Soumission

Lundi 6 février 2012 1 06 /02 /Fév /2012 06:06

BR FV 37 01 Chaperon rouge1Dès qu’elles font leur apparition dans l’encadrement du grand salon, la Comtesse Rimanska et Lady Alexandra sont accueillies par un concert d’exclamations. Vous voilà enfin ! Nous vous cherchions partout ! Vous nous manquiez ! Où aviez-vous donc disparu ? Les deux femmes se contentent de répondre par des sourires énigmatiques. La visite des « écuries » n’est pas un sujet que l’on peut aborder devant tout le monde. Seules quelques initiées sont au courant et les étalons, pour leur part, sont tenus au silence le plus strict. Ils savent ce qu’ils encourent s’il leur prenait l’audace de trahir le secret.

- Béatrice se sentait un peu fatiguée. Un bon bol d’air lui a fait le plus grand bien !

Cet aveu n’est qu’un demi-mensonge. Pimpante et gracile, la soubrette, tenue en laisse par sa maîtresse, a repris des couleurs. Elle offre aux regards qui l’observent la fraîcheBR FV 37 02 Petit-four12ur recouvrée de ses dix-neuf ans. Rougies au contact du froid du parc, ses pommettes et ses petites fesses lui donnent l’allure mutine et charmante d’une écolière prise en faute. Le petit chaperon rouge revisité par Luc Besson pour le N° 5 de Chanel. Lever de soleil sur un jardin d’innocence. L’air de ne pas y toucher. Le grand jeu. Tout y est. Y compris les battements de cils, façon biche apeurée. AlexBR FV 37 03 Champagneandra adore. Qui pourrait s’imaginer en l’observant, timide et empruntée, qu’il y a à peine un quart d’heure encore, à quelques centaines de mètres de là, elle était en train de pomper avec frénésie le dard monstrueux d’un des plus beaux pur-sang d’Irina ?

En attendant, il est minuit passé et la fête continue à battre son plein. Quelque part, comme dans un écho assourdi, on entend sauter des bouchons de champagne. Les esclaves de la comtesse poursuivent leur ronde sans fin entre les tables. Des petits groupes se forment ici et là. De mondaines, les conversations deviennent plus intimes. Les lumières s’adoucissent. Se tamisent. La cire commence à couler le long des chandeliers d’argent. De temps en temps, une cavalcade d’invités dégringole les escaliers en pouffant de rire. Plus haut, dans les étages, des portes se referment en grinçant. Des couples s’enlacent dans la pénBR FV 37 04 Décolletéombre des alcôves. On devine des gloussements dans les recoins obscurs des couloirs. Des petits cris aigus à l’abri des paravents. Des gémissements extatiques derrière les portes.

- Béatrice, mets-toi à quatre pattes !

Au beau milieu du grand salon, l’ordre de Lady Alexandra fuse comme un éclair. La voix est forte. Les conversations s’interrompent. Tous les regards convergent vBR FV 37 05 Lampeers la soubrette qui se trouve soudain sous le feu des projecteurs. Sa maîtresse se penche vers elle et plongeant délicatement ses doigts au creux de ses reins, en retire d’un geste théâtral le bouchon métallique terminé par un cabochon en cristal taillé qui la retenait prisonnière.

- Te voilà libérée, ma belle, je t’autorise à aller jouer !

Pas de punition ? Elle s’en tire apparemment à bon compte. Une simple impression. Mais elle ne sait pas encore ce qui l’attend. Un jeu spécial sans doute. Car dans le même temps, la comtesse Irina a pris soin de délacer par-devant les slips d’Omar et d’Ali, ses deux gardes du corps, libérant des organes énormes, congestionnés et démesurément tendus après avoir été trop longtemps comprimés.

- Amusez-vous les enfants, c’est de votre âge !

Les deux femmes s’échangent un clin d’œil en voyant disparaître la fragile silhouette de Béatrice, encadrée par la stature impressionnante des deux colosses, sculptés comBR FV 37 06 Sex25me des statues, qui lui empoignent les avant-bras.

La récréation risque de durer un certain temps. Béatrice n’est pas d’un tempérament à se lasser facilement. Plutôt du genre à en redemander. Peu importe, sa maîtresse finira bien par la retrouver. Dieu sait dans quel état !

Pour le moment, Lady Alexandra musarde et profite de queBR FV 37 07 Rosebudlques moments de liberté. Une coupe de champagne au buffet. Un petit mot au passage à ses amies Martine et Gisèle. Un arrêt devant la cheminée où brûle un grand feu de bois. Un étalon se présente et lui tend son plateau. Pyramide multicolore de fruits déguisés. La pâte d’amande brille comme une carapace bombée sous le vernis de sucre glace. Difficile de résister. Elle s’enquiert de son prénom.

- Cyrille, Madame, répond-il en plantant sans ciller son regard dans le sien.

- Eh bien, Cyrille, vous me tentez beaucoup, je ne sais pas par quoi commencer.

Dissimulée sous le plateau, la main de Lady Alexandra s’affaire à palper la paire de bourses chaudes qu’elle sent BR FV 37 08 Sex26frémir entre ses doigts et se met à masser le membre qui ne tarde pas à se redresser en grossissant. Cyrille est au comble de la confusion. Sous sa frange de cheveux blonds, Lady Alexandra le fixe et le défie. Son visage se rapproche. Ses lèvres s’entrouvrent.

- Merci, mon petit Cyrille, n’oubliez pas de revenir me voir, vos sucBR FV 37 09 Sex07reries sont délicieuses !

La suite de sa promenade lui confirme qu’elle n’est pas la seule à s’autoriser quelques privautés avec le personnel domestique.

