît de claques qu'il mérite pour la peine.
Habituellement, je commence par une fessée classique à mains nues, « over the knee », pour reprendre l’expression que nous utilisons
ici, en Angleterre. Béatrice vient s’allonger en travers de mes genoux. Je veille à ce que le poids de son corps soit déséquilibré en avant, ses mains touchant le plancher
et ses jambes en l’air, de façon à faire ressortir ses reins et à l’empêcher de se redresser. Elle doit être bien calée, son bras gauche serré contre mon abdomen, son bras droit
fermement maintenu dans le dos.
A ce stade, cependant, tous les spécialistes vous le confirmeront, il est indispensable de se ménager encore un peu de temps avant
d'opérer. Le rapport de forces n'est désormais plus le même. Immobilisée, la victime se trouve livrée corps et âme à sa maîtresse. Ce qui va suivre est à sa totale discrétion.
Quelques recommandations ne seront pas inutiles : toute tentative pour se protéger les fesses avec les mains, tout essai pour se
dérober, tout trémoussement intempestif, tout changement de position, ne pourront qu'aggraver la punition initiale.
Ces précisions apportées, la correction sera toujours appliquée jusqu'au bout, sans égard pour la moindre plainte ou
supplication. A l’usage, vous constaterez qu’il est assez facile de déterminer à quel moment les limites du supportable auront été atteintes : les cris et les geignements changent
de nature, l’attitude se fait plus humble, les supplications s’imprègnent d’un accent de sincérité qui ne trompe pas. Ne vous laissez donc pas abuser par des larmes de crocodile trop vite
versées. Certaines savent les faire couler avec abondance. Restez au contraire inflexible. Avec moi, Béatrice est corrigée aussi longtemps qu’il est nécessaire, jusqu’à ce qu’elle abandonne toute
résistance. Je ne vous cacherai pas le plaisir intense que j’éprouve lorsque je la sens enfin matée, lorsque l’éclair de révolte qui illuminait jusque-là ses yeux a disparu pour faire place au
désarroi d’un regard rempli de larmes, soumis et adorant. De mon point de vue, la preuve d’une fessée réussie se mesure à l’aune des pleurs qu’elle provoque. A la longue, vous verrez, je suis
persuadée que votre petit Vincent finira par vous remercier pour votre fermeté.
Au commencement, il est conseillé de procéder doucement. Les claques initiales ont pour but de chauffer les fesses (mais aussi la main)
en faisant affluer le sang à la surface de la peau et de favoriser ainsi la sensibilité et l'excitation. Tous les fesseurs expérimentés préconisent de frapper avec le plat de la main. La
vibration produite irradie les nerfs de la fesse et se répercute immanquablement au niveau du sexe. Le coup doit être donné assez lentement pour que la brûlure produite ait le temps de se
diffuser en totalité avant que le suivant
ne tombe. Ne vous précipitez donc pas.
D'une manière strictement physiologique, vous constaterez rapidement que la fessée déclenche l'excitation sexuelle. Car c’est pour une
large part le mental de la soumise qui érotise ou non la punition. D'où la nécessité de varier constamment le rythme et la force de la correction.
L’effet de surprise est également le bienvenu. N’hésitez pas à souffler le chaud et le froid. Vous pourrez, par exemple, faire croire
que la claque suivante sera beaucoup plus forte que la précédente, alors qu’elle ne sera en réalité à peine plus appuyée. A l'inverse, une claque légère pourra être suivie d'une autre carrément
cinglante. Bien entendu, vous prendrez soin d’alterner vos coups pour que chaque fesse reçoive sa part. L’idéal est d’atteindre progressivement une couleur uniforme. Rien n’est plus charmant que
de belles joues bien rouges !
Un cocktail douleur-volupté bien dosé (un peu de douleur pour beaucoup de plaisir) est le gage d'une séance de fessées réussie. Pour
cela, la fesseuse doit être à l'écoute des sensations de la soumise mais elle doit parallèlement être inspirée par ses propres fantasmes. Il est important qu’un authentique dialogue mental et
érotique puisse s’instaurer entre les deux partenaires.
