Partager l'article ! (14) Il faudrait l'élargir: Premières heures de la matinée dans le petit salon de Glendale House, au lendemain de la visite d’Harry, l’« ...
Béatrice ou l'éducation d'une jeune soubrette
Premières heures de la matinée dans le petit salon de Glendale House, au lendemain de la visite d’Harry, l’« essayeur » auquel Lady Alexandra a fait appel pour évaluer les qualités physiques de sa domestique.
- Béatrice, nous n’avons pas de temps à perdre, il faut battre le fer pendant qu’il est chaud.
- Pardon, Madame ?
- C’est pourtant clair, tu as entendu comme moi les recommandations du « Docteur » à l’issue de son examen, n’est-ce pas ?
- A vrai dire, c’était tout à fait à la fin et dans l’état où j’étais, je n’ai pas fait très attention. Je crois me souvenir qu’il m’a trouvée trop « étroite », Madame, mais je n’ai pas compris ce qu’il voulait dire.
- Eh bien, tu vas comprendre très vite, ma belle, viens près de moi, n’aie pas peur, tourne le dos et penche-toi en avant. [Afin qu’elle soit en permanence accessible durant son service, elle a obligé sa soubrette à ne plus porter de petite culotte et à attacher ses bas directement, devant et sur les côtés, aux quatre jarretelles de son corset] Je ne me lasserai jamais de contempler tes rondeurs adorables [Elle les caresse longuement], douces et lisses comme celles d’une fillette. Son doigt s’insinue entre celles-ci et la pénètre délicatement.
- Mais, Madame !
- Reste penchée, petite bécasse, le Docteur a entièrement raison, je croyais que tu avais fait des progrès de ce côté-là mais je me suis trompée, nous sommes loin du compte, il faudrait t’élargir ou plutôt te « dilater », pour utiliser un terme plus approprié. Ne t’en fais pas, je sais comment faire !
- Oh, Madame, vous allez me faire mal !
- D’abord, je ne t’ai pas demandé ton avis et ensuite, je vais te faire du bien, au contraire. Tu te sentiras beaucoup mieux après. Mais au préalable, quelques exercices d’assouplissement me semblent indispensables.
- Des exercices de gymnastique ?
- Oui, en quelque sorte. George ? Mais où est-il encore passé celui-là ? [Dissimulé dans l’ombre, derrière la maîtresse de maison, le majordome bondit comme un pantin à ressort surgissant de sa boîte] Ah, vous êtes là, George, vous m’avez fait peur, j’ai l’impression qu’à chaque fois vous le faites exprès !
- Excusez-moi, Madame, ce n’était pas mon intention.
- Eh bien, George, vous avez pensé à installer ce que je vous ai demandé ?
- Oui, Madame.
Le maître d’hôtel se dirige vers un coin de la pièce et, repliant les volets d’un paravent en laque de Coromandel, dévoile une colonne en bois légèrement écartée du mur et solidement fixée au sol. Dans une cannelure qui la traverse de haut en bas, une sorte de rail métallique à crémaillère a été insérée. Celui-ci est équipé d’une pièce recourbée à angle droit, métallique également, et que l’on peut régler en hauteur en la faisant coulisser sur l’axe central.
- Qu’est-ce que c’est, Madame ?
- Il est grand temps que tu le saches, c’est un mât de Gwendoline. Je n’ai pas besoin de t’expliquer comment ça fonctionne, tu vas le découvrir par toi-même ! George, aidez-moi à la préparer.
Lady Alexandra fixe aux poignets de la soubrette une paire de bracelets en cuir noir munis d’anneaux, tandis que le majordome, à genoux, mais davantage occupé à regarder sous la jupe de la jeune fille, est censé faire la même chose au niveau des chevilles. Elle choisit ensuite avec soin un phallus gainé de cuir noir, long d’une dizaine de centimètres, et l’assujettit à l’embout mobile prévu pour le recevoir.
- Approche.
Comme une condamnée que l’on conduirait au poteau, Lady Alexandra fait reculer Béatrice contre le mât, puis réunit par-derrière les anneaux des bracelets qu’elle porte aux poignets et aux chevilles. Après lui avoir massé l’anus quelques instants pour la préparer, elle fait glisser le support coudé vers le haut et introduit la pointe du phallus entre ses fesses.
- Montre-moi comme tu es grande, ma belle, dresse-toi sur la pointe des pieds [La soubrette obéit sans réfléchir et Lady Alexandra en profite pour bloquer le godemiché le plus haut possible]. Voilà, c’est parfait !
- [Endolorie par ce corps étranger qui s’enfonce subitement en elle] Oh, Madame, j’ai mal, c’est trop gros !
- Arrête de pleurnicher ! Si tu crois que tu vas me faire changer d’avis, c’est raté. J’ai volontairement choisi un modèle moyen pour commencer, une queue ordinaire, si j’ose dire. C’est pour t’habituer. Il y en a de beaucoup plus grosses. Dans quelque temps, tu seras pénétrée comme ça par le sexe de mes invités. Je leur demanderai de se présenter en file indienne derrière toi pour te limer à tour de rôle !