Ici, au terme d’une manœuvre habile d’encerclement construite comme une mêlée de rugby et qui dissimule leurs gestes à la perfection, quelques invitées s’arrachent la vertu d’un jeune étalon dont on devine, entre deux épaules, le visage empourpré. Là au contraire, et devant tout le monde, deux femmes assises masturbent consciencieusement le serviteur qui se tient debout devant elles. Lorsque l’une s’arrête, l’autre lui succède immédiatement et prend le relais. Pas de temps mort. Une question de patience. Encore quelques minutes de ce régime et il sera à point. Des signes encourageants annoncent un dénouement proche. Si elles le souhaitaient, elles pourraient précipiter l’éBR FV 37 10 Milkingchéance en accélérant le rythme. Mais elles s’en garderaient bien. A vrai dire, elles ne sont pas pressées. Il est tellement plus agréable de faire durer les choses quand on tient un homme à sa merci et qu’on le sent perdre progressivement ses moyens.

Un petit tour dans les autres salles du rez-de-chaussée s’impose. Certaines invitées en reviennent de fort bonne humeur. Le buffet vaut le détour, lui signale l’une d’entre elles, la prunelle soudain étincelante. Encore faut-il le trouver. Sans doute au-delà de ce petit vestibule qu’elle ne fait que traverser BR FV 37 11 Sexet où Sacha et Igor ont été renversés sur le dossier de fauteuils en cuir, cuisses écartées, fesses offertes, pour se faire doigter par quelques mains expertes. Voilà, nous y sommes. Un buffet original, assurément. Un buffet vivant, en quelque sorte. Avec sa spécialité maison qui semble remporter un franc succès : la turlutte royale au Grand Marnier. Des étalons entièrement nus ont été alignés et attachés le long du mur. Ils ont la pointe des seins, le sexe et l’entrejambe généreusement nappés de sauce au chocolat. Plusieurs femmes s’affairent auprès d’eux, la bouche gourmande, en poussant des petits cris de contentement tandis que leurs victimes se contorsionnent tant qu’ils peuvent afin d'échapper à leurs caresses. En retrait, toque blanche dresséeBR FV 37 12 Sex06 sur le haut du crâne, le maître pâtissier s’applique, entre deux convives, à reconstituer son ouvrage en pressant sur sa poche à douille pour en extraire un rouleau torsadé sur lequel il pique au gré de sa fantaisie quelques écales d'amandes ou de noisettes.

Pas le tempBR FV 37 13 Sex02s de s’arrêter. Ce sera pour plus tard. Elle entrouvre la porte d’un boudoir et repère enfin sa soubrette. Visiblement, celle-ci s’apprête à passer des moments très agréables en compagnie d’une cohorte d’étalons impatients de donner l’assaut.

Deux femmes l’ont installée confortablement dans un fauteuil pour la préparer à honorer ces messieurs. La première a mouillé son index et stimule par des mouvements délicats et circulaires la lente éclosion du pistil. Le geste est sensuel et régulier. Celui d’une femme qui caresse comme elle aimerait être caressée. Béatrice sent son sexe se gonfler. L’autre femme, sur les conseils de la première, se joint à elle. Leurs doigts butinent, vont et viennent, s’attardent, écartent les lèvres, plongent avec délice, parcourent la fente nacrée, accélèrent le rythme. Une fine rosée commence à perler. Ce sont maintenant leurs lèvres qui prennent le relais. QuBR FV 37 14 Sex09i s’introduisent, lèchent, titillent, suçotent, aspirent. Béatrice sent une douce chaleur l’envahir. Ses yeux brillent. De ses deux mains, elle exagère l’ouverture de sa fente en tirant sur les bords afin de pouvoir libérer le relief de son bourgeon de chair, indifférente à l’impudeur exquise de cette exhibition et poussée par le désir incontrôlable de s’offrir sans retenue pour être prise tout entière.

- La voilà prêtBR FV 37 15 Sex10e, à vous de jouer, messieurs !  

Les femmes se retirent. Les étalons vont pouvoir entrer en scène. Le spectacle auquel ils viennent d’assister les a mis dans tous leurs états. C’est à peine s’ils peuvent encore se maîtriser. Le premier, Ivan, fait signe à Béatrice de se relever et de se pencher en avant, la tête en bas, les mains serrées autour des chevilles. Entre ses jambes écartées, la soubrette découvre une queue monstrueuse pointer vers elle, puis errer entre ses jambes en venant s’appliquer ça et là contre sa peau brûlante, comme s’il hésitait à choisir un accès plutôt qu’un autre pour la pénétrer. D’un bras, il la redresse pour qu’elle prenne appui contre le mur. Au passage, il lui caresse les seins tout en lui mordillant le dos et le cou. Puis d’une main, il écarte ses lèvres humides pour y introduire son sexe et le faire aller et venir sur toute sa longueur. Rien de plus facile. Le membre coulisse avec aisance. C’est tellement agréable que Béatrice resserre légèrement son étreinte sur le pistonBR FV 37 16 Sex11 bien huilé. La main de l’homme s’aventure par-devant sur le bourgeon de chair tendu d’excitation, qu’il titille du bout des doigts. Caresse à peine supportable. La soubrette ne peut plus retenir ses gémissements. Elle cambre les reins et contracte encore davantage ses muscles sur la tige vigoureuse qui la transperce.

- Oh oui, ouiiiii, ouiiiiiiiiiiii, encore, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Plus qu’ils ne l’accompagnent, les mouvements de son corps anBR FV 37 17 Sex12ticipent ceux de son partenaire. Une moiteur brûlante recouvre le grain de sa peau, s’insinue entre ses cuisses, perle au creux de ses reins. Si elle était encore en mesure de parler, elle le supplierait de la prendre sur-le-champ. Mais c’est à lui de décider. Et l’heure n’est pas encore venue. Va-et-vient incessants. Le membre grossit au fur et à mesure. S’empale de tout son long Avant de ressortir. Et de recommencer. Tandis que par-devant, l’attouchement devient insoutenable. Commencer par jouir de son plaisir avant de jouir soi-même. La combler au-delà de ce qu’elle attend. L’observer s’embraser tout entière. L’entendre s’abandonner sans retenue.