La manière forte qui consiste à déshabiller le sujet d'un geste brusque, dans un accès de colère mal maîtrisé, par exemple, est, à mon
avis, à proscrire. Mieux vaut y recourir à bon escient, dans les cas les plus graves. A l’inverse, la méthode douce, qui peut être agrémentée d’innombrables variantes, est celle que je recommande. Elle suscitera et
accompagnera au plus près la montée du trouble de la victime.
Un bon déculottage doit être progressif car la progressivité fait partie intégrante du processus d’humiliation. Donc, si
vous lui avez laissé sa jupe, comptez environ dix minutes pour une première série. La victime s'imaginera que vous allez en rester là et qu'elle va s'en sortir à bon compte.
Sans marquer d'arrêt, passez ensuite à la deuxième étape, jupe relevée, directement sur la petite culotte. Là encore, une bonne dizaine
de minutes seront nécessaires. N’épargnez pas les cuisses. D’une part, parce que leur chair étant plus tendre, la sensation de douleur sera plus vive. D’autre
part, parce que les marques des doigts y demeurant imprimées plus longtemps, elles continueront à être exposées à la vue de tous, y compris une fois la correction terminée et la jupe
renfilée, surtout si celle-ci est très courte.
Une petite jupette à porter par tous les temps, hiver comme été, rappellera sa vulnérabilité à celle qui la porte. Vous ne
regretterez pas d'en avoir fait l'acquisition. Pas plus que vous ne considérerez inutile l'achat, pour un garçon, d'un petit short court à ceinture élastique, facile à baisser.
C’est la tenue que je réserve aux collégiens turbulents qui me sont confiés en pension. Il m’arrive parfois aussi de leur faire
porter des petites culottes de filles. Le modèle de base, tout ce qu’il y a de classique, blanc comme il se doit, orné d’un petit noeud par-devant et de picots élastiques brodés au
niveau des cuisses. Féminiser ces grands dadais m’amuse beaucoup. Cela les rend en général furieux. Une partie de la punition est ainsi déjà exécutée avant même d’avoir réellement commencé. Je
choisis à dessein la taille inférieure afin de coller au plus près aux reliefs de leur anatomie. Sans compter que j’adore sentir une certaine résistance sous mes doigts quand je les déculotte. Et
puis, cette tenue moulante ne peut absolument rien cacher des « émotions » qui peuvent s’emparer de certains d’entre eux lorsqu’ils se retrouvent basculés sur mes genoux.
La correction se poursuivra, la petite culotte rentrée dans la raie des fesses, histoire de vous offrir cette petite fantaisie au
passage et de faire sentir l’impudeur d’un tel geste à celle - ou celui - qui se trouve sur vos genoux.
Nous voilà maintenant arrivés à la phase déculottée proprement dite. Je me contente, dans un premier temps, de baisser
la culotte à mi-cuisses, cette position intermédiaire qui accentue, de mon point de vue, le sentiment d’humiliation. Vous
constaterez cependant que la petite culotte en question ne tardera pas à glisser plus bas, sous l’effet des gesticulations. J'adore observer ces quelques grammes de coton
blanc finir leur course autour des chevilles de mes victimes et entraver leurs gesticulations contre leur gré. Dix bonnes minutes seront encore nécessaires, au cours desquelles vous la
contraindrez à tout instant à garder cette humiliante position étendue sur vos genoux, les reins cambrés, les cuisses rougies et brûlantes, suffisamment écartées pour qu'elle vous expose son
intimité sans plus de mystère.
Au total, la correction aura duré une demi-heure. A mon avis, il faut bien cela.