A force de se trémousser et rapidement fatiguée de rester sur la pointe des pieds pour tenter de soulager la douleur qui la transperce, Béatrice a maintenant le phallus enfoncé en elle jusqu’à la garde. Elle se rend compte que les efforts désordonnés qu’elle déploie pour se libérer ne font qu’aggraver son état. Le rouge lui monte aux joues. Ses yeux se voilent. Elle est près d’éclater en sanglots.
- Alors, ma belle, comment te sens-tu ? Tu sais quoi ? Tu me fais penser à l’héroïne d’une bande dessinée de John Willie. Même silhouette, même attitude, c’est tout à fait ça !
- Oh, Madame, ne vous moquez pas de moi, j’ai l’impression d’être complètement empalée.
- Ce n’est pas une impression, Béatrice, c’est la réalité, et plus tu te débattras et plus tu auras mal.
La maîtresse de maison se saisit de courroies de cuir supplémentaires et attache sa soubrette autour du poteau au niveau de la taille et du cou.
- Estime-toi heureuse, pour une première fois, je n’ai pas forcé. J’aurais pu être moins indulgente. Tu verras, dans quelques jours, tu n’y feras même plus attention. Pense à autre chose et reste tranquille, c’est ce que tu as de mieux à faire.
- Je ne peux pas, Madame, oh, s’il vous plaît, détachez-moi !
- Écoute-moi bien, Béatrice, tu n’as pas l’air de vouloir comprendre : non seulement je ne vais pas te libérer mais en plus tu te lèveras désormais tous les matins une heure plus tôt et je t’attacherai à ce mât avant que tu prennes ton service. Est-ce que c’est clair ?
- Oh non, Madame !
Excédée, Lady Alexandra s’empare d’un bâillon de cuir noir dont la face externe est découpée en forme de petit cœur capitonné tandis que l’intérieur est équipé d’un gland en caoutchouc très court, mais de section énorme. Elle le lui introduit de force entre les lèvres avant qu’elle ait pu pousser le moindre cri de protestation et resserre derrière sa nuque la lanière de cuir qui le retient. Il lui remplit la bouche, sans y entrer non plus trop profondément.
- Avec ça, je ne veux plus t’entendre, ou plutôt si, je veux t’entendre sucer cette queue comme une petite vicieuse que tu es !
Les joues et les lèvres de Béatrice s’animent, rendant perceptible un léger bruit de succion, comme celui d’un bébé qui téterait son biberon avec une gourmandise insatiable.
- Continue comme ça sans t’arrêter ! Te voilà fourrée par tous les bouts, ma belle, ça t’apprendra à vouloir me résister ! De toute façon, il est grand temps que tu t’habitues à sucer pendant que l’on te prendra par-derrière ou par-devant. Je te préviens, si je t’entends te plaindre encore une seule fois, je t’en introduis un troisième, beaucoup plus gros, entre les cuisses, et je te laisse comme ça une heure de plus !
Juchée sur la pointe des pieds, les seins pointés en avant, avec ses bonnes joues rouges gonflées par le membre épais qu’elle est en train de pomper, la soubrette roule des yeux suppliants vers sa maîtresse. Celle-ci, par provocation, relève la jupe de sa soubrette par-devant afin d’exhiber le haut de ses cuisses nues et son pubis épilé.
- Comment la trouvez-vous, George ?
- Je trouve Mademoiselle très mignonne.
- C’est bien mon avis aussi. Dépliez le paravent, George, nous allons laisser Mademoiselle à ses méditations. Je suis sûre que dans une heure, elle sera revenue dans de meilleures dispositions !
- Si Madame le permet, je suggère plutôt à Madame de laisser le paravent ouvert. Madame pourra ainsi observer Mademoiselle à loisir et celle-ci restera exposée devant tout le monde.
- Mais vous avez tout à fait raison, George, vous ne dites pas toujours que des bêtises. Quand j’y pense, je devrais plutôt vous appeler Jeeves !
- Merci, Madame, Madame est trop aimable.
- En attendant, je vous laisse, il faut que je m’absente. Ne quittez pas la petite d’une semelle et surveillez-la comme le lait sur le feu, je vous fais confiance.
- Madame peut partir tranquille, je m’occupe de tout.
Connaissant la perversité du maître d’hôtel et redoutant de devoir rester sans défense, en tête-à-tête avec ce dernier, Béatrice se met à agiter des yeux effarés en direction de sa maîtresse. De vagues borborygmes s’échappent de son bâillon, mais Lady Alexandra prend le parti de les ignorer et quitte la pièce en souriant.
- A tout à l’heure, ma belle, « be a good girl », à mon retour, je veux te retrouver sage comme une image…
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