Il la pénètre longuement, puissamment. Ses mains ont pris possession de ses seins gonflés qu’il tient entre ses paumes en même temps qu’il en pince les pointes dressées. La cadence s’accélère. Elle se met à hurler de plaisir. Un tonnerre de feu gronde dans son ventre. Son corps est parcouru par des tressaillements incontrôlables. Un cri déchirant transperce le silence. Ivan accentue la cadence puis se retire et se met à jouir à longs jets. Le bas du dos de Béatrice est aspergé d’un liquide laiteux qui s’écoule entre ses reins et ruisselle, plus bas, entre ses lèvres intimes.

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Mardi 6 mars 2012 2 06 /03 /Mars /2012 06:00

BR FV 38 01 TrotDécidément, le réveillon chez la comtesse Rimanska est une réussite totale. Les invités passent une excellente soirée. Le thème inédit du bonheur dans l’esclavage libère les imaginations et donne lieu à une sorte de défoulement collectif. Ce vent de folie n’est pas dû au hasard. Tout a été minutieusement pensé et organisé dans cette intention. Le décor grandiose. L’arrivée à la lueur des torches. La quasi-nudité des serveurs. Le luxe des salons. L’intimité des alcôves. La richesse des compositions florales. Le sillage entêtant des parfums. L’opulence des buffets. La finesse des vins.

En dépit de l’heure avancée, les petits jeux privés qui se déroulent maintenant ici ou là un peu partout dans le château sont un plaisir pour celles et ceux qui les vivent ou qui se contentBR FV 38 02 Intérieurent de les observer. La tension monte. Elle est presque palpable. Le château devient progressivement un gigantesque lupanar. Mais un lupanar distingué. Pour hôtes de marque qui savent se tenir. Des esthètes qui privilégient le raffinement dans la recherche du plaisir. Les salles de réception, les chambres, les vestibules, les escaliers, l’office, résonnent de halètements, d’éclats de rire, de gémissements, d’exclamations, de gloussements, de hurlements de joie ou d’extase. On s’amuse follement à tous les étages.

La dernière fois que Lady Alexandra a entrevu Béatrice, c’était il y a plus d’une demi-heure, dans un petit boudoir, aux prises avec une dizaine d’étaloBR FV 38 03 BMont orgueil001ns solidement membrés qui avaient entrepris de l’enfiler tour à tour en levrette, et qui attendaient impatiemment leur tour, à la queue leu leu. Grâce à un entraînement régulier, la petite semblait supporter facilement l’exercice. Sa maîtresse aurait été curieuse de vérifier si elle tenait la distance. Mais apparemment, il est trop tard. La partie est maintenant terminée. La soubrette a disparu. Ses partenaires aussi.

A leur place, elle trouve deux invitées en galante compagnie. Pour être plus à l’aise, celles-ci n’ont gardé sur elles que leurs bas noirs à couture et leurs porte-jarretelles. Deux étalons, Apollos et Ladislas, au nombre des préférés de la comtesse, sont allongés suBR FV 38 04 Mistress01r le dos sur des banquettes étroites et les deux femmes sont assises à califourchon sur leur corps hâlé, les jambes pendantes de part et d’autre. Quoi de plus naturel pour des étalons que d’être montés. L’une des invitées, constatant la présence d’Alexandra, descend de « cheval » et l’invite à la remplacer. Une occasion unique. Ils sont dressés pour cela. Des sensations difficiles à décrire. Le mieux serait qu’elle puisse en juger par elle-même.

- Vous allez être étonnée… ces messieurs font preuve d’une vigueur… et d’une résistance… étonnantes !

Lady Alexandra la remercie. Elle n’avait pas précisément envisagé de jouer un rôleBR FV 38 05 Naked man actif dans la soirée mais l’occasion est effectivement trop belle. Il y a de quoi se laisser tenter. Elle se défait rapidement de son smoking, sous lequel elle est entièrement nue, et enfourche Apollos solidement attaché à sa banquette. Dans l’immédiat, le plus important est de lui faire passer un message simple : c’est elle qui va tenir les rênes, il n’aura qu’à obéir, un point, c’est tout.

Et pour se faire bien comprendre, elle va commencer par le préparer à sa manière, comme elle adore le faire, en lui enserrant étroitement le visage entre ses cuisses, plaquant sa vulve contre son nez et sa bouche afin qu’il s’imprègne de son intimité et qu’il s’étourdisse progressivement de son odeur musqué. S’il renâcle, elle saura lui pincer le nez jusqu’à ce qu’il finisse par introduire bien doBR FV 38 06 Mistress02cilement sa langue entre ses petites lèvres. Quelques minutes de ce régime et il sera entièrement en son pouvoir.

Il ne lui reste plus qu’à s’empaler d’un trait sur son sexe dressé. Elle le fixe du regard, les yeux pétillants, enchantée de pouvoir s'asseoir sur lui et de l'immobiliser de tout son poids afin de prendre le contrôle des opérations. Au pas d’abord, à une allure plus vive tout à l’heure, quand il sera suffisamment échauffé et qu’ils se seront habitués l'un à l'autre. Coït passif pour l'homme. Chevauchée fantastique pour sa partenaire. Elle va lui faire découvrir la douce étreinte de son étau de velours.

En fine cavaliBR FV 38 07 BMontorgueil005ère, elle commence par le trot assis. Cette allure, privilégiée en dressage, facilite une relation intime avec sa monture. Le tenant prisonnier entre ses jambes, elle dose à sa convenance le rythme et la profondeur de la pénétration par les ondulations de son bassin. Elle varie les angles afin d’intensifier les sensations qui stimulent les zones les plus secrètes de son corps. Frottement du clitoris sur le pubis de son partenaire. Contractions lentes er régulières de ses muscles intimes. La verge est serrée, massée par son vagin. Rien ne lui est plus agréable que de contrôler la montée de son plaisir et de celui de sa monture.   BR FV 38 08 Mistress03