Pourquoi est-il absolument indispensable de donner la fessée déculottée ? Il y a plusieurs raisons à cela. D’abord parce qu’exposer
la nudité développe immanquablement chez celui ou celle qui la reçoit un sentiment de malaise et de honte. Ensuite parce que celle qui la donne doit pouvoir évaluer sans risque de se tromper les
conséquences de ses gestes : le degré de rougeur et de chaleur atteint, les marques laissées sur la peau, les zones encore vierges… Une fessée ne s’administre jamais à l’aveugle ou à la volée.
C’est un exercice qui exige au contraire
beaucoup de méthode et d’attention. La main constitue l’outil par excellence, le thermomètre si l’on peut dire.
Pour accentuer son humiliation, il m’arrive assez souvent de demander à ma soubrette de compter les coups d’une voix haute et
intelligible. Je l’avertis que la moindre erreur de sa part me conduira à reprendre tout depuis le début. L'émotion et la douleur aidant, vous pouvez être à peu près certaine qu’il
finira, à un moment ou à un autre, par se tromper, pour votre plus grand plaisir.
Vous pourrez aussi estimer qu’il ne faut pas en rester là et qu'une prolongation s'impose, par exemple sous la forme d'une fouettée au
au martinet. La punie devra donc se relever et prendre la pose, le buste plaqué à l’horizontale sur le dessus d’une table ou d’un bureau, les reins cambrés et les jambes écartées. Cette position est à mon avis encore plus
humiliante que la précédente. Outre le fait que le martinet évoque inévitablement le retour à l’enfance, il est également complémentaire de la fessée à la main dans la mesure où son
effet est plus cinglant et où il doit être principalement appliqué sur les cuisses. Il permet aussi d’atteindre des zones difficiles. Je pense à l’entrejambe, un endroit sensible,
tant chez les filles que chez les
garçons.
En résumé, une fois atteint le compte que vous vous êtes mentalement fixé, rajoutez tout de même quelques claques supplémentaires afin
que le puni sache à quoi s’en tenir en cas de récidive. Inutile, cependant, de vouloir terminer en « apothéose ». Celles-ci seront de la même intensité que celles qui les ont précédées, sans
violence inutile ou déplacée. Gardez à l’esprit qu’il ne s’agit pas d’un jeu ou d’un défoulement de votre part mais d’une correction inévitable, administrée parce qu’il le fallait bien.
La fessée terminée, la punie sera mise au coin comme une écolière, les fesses rougies exposées à la vue de la personne qui l’a corrigée
et des éventuels spectateurs. Les mains sur la tête, elle restera là en exposition autant de temps qu’il le faudra afin de méditer sur les conséquences de ses actes. Personnellement, je glisse
une règle carrée en buis sous les genoux de Béatrice. Ce supplice supplémentaire, particulièrement douloureux, vient ainsi s’ajouter à celui de la fessée proprement dite. Mais il m’arrive aussi de la jucher
à genoux sur un tabouret afin de l’obliger à garder l’équilibre et à se tenir droite. Naturellement, vous resterez à proximité pour la surveiller du coin de l’œil et vous la menacerez d’une
nouvelle correction si vous la surprenez en train de se frotter les fesses avec les mains pour tenter d’apaiser le feu qui les consume.
Dans la mesure où vous l’estimez nécessaire - cela peut être le cas lorsque la fessée a été administrée en public -, un écriteau attaché autour de son cou - du genre « je
suis insolente » ou encore « je me masturbe » - viendra rappeler à tout un chacun le motif de la punition. Ce genre d’exhibition, l’expérience me l’a montré, attire toujours un certain nombre de
curieux - de voyeurs, disons-le - et il serait regrettable, à mon avis, de ne pas les faire profiter du spectacle. N’oubliez pas que, jusqu’à son terme, la fessée doit rester humiliante.
Puis, lorsque vous jugerez que sa pénitence aura assez duré, vous l’inviterez à se remettre debout et à renfiler sa culotte. A ce
stade, il ne sera peut-être pas inutile de la sermonner une nouvelle fois en lui expliquant que tout acte d’indiscipline ou d'insolence de sa part sera automatiquement sanctionné
comme il se doit. Bonté et patience ne riment pas avec faiblesse. Il y a des limites à ne pas dépasser. Puisqu’elle ne comprend que la manière forte, celle-ci sera employée autant de fois qu’il
le faudra.
