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Béatrice ou l'éducation d'une jeune soubrette
- Ha, ha, ha ! Voilà qui est amusant ! Comme si Madame pouvait t’entendre ! Tu crois peut-être qu’elle va se précipiter pour venir te délivrer ! Se soucie-t-elle seulement une seconde de savoir où tu es ? Je te rappelle que c’est elle qui t’a envoyée ici. Alors crie, crie autant qu’il te plaira, si cela peut te faire du bien !
Pressant le clitoris de la soubrette pour le faire saillir, Harry y suspend une pince lestée d’une boule semblable à celles qui pendent déjà au bout de ses tétons. Cette charge supplémentaire appliquée à une partie du corps aussi fragile et sensible devient soudainement insupportable.
- Aowwwww !!! Non… Pas ça ! Noooooooooooooooooon !!! Arrêtez, Monsieur, par pitié, laissez-moi, je vais tout vous dire.
Les yeux exorbités, le visage constellé de perles de sueur qui roulent sur ses joues écarlates, Béatrice désigne du regard, plus bas, sous ses seins prêts à éclater, la pince resserrée sur son clitoris à vif. Malgré ses bonnes résolutions, sa capacité de résistance s’est vite émoussée. Harry l’observe avec ironie s’agiter d’un pied sur l’autre, comme prise d’une sorte de frénésie de vouloir se libérer, alors que les mains jointes en prière à l’anneau de son collier de chien, elle est toujours suspendue à sa colonne de pierre.
- A la bonne heure, Mademoiselle a l’air de vouloir se montrer plus raisonnable. Le bon docteur t’écoute, mon enfant !
- Non, pas comme ça, Monsieur, par pitié, j’ai trop mal, je vous en prie, retirez d’abord cette pince, s’il vous plaît !
- Certainement pas, pas avant que tu ne m’aies tout dit ! Donnant, donnant. Je veux d’abord une confession complète ! Complète, tu m’as entendu ? Plus vite tu commenceras et plus vite tu seras libérée !
Des larmes dans les yeux et la voix brisée, comprenant que sa cause ne sera pas entendue et qu’il est donc dans son intérêt d’écourter le plus rapidement possible son calvaire, Béatrice relève la tête, prend une large respiration et se résout à parler.
- Madame m’a punie pour ma mauvaise conduite.
- J’entends bien… mais de quoi t’accuse-t-elle précisément ?
- Elle me reproche de ne penser qu’à prendre mon plaisir alors que je devrais uniquement me soucier de le donner aux autres.
- Tu veux dire qu’au lieu de ne rien laisser paraître pendant que tu es fouettée ou offerte aux invités de Madame, tu ne peux pas te retenir de manifester ta satisfaction ?
- Oui.
- Eh bien, Madame a tout à fait raison. Voilà une très mauvaise habitude. Nous allons te la faire passer sur-le-champ. Le bon docteur connaît quelques excellentes recettes pour ça ! Mais il faut d’abord que je vérifie quelque chose.
D’un mouvement du poignet, Harry enfonce deux doigts entre les lèvres gonflées. Ils disparaissent en entier à l’intérieur du sexe de la soubrette qui, au lieu de chercher à échapper à la pénétration, arque inconsciemment son bassin en avant pour la faciliter.
- C’est bien ce que je pensais, Madame ne s’est pas trompée, une petite chienne, elles sont bien toutes les mêmes !
Comme pour confirmer son propos, les doigts d’Harry coulissent dans l’orifice avec beaucoup d’aisance. Ils vont et viennent à un rythme de plus en plus rapide. Les phalanges disparaissent, ressortent, s’enfoncent à nouveau comme happées par cette bouche insatiable. Les cris de surprise de la soubrette se muent en gémissements de plus en plus bruyants.
- Vous me faites mal !
Mais sa protestation molle ne convainc pas le docteur, qui continue de la pistonner avec énergie. Lorsque les cuisses de la jeune fille se resserrent autour de son poignet, Harry enfouit ses doigts une dernière fois au plus profond de son sexe et les y laisse jusqu’à ce que la soubrette jouisse, le corps secoué de spasmes incoercibles. Les derniers soubresauts passés, il finit par retirer ses doigts luisants et mouillés et les porte aux narines de Béatrice qui, consciente d’avoir été trahie par son propre corps, essaie de détourner la tête.