Quand elle le sent bien raide, elle enchaîne sur un trot enlevé, se levant en prenant appui sur ses étriers un temps sur deux. La voilà maintenant en équilibre, décollée, le buste légèrement penché en avant, puis elle se plaque à nouveau sur son partenaire en le pénétrant sur toute sa longueur. Tension des muscles abdominaux, resserrement du périnée autour du membre qui se met à coulisser à la perfection comme un piston bien graissé. Elle se soulève à nouveau… se rassoit… se soulève… se rassoit…

En dessous d’BR FV 38 09 BMontorgueil006elle, Apollos gémit, dans un profond désarroi. L'initiative lui échappe totalement. Sa cavalière mène la danse. C'est elle qui finira par avoir le dernier mot. Alors, sûre de son triomphe à venir, elle peut prendre tout son temps pour le fatiguer, l'exacerber, le narguer. Lui offrir le spectacle d'une poitrine arrogante. Des seins superbes. Fermes. Épanouis. Qui montent et qui descendent en cadence. Et que, les poignets immobilisés par des bracelets de cuir, il enrage de ne pas pouvoir toucher, caresser, pétrir entre ses doigts.

Pendant ce temps, sur l’autre banquette, la seconde invitée chevauche Ladislas. Les deux femmes, en guidant lBR FV 38 10 Mistress04eurs montures dans la même direction, donnent l’impression de cheminer de concert sur le chemin sablonneux d’un sous-bois imaginaire. Elles s’encouragent mutuellement de la voix et du regard. Le rythme de l’une se communique à l’autre, comme deux cavalières inséparables qui auraient pris le parti d’évoluer à la même hauteur, quels que soient les accidents du terrain. La femme s’aide des muscles de ses cuisses pour se dresser et redescendre sur le pénis de Ladislas, un temps sur deux, comme le fait sa compagne. Sur des montures aussi bien dressées, le trot monté est vraiment l’allure idéale. Les deux femmes ralentissent ou accélèrent à l’BR FV 38 11 Nudeunisson. Un sourire éclatant éclaire leurs visages. Sous elle, au supplice, Apollos et Ladislas n’en peuvent mais. Les cuisses gainées de noir resserrent leur étreinte. Montent et descendent indéfiniment comme des chevaux de manège. Compriment leurs testicules. Pilonnent sans relâche leur membre à vif.

Ils sont à deux doigts de succomber. Mais rien n’est encore joué. La course n’est pas finie. Chacune des deux femmes se fait fort de couper la ligne d’arrivée la première. Le train s’accélère. Les concurrentes sont au coude à coude à la sortie du dernier virage. Chacune excite sa monture et l’aiguillonne par quelqBR FV 38 12 Mistress05ues coups de cravache bien placés. Le visage écarlate, Apollos bande tous ses muscles et pousse un grand cri le premier. Lady Alexandra a fini par l’emporter d’une courte tête. Elle ralentit le rythme, se penche sur le côté pour flatter l’encolure du gagnant et se redresse en signe de victoire. Le résultat est logique. Sa rivale s’est montrée pugnace jusqu’au bout mais elle n’avait ni son expérience ni son talent de finisseuse. Tandis qu’on enveloppe dans une couverture Apollos tout ruisselant de sueur pour le reconduire au paddock, une flûte de champagne aide opportunément Lady Alexandra BR FV 38 13 Fucking01à se remettre de ses émotions. Une pause bienvenue avant de repartir à la recherche de sa soubrette.

Peut-être est-elle ici, dans cet élégant petit salon au plafond à moulures de rocailles et où les rideaux on été soigneusement tirés. Il faut d’abord s’habituer à la pénombre car le lieu n’est éclairé que par deux chandeliers posés sur le manteau de la cheminée, de chaque côté d’un immense miroir. Silence feutré. Quelques gémissements sourds à intervalles réguliers. Ils viennent des quatre angles de la pièce où des étalons ont été attachés debout, chevilles et poignets liés autour d’une colonnBR FV 38 14 Face sitting01e. Les pauvres sont bâillonnés. On leur a laissé leur string ouvert à l’entrejambe, qui fait ressortir leur membre tendu à l’horizontale et décalotté pour l’occasion, de façon à les exciter encore davantage. La source de leurs tourments n’est pas pour autant apparente. Elle se situe dans leur dos. Car chaque colonne est équipée d’un godemiché réglable dont la hauteur a été méthodiquement ajustée de façon à s’enfoncer au creux de leurs reins, au plus profond de leur intimité. Empalés par leur propre poids, ce qui multiplie leurs souffrances, les jeunes éphèbes se débattent et se contorsionnent sur la tige qui les transperce en essayant de se dresser sur la pointe des pieds. Face à eux et réunies au centreBR FV 38 15 Fucking02 de la pièce, quatre invitées sont assises dans des fauteuils orientés de biais vers les angles, chacune faisant face individuellement à son partenaire. Pas de contact physique. Juste un espace d’à peine quelques mètres les sépare. Le jeu se pratique à distance et sans parler. Un divertissement purement cérébral, à base de séduction et de provocation. A cet exercice-là, plusieurs femmes se montrent particulièrement adroites. Lady Alexandra les observe.

L’une d’entre elles a largement relevé ses cBR FV 38 16 Face sitting02uisses de part et d’autre sur les extrémités des accoudoirs et a glissé sa main dans sa petite culotte en tulle pour se caresser. Ses yeux brillent. Si les consignes ne l’interdisaient pas, elle se lèverait et viendrait faire partager à son partenaire le parfum puissant qui imprègne ses doigts. Elle se contente de le regarder bien en face et de lui sourire dans un silence chargé des messages les plus fous. Il lui plaît énormément. Son regard descend lentement, s’arrête au niveau de l’entrejambe, manifeste un temps de surprise et remonte, encore plus enflammé. C’est la première fois qu’elle découvre un tel engin. Elle se réjouit à l’avance d’en profiter. Elle lui prouvera combien elle sait se montrer câline et sensuelle. Elle ne pouvait pas imaginer qu’il serait aussi sensible à son charme. Grâce à elle, elle le lui promet, il va BR FV 38 17 Naked manaccéder au paradis des délices. Elle se fait fort de porter son plaisir jusqu’à l’incandescence. Ce face à face muet produit des effets immédiats. Le sexe de l’étalon se dresse à la verticale. La grosse veine en relief qui le sillonne sur toute sa longueur se gonfle. Son gland violacé est prêt à éclater.