Des photos ? Pourquoi pas ? Mais de préférence juste après la séance de correction. Car une fois commencée, la fessée ne doit pas être
interrompue, à moins qu’il n’y ait un spectateur (ou une spectatrice) qui se propose de faire le nécessaire en cours de route. Ces photos enrichiront un album en vue de rafraîchir la mémoire
de la punie. La vue d’une série de fessiers rouge vif striés de belles raies parallèles lui rappellera à tout instant ce qu’elle encourt en cas de récidive.
Parallèlement, pour ne rien oublier des fautes commises, je vous recommande l'usage d’un petit carnet où seront
consignés avec soin les dates, les lieux, la durée et les motifs de la punition, ainsi que l’instrument utilisé. On ne pense pas toujours à tout ! Il vous faut
une comptabilité claire et précise. La lecture du carnet vous permettra de faire le point à intervalles réguliers - la situation s’est-elle améliorée ou aggravée ? - et de fixer la
marche à suivre pour l’avenir - les corrections doivent-elles être plus sévères et plus fréquentes ? -.
Une fois la punition terminée et le carnet mis à jour, on n'en parle plus. La vie reprend son cours ordinaire. Vous n’avez agi que par
devoir, sans animosité mais avec toute la rigueur qui s’imposait. Après le temps de la correction vient celui du pardon. Il vous appartient de le manifester clairement de façon à ce que la punie
sache que tout est oublié. La peine est purgée. Dans un monde idéal, la punie devrait avoir conscience de la faute qu’elle a commise et demander la punition de sa propre initiative. On peut
toujours rêver ! Je n’en suis pas encore là avec Béatrice et je me demande si j’y parviendrai un jour.
Pour terminer, je souhaiterais vous faire part d'une réflexion. La fessée peut devenir une habitude, voire un plaisir.
Une habitude, c’est facile à comprendre, dans la mesure où, avec les domestiques et les enfants, les occasions ne manquent pas pour sévir ! Un plaisir ? C’est plus délicat ! Vous en jugerez
rapidement par vous-même en observant vos réactions et celles de votre victime. Nous nous connaissons suffisamment pour que je vous fasse un aveu : il m’est très agréable de fesser
Béatrice et sans doute plus qu’il ne serait vraiment nécessaire. Cet exercice me procure à chaque fois des sensations indéfinissables, comparables à une jouissance intime.
J’adore les petits derrières dodus, gonflés avec insolence, qui s’offrent à mes caprices en
arrondissant avec orgueil leurs belles joues potelées. Et puis c’est un plaisir partagé. Car je devine ce que Béatrice ressent de son côté dans ces moments-là. Entre deux séries de fessées,
je lui caresse le sexe. Mes doigts passent et repassent le long de sa fente, s'insinuent entre ses lèvres. Je l'entends gémir. Non pas de douleur mais de plaisir. Un plaisir que je sens monter
dans son ventre, brûler sa vulve, irradier du clitoris à l'anus. Elle est humide, excitée, comme prête pour l'amour. A la longue, j'ai fini par la dresser comme un petit chien. Fessée est devenue
maintenant pour elle synonyme de jouissance. Avec elle, la fessée finit souvent en levrette, les cuisses bien écartées, offerte à mes amants de passage, trop contents de l'aubaine, qui la
pénètrent devant moi.
Voilà, je vous ai tout dit ou presque. Si jamais, en dépit de
ces conseils, vous continuiez à rencontrer des difficultés avec votre petit Vincent, n’hésitez pas à me l’envoyer quelques jours en pension. Je me ferai un plaisir de m’occuper de lui
personnellement. A son retour, vous pourrez constater que nos méthodes d’éducation à l’anglaise lui auront fait le plus grand bien !
A bientôt, j’espère, le plaisir de vous lire.
Alexandra
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