- Plus jamais ça, tu m’entends ? Je vais t’apprendre à te contrôler, tu vas voir ! A partir de maintenant tu ne prendras ton plaisir que lorsque ta maîtresse t’en donnera expressément l’autorisation ! C’est bien compris ?
- Oui, Monsieur.
- Et non seulement lorsque tu seras en sa présence mais également en présence de ses invités.
- Bien, Monsieur.
- Naturellement, à partir d’aujourd’hui, je t’interdis tout geste déplacé lorsque tu seras seule et livrée à toi-même. Tu vois ce que je veux dire ?
- Oui, Monsieur.
- Est-ce qu’il t’arrive de te caresser, Béatrice ?
Harry se retourne vers la console placée derrière lui et se saisit d’une pince qu’il agite à la hauteur de son visage, l’ouvrant et la refermant à plusieurs reprises pour lui en faire écouter le claquement métallique.
- Jamais aucune pensée impure en cours de journée ?
- ………….
- Oh je sais, c’est difficile à avouer mais réfléchis un peu… j’ai tout mon temps.
Harry se penche vers la jeune fille et après avoir écarté ses petites lèvres moites de ses deux doigts en « V », referme la pince sur la lèvre de gauche.
- Aaaaaaaaaahhhhhhhh ! (Béatrice étouffe un cri tandis que de grosses larmes roulent sur ses joues).
- Rien ? Pas de mauvaises habitudes ? Par exemple le matin, lorsque tu fais ta toilette ?
- Aaaaaahhhh ! Ou… Ou… Oui…..
- J’en étais sûr ! Et quand encore ?
- ………….
Le docteur s’empare d’une autre pince et la referme, cette fois, sur la lèvre de droite.
- Le soir, quand ton service est fini ? Que tu peux te détendre ? Que tu es allongée sur ton lit, que tu penses à des choses agréables et que tu t’apprêtes à t’endormir ?
- Aaaaaaaaaahhhhhhhh ! Ou… Oui…..………….
Il contemple avec cynisme la soubrette devenue rouge comme un coq, en train de trépigner de douleur.
- Rien d’autre ? (Ses doigts s’attardent sur la pince qui lui mord le clitoris).
- Aaaaaaaaaahhhhhhhh ! Arrêtez, par pitié ! ! ! Ma… Madame…
- Continue, ma belle enfant, libère-toi de tes mauvaises pensées. Le docteur t’écoute ! Tu vas voir comme tu seras soulagée lorsque tu m’auras tout avoué.
- Eh bien, Madame me reproche aussi de faire la fine bouche et d’accorder mes faveurs à certains de ses invités plutôt qu’à d’autres…
- Tiens donc, voilà qui est intéressant ! Et avec qui te montres-tu la plus accueillante ?
- Avec les invités qui ont de la classe, ceux qui sont bien habillés, qui ont de bonnes manières, qui s’expriment avec distinction, qui sentent bon, qui ont les mains douces et caressantes…
- Et les autres ?
- Les autres, je fais tout pour les éviter. Ce sont des gros rustauds sanguins, fagotés comme l’as de pique, avec des poils partout, la peau rêche et calleuse, l’haleine avinée, qui vous empoignent, qui vous troussent et qui vous culbutent comme une fille d’auberge en débitant des plaisanteries salaces et en gloussant d’un gros rire gras.
- En résumé, Mademoiselle n’est qu’une petite vicieuse obsédée par son unique plaisir qu’elle prend quand elle en a envie, seule ou en compagnie de personnes agréables. Elle oublie qu’elle est une simple domestique. Une bonne à tout faire. Qu’elle est ici pour obéir aux ordres. Pour servir et non pas pour s’octroyer du bon temps.
- Oh Monsieur, j’ai honte, vous savez… mais à partir de maintenant, je vous le promets, je vais tout faire pour ne pas recommencer.
- Mais bien sûr ! Comme c’est bizarre ! Béatrice la magicienne promet tout à coup monts et merveilles ! Elle croit sans doute que je peux me contenter de ses belles paroles. Que ses larmes de crocodile vont finir par m’attendrir. Ce serait bien mal me connaître ! Ha, ha, ha !
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