Dans l’angle opposé, un autre étalon souffre apparemment le même martyre. La femme qui lui fait face a commencé par se déshabiller devant lui. Lentement. Progressivement. Lascivement. Entièrement. Sans le quitter non plus des yeux. Et sans cesser de sourire. Un exercice de professionnelle. Olga Kalachnikov, Capsula Popo ou Bonita Palladium ne feraient pas mieux. D’une pichenette habile du bout du pied, elle rattrape sa petite culotte tombée autour de ses chevilles. Légère et transparente comme un nuage de poudre. Concentré pervers d’effluves parfumés qu’elle vient plaquer contreBR FV 38 18 Face sitting03 les narines de son partenaire avant de suspendre ces quelques grammes d’intimité comme à un portemanteau sur la verge raidie désespérément braquée vers elle. La voilà dans le plus simple appareil, resplendissante, qui tourne autour de lui. Pour capter son regard. Aiguillonner ses sens. L’engourdir. L’hypnotiser. L’emprisonner dans sa toile. Lui faire perdre la raison. Elle se caresse les seins. Leurs pointes sont dressées. Ses doigts s’aventurent plus bas, aux confins d’une oasis secrète qui brille entre les palmes. L’étalon n’en peut plus. Sa tête lui tourne. Des grains de lumière éclatants se mettent à tournoyer sous ses paupières. Il finit par s’abandonner. Une déflagration puissante jaillit de son membre comme un jet d’eau au centre d’une fontaine, et vient retomber à ses pieds. La femme exulte. Des quatre invitées, c’est elle qui a été la plus rapide.

- Vous avez vu, sans les mains !

Les trois autres l’observent avec envie. Elles ne devraient pas tarder à obtenir le même résultat. Une question de minutes. Toute résistance est vaine. Ils finiront par céder. Lady Alexandra ne manquerait pour rien au monde le jaillissement imminent des autres fontaines. Les grandes eaux de Versailles. Pendant que quelque part, Béatrice s’amuse. Quand le chat n’est pas là, les souris dansent…

 

 

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Dimanche 6 mai 2012 7 06 /05 /Mai /2012 06:00

BR FV 40 01 Femdom01Alors que l’heure avance et que la soirée s’étire dans une sorte de torpeur insouciante, là-bas dans le salon de peinture, dont les portes ont été laissées ouvertes pour ne rien dissimuler des préparatifs qui s’y déroulent, Tania fait siffler sa cravache. Ultime conditionnement des étalons qu’elle excite tour à tour avec un sadisme méthodique, afin d’exacerber leurs désirs, en vue du tableau final. Celui-ci aura lieu dans quelques instants dans le salon voisin, celui de musique, où le petit marquis poudré, sans doute vexé de se sentir incompris comme beaucoup d’artistes, a rabattu le couvercle de son clavecin et fini par s’assoupir, la tête entre les mains et la perruque de travers.

Pressentant un danger imminent, Béatrice, le rouge aux joues, les yeux baissés, se fait toute petite aux pieds de sBR FV 40 02 Femdom02a maîtresse, tandis que les invités, impatients, et comme fascinés à l’avance par l’ultime gerbe qui ne va pas tarder à embraser le ciel multicolore de leurs fantasmes, se regroupent en désordre autour de la maîtresse de maison. Martèlement des talons sur le parquet ciré. Carambolage de chaises pour s’installer à la meilleure place. Échanges de signes de conniveBR FV 40 03 Femdom03nce. Regards émoustillés. On se pousse du coude. Tania fait son entrée, sa cravache sous l’aisselle, le visage habité d’une joie sombre, suivie par la cohorte des étalons au grand complet, raides et tendus. Le brouhaha se dissipe. Les conversations s’interrompent. La comtesse Irina convie son amie Alexandra à donner solennellement le signal de la scène finale. Le cou tendu par la laisse qui la tire vers le haut, Béatrice est contrainte de se lever. Elle est entièrement nue. Offerte aux yeux concupiscents qui la dénudent encore davantage. Tremblante au milieu d’un cercle de sexes turgescents.   BR FV 40 04 Femdom04

- Viens là, ma petite pouliche, n’aie pas peur, regarde plutôt comme tu as de la chance, tu as vu l’effet que tu suscites ! Cette rangée de queues dressées rien que pour toi ! Tous ces beaux mâles en rut qui s’apprêtent à te monter les uns après les autres !  

Deux gigantesques colosses l’empoignent et la soulèvent littéralement du sol pour la conduire au centre de la pièce, devant une table basse. Après l’avoir contrainte à s’agenouiller et à courber le buste sur le plateau de verre, ils lui attachent solidement lesBR FV 40 05 Femdom05 poignets et les chevilles aux quatre pieds avec des sangles de cuir. Tania s’approche et glisse sous son bassin un coussin épais qui relèvera ses reins au maximum.

Les cuisses écartées, prête à l’usage, Béatrice dévoile ainsi à tous ceux qui l’observent la plus admirable lune qu’on puisse imaginer, rebondie, dodue, ferme, gonflée avec insolence, prolongée par des cuisses rosées et des mollets adorables. La posture la plus avantageuse pour tout donner à voir. Une raie bien lisse avec, tout au fond, l’étoile froncée de son petit œilletBR FV 40 06 Femdom06 sombre et, en dessous, le calice entrouvert de sa vulve nacrée. Lady Alexandra y mouille son doigt avec délice avant de le retirer pour l'engager doucement dans l’anus palpitant.  

- La double porte des plaisirs ! Ces messieurs n’auront que l’embarras du choix !  

Tania lui tend un bâillon de cuir muni d’une boule rouge en caoutchouc.

- Non, c’est inutile, il faut qu’on l’entende crier pendant qu’elle se fait saillir ! Et puis elle va devoir sucer des choses beaucoup plus agréables !  

Omar et Ali, BR FV 40 07 Femdom07les deux colosses, auront le privilège de tirer les premiers. Honneur au sexe fort. Dans toutes les écuries du château, Il n’existe pas de braquemarts plus gros que les leurs. Omar vient se placer devant Béatrice. En même temps qu’il lui relève le menton, il enfonce d’un seul coup son sexe monstrueux entre ses lèvres. Béatrice comprend qu’elle devra le pomper lentement. Se contenter de l’échauffer à petit feu. Sans aller jusqu’au bout. Pour le porter à incandescence au bon moment. C’est-à-dire en même temps que celui d’Ali. Celui-ci, en effet, a pris place derrière elle. Elle sent son gland commencer parBR FV 40 08 Femdom08 barboter dans la moiteur de sa fente, puis se présenter à l’entrée de son orifice le plus étroit, et élargir, millimètre par millimètre, cette sublime porte, avant de s’y introduire jusqu’à la garde, la tirant contre lui de toutes ses forces, le souffle court, les deux mains plaquées contre ses hanches. La soubrette, les yeux révulsés, grimaçante, abandonnée aux va-et-vient des deux membres qui nBR FV 40 09 Femdom09’en finissent pas de la pilonner, supplie Lady Alexandra du regard. Sans succès. Ses protestations sont étouffées par le gigantesque mandrin qui coulisse entre ses lèvres. La comtesse Irina sourit. Autour d’elle, les invités contemplent la scène avec enthousiasme.

- Laisse-toi faire, ils ne vont pas te faire de mal, au contraire !

Arrivés au sommet du plaisir, les deux colosses accélèrent leurs mouvements jusqu’à la délivrance qui les fige au même instBR FV 40 10 Femdom10ant dans une ultime crispation. Quelques secondes de pause pour leur laisser le temps de se retirer. Lady Alexandra flatte la croupe chaude de Béatrice avant de désigner les deux montures suivantes d’un coup de badine sec sur leur sexe tendu.

 

 

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Mardi 6 novembre 2012 2 06 /11 /Nov /2012 06:00

BR FV 46 01Tirée par une laisse fixée à son collier de chien, les poignets attachés dans le dos par des bracelets de cuir, Béatrice emboîte le pas de George, le majordome, qui semble prendre un malin plaisir à l’exhiber à travers le dédale des couloirs du château afin que nul n’ignore la gravité de la faute qu’elle a commise et la sévérité de la punition qui l’attend. Elle a les seins nus. Son seulBR FV 46 02 vêtement est une petite culotte blanche dont la forme très échancrée par derrière laisse clairement percevoir les balafres rouges qui sillonnent ses reins. Lady Alexandra a donné des instructions pour qu’elle soit d’abord fouettée avant d’être emmenée à la cave auprès d’Harry. George s’est acquitté de la première partie de sa mission avec beaucoup de zèle et a même profité de ce tête-à-tête particulier pour abuser de Béatrice à plusieurs reprises.

Les voilà maintenant au bas des marches luisantes d’humidité de l’escalier de pierre. Une découveBR FV 46 03rte pour la soubrette qui n’a jamais mis les pieds dans les profondeurs du château. Elle n’imaginait pas que sa maîtresse finirait par mettre sa menace à exécution. C’était bien mal la connaître. Devant elle, le maître d’hôtel cogne contre une épaisse porte en chêne parsemée de gros clous à tête carrée et bardée de ferrures métalliques. Le judas pivote sur ses gonds. Un visage patibulaire s’encadre derrière le guichet grillagé. Un silence interminable s’installe. Et dans un grincement lugubre, BR FV 46 04la porte finit par s’entrouvrir.

- Tiens, je t’amène de la visite !

Le ton de voix de George, enjoué, plutôt moqueur, est accompagné d’un gros rire sonore qui rebondit contre les murs comme un grondement de tonnerre. Béatrice, effrayée, tente de tourner les talons. Il est malheureusement trop tard. Elle vient de reconnaître Harry, le docteur, l’essayeur attitré des jeunes vierges recrutées par Madame, le grand inquisiteur, le Prince des ténèbres. Comment pourrait-elle l’oublier ? Harry est l’homme qui l’a soumise à une visite médicale approfondie quelques temps après son arrivée au château. Et qui continue, beauBR FV 46 05coup trop fréquemment à son gré, à lui faire subir toutes sortes d’examens. Comme d’humiliantes et interminables séances de lavement, chaque fois que Madame s’apprête à recevoir des invités, afin qu’elle soit toujours propre et disponible. Une brassée de souvenirs horribles remonte brusquement à sa mémoire. Comme si elle était subitement confrontée à nouveau aux visions de cauchemar qui avaient agité son sommeil pendant de nombreuses nuits. BR FV 46 06 

- Ça par exemple, comme on se retrouve… quelle agréable surprise !

Harry se saisit fermement de la laisse que lui tend le majordome et tire la soubrette à l’intérieur. L’épaisse porte se referme. Quelques marches encore. La peau de Béatrice se hérisse sous l’effet du froid et de la peur. La cave occupe une immense salle voûtée soutenue par de larges colonnes. Baignée dans une pénombre menaçante, elle est éclairée ici et là par quelques torchères dont les larges clartés jaunes dansent au plafond et sur les murs. Tout au fond, un feu clair flambe dans la cheminée. Rompant un silence sépulcral, les pétillements du bois jettent de petits bruits secs.  

Alentour, sont disposées toutes soBR FV 46 07rtes d’instruments de torture et de contention. Béatrice écarquille les yeux devant les cages, les bancs, les poulies, les croix, les roues, les chevalets, les chandeliers, les anneaux scellés aux murs, les cordes rouges et blanches, les appareils à lavement, qui attendent leurs victimes, et auxquels vient s'ajouter une collection impressionnante de fouets, de cravaches, de martinets, de battoirs, de lanières de cuir de toutes les tailles, de godemichés monstrueux, de menottes, de pincesBR FV 46 08, de poids, de cagoules, de masques, de bâillons… Son regard s'attarde longuement sur une chaise à gode rectal dressée au milieu de la pièce.

Victime d’un accès subit de vertige, elle vacille sur ses jambes mais Harry feint de ne pas s’en apercevoir et la pousse sans ménagement contre la colonne la plus proche.

- Bienvenue ma belle, le bon docteur s’impatientait de te revoir !

Il la libère de sa laisse et lui ramène les poignets par-devant afin de les attacher par des crochets à l’anneau de son collier.

- Magnifique ! Les mains jointes comme en prière ! On te prendrait pour une novice tout juste arrivée dans son couvent !

Cette voix, elle avait fini par l’oublier, mais en l’écoutant à nouveau, il lui revient tout à coup à la mémoire la première apparition du colosse dans le petit salon de Madame, avec ses larges épaules, son torse luisant, son cou de taureau aux veines saillantes, ses biceps proéminents, ses cuisses d’haltérophile. Harry s’approche d’elle et la fixe avec concupiscence de ses BR FV 46 09petits yeux noirs. Le rouge aux joues, Béatrice essaie de le repousser. Peine perdue, le « bon docteur » la soulève et la suspend par l’anneau fixé à l’arrière de son collier à un crochet planté en contre-haut dans la colonne, l’obligeant à se tenir sur la pointe des pieds.

- Mademoiselle devine sans doute pourquoi elle a été conduite jusqu’ici ?  

La question est ponctuée d’un sourireBR FV 46 10 goguenard. Béatrice sent l’haleine d’Harry se répandre sur son visage. Le bon docteur presse ses seins entre ses mains épaisses. Il les palpe avec gourmandise comme un connaisseur soupesant avec attention des melons sur l’étal d’un marché. Les tétons comprimés roulent entre ses doigts. Décontenancée, Béatrice émet des gémissements en se dandinant d’un pied sur l’autre.  

- Allons donc, tu ne vas tout de même pas me faire croire que tu n’en as pas la moindre idée ?

Tandis que les doigts d’Harry continuent de malmener ses extrémités, ceux de l’autre main glissent lentement sur sa peau vers le bas, hésitent un instant à se faufiler sous l’élastique de sa petite culotte, et finissent par s’immobiliser sur les rondeurs de son mont de Vénus. Le contact, d’une tBR FV 46 11iédeur délicieuse, laisse deviner des lèvres charnues et bien formées que des pressions répétées de haut en bas à travers le fin tissu finissent par entrouvrir légèrement. Béatrice se débat dans tous les sens, enflammée par ces attouchements insupportables.

- Faut-il que je t’aide à retrouver la mémoire ?

Harry se retourne et s’empare de deuxBR FV 46 12 pinces à seins posées sur une console. Elles sont équipées d’une fine chaînette dont l’extrémité est lestée d’une boule de plomb. Quand il les referme sur les tétons de la soubrette, celle-ci se met à pousser un cri déchirant. Désormais le moindre de ses mouvements se répercutera sur ces deux poids et ne pourra que la faire souffrir davantage. A travers le tissu, les doigts d’Harry poursuivent leur chemin et se montrent maintenant plus insistants. Si Béatrice avait la force de se maîtriser, elle ferait tout pour dissimuler son trouble mais elle discerne au contraire une sorte de moiteur la gagner et lui échapper complètement. Arborant un large sourire, le bon docteur le remarque aussi, ce qui semble loin de lui déplaire.  

- Mais oui, tu es émue, c’BR FV 46 13est bien naturel…

Cette suffisance provoque plutôt son indignation et un sentiment de révolte. Elle ne lui parlera pas si elle n’en a pas envie. Et surtout pas pour lui offrir la satisfaction de lui céder. Plus qu’un souci d’orgueil une question de dignité.

Qu’à cela ne tienne, Harry n’est pas pressé. Une simple affaire de temps. Et de patienceBR FV 46 14. L’issue est jouée d’avance. Il va se contenter de laisser sa proie méditer sur son triste sort. Elle ne devrait pas tarder à coopérer. En attendant, lui tournant le dos, il se réchauffe, les paumes tendues vers le foyer. La posture de Béatrice est moins enviable. L’image en pied renvoyée par le miroir qui lui fait face n’est guère à son avantage. Les joues rubicondes, le cou entravé par son collier, le front parcouru de perles de transpiration. Sous ses mains jointes en hauteur, ses seins sont maintenant gonflés comme des ballons de baudruche. Les poids qui étirent leurs pointes lui causent à la longue une douleur insupportable. Et puis plus bas encore, telle une marque avilissante en haut des cuisses, la présence de cette auréole humide qui assombrit la blancheur de son vêtement.   BR FV 46 15 

Abandonnant presque à regret la douce chaleur de l’âtre qui l’enveloppe, Harry revient vers elle.

- Alors Mademoiselle, on a réfléchi ?

Béatrice ferme les yeux. Céder peut-être, s’il n’y a pas d’autre issue, mais pas tout de suite. Il lui faut résister le plus longtemps possible. PBR FV 46 16our ne pas offrir sur un plateau à ce lutteur de foire prétentieux l’offrande de sa défaite. La jouissance de sa capitulation. A travers ses paupières closes, elle devine le visage de son bourreau se rapprocher tout contre le sien. Harry s’est emparé de pinces lestées de poids plus lourds. Les seins de la soubrette pendent maintenant douloureusement vers le sol. Elle grimace de douleur.  

- Non, toujours pas ? BR FV 46 17Libre à toi, je te laisse encore réfléchir.

En signe de provocation, Harry rapproche son fauteuil et s’installe juste en face d’elle. Un sourire narquois flotte sur son visage. Le     spectacle qui s’offre à lui a l’air de le ravir. Ses mains se posent sur la protubérance qui gonfle maintenant son pantalon. Ce tête à tête est sans doute déséquilibré, mais, pour lui, tellement agréable. Les voilà seuls au fond d’une cave aux murs épais. Personne ne pourra les déranger ni même les entendre. Et pourquoi devrait-il éprouver de la gêne ou de la honte ? Il ne fait qu’obéir aux instructions de Lady Alexandra.

L’attente se prolonge. Béatrice demeure silencieuse. Comme coupée du monde par une douleur muette. Le docteur se relèvBR FV 46 18e.

- Attends, je vais t’aider à réfléchir.

Joignant le geste à la parole, il attrape la petite culotte de Béatrice par l’élastique de sa taille et la fait glisser sur ses chevilles, découvrant au passage un sexe adorable, délicieusement bombé, épilé avec soin,BR FV 46 19 impudique.

- Oooooooooooh non, Monsieur, s’il vous plaît !!!!!!

Sourd à ses supplications, Harry décroche du mur une grande barre en métal chromé, dotée d’encoches à chaque extrémité, dans lesquelles il insère les chevilles de la soubrette, contraignant cette dernière à écarter les jambes et les cuisses au maximum.

- Et comme cela, Mademoiselle, vous montrerez-vous plus disposée à parler ?

La grosse main calleuse se referme sur son sexe moite qui s’entrouvre comme un fruit mûr. Un doigt parcourt la fente humide et nacrée avant de s’y introduire. Un deuxième prend le même chemin tandis que le pouce se met à titiller patiemment le petit bourgeon qu’il extrait de son capuchon. Puis les doigts ressortent pour se refermer sur ce fragile pistil qui s’est mis à gonfler.

- Aaaaaaah, Madame, au secours !!!!!!

 

 

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Jeudi 6 décembre 2012 4 06 /12 /Déc /2012 06:00

01 47 R60 819 1000- Ha, ha, ha ! Voilà qui est amusant ! Comme si Madame pouvait t’entendre ! Tu crois peut-être qu’elle va se précipiter pour venir te délivrer ! Se soucie-t-elle seulement une seconde de savoir où tu es ? Je te rappelle que c’est elle qui t’a envoyée ici. Alors crie, crie autant qu’il te plaira, si cela peut te faire du bien !

Pressant le clitoris de la soubrette pour le faire saillir, Harry y suspend une pince lestée d’une boule semblable à celles qui pendent déjà au bout de ses tétons. Cette charge supplémentaire appliquée à une partie du corps aussi fragile et sensible devient soudainement insupportable.

- Aowwwww !!! Non… Pas ça ! Noooooooooooooooooon !!! Arrêtez, Monsieur, par pitié, laissez-moi, je vais tout vous dire.

Les yeux exorbités, le visage constellé de perles de sueur qui roulent sur ses joues écarlates, Béatrice désigne du regard, plus bas, sous ses seins prêts à éclater, la pince resserrée sur son clitoris à vif. Malgré ses bonnes résolutions, sa capacité de ré02 47 R60 005sistance s’est vite émoussée. Harry l’observe avec ironie s’agiter d’un pied sur l’autre, comme prise d’une sorte de frénésie de vouloir se libérer, alors que les mains jointes en prière à l’anneau de son collier de chien, elle est toujours suspendue à sa colonne de pierre.

- A la bonne heure, Mademoiselle a l’air de vouloir se montrer plus raisonnable. Le bon docteur t’écoute, mon enf03 47 R60 698 1000ant !

- Non, pas comme ça, Monsieur, par pitié, j’ai trop mal, je vous en prie, retirez d’abord cette pince, s’il vous plaît !

- Certainement pas, pas avant que tu ne m’aies tout dit ! Donnant, donnant. Je veux d’abord une confession complète ! Complète, tu m’as entendu ? Plus vite tu commenceras et plus vite tu seras libérée !

Des larmes dans les yeux et la voix brisée, comprenant que sa cause ne sera pas entendue et qu’il est donc dans son intérêt d’écourter le plus rapidement possible son calvaire, Béatrice relève la tête, prend une large respiration et se résout à parler.

- Madame m’a punie pour ma mauvaise conduite.04 47 R60 584 10040

- J’entends bien… mais de quoi t’accuse-t-elle précisément ?

- Elle me reproche de ne penser qu’à prendre mon plaisir alors que je devrais uniquement me soucier de le donner aux autres.

- Tu veux dire qu’au lieu de ne rien laisser paraître pendant que tu es fouettée ou offerte aux invités X100 1000Rde Madame, tu ne peux pas te retenir de manifester ta satisfaction ?

- Oui.

- Eh bien, Madame a tout à fait raison. Voilà une très mauvaise habitude. Nous allons te la faire passer sur-le-champ. Le bon docteur connaît quelques excellentes recettes pour ça ! Mais il faut d’abord que je vérifie quelque chose.

D’un mouvement du poignet, Harry enfonce deux doigts entre les lèvres gonflées. Ils disparaissent en entier à l’intérieur du sexe de la soubrette qui, au lieu de chercher à échapper à la pénétration, arque inconsciemment son bassin en avant pour la fa06 47 R60 6 2ciliter.

- C’est bien ce que je pensais, Madame ne s’est pas trompée, une petite chienne, elles sont bien toutes les mêmes !

Comme pour confirmer son propos, les doigts d’Harry coulissent dans l’orifice avec beaucoup d’aisance. Ils vont et viennent à un rythme de plus en plus rapide. Les phalanges dispar07 47 R60 7 3aissent, ressortent, s’enfoncent à nouveau comme happées par cette bouche insatiable. Les cris de surprise de la soubrette se muent en gémissements de plus en plus bruyants.  

- Vous me faites mal !

Mais sa protestation molle ne convainc pas le docteur, qui continue de la pistonner avec énergie. Lorsque les cuisses de la jeune fille se resserrent autour de son poignet, Harry enfouit ses doigts une dernière fois au plus profond de son sexe et les y laisse jusqu’à ce que la soubrette jouisse, le corps secoué de spasmes incoercibles. Les derniers soubresauts passés, il finit par retirer ses doigts luisants et mouillés et les porte aux narines de Béatrice qui, consciente d’avoir été trahie par son propre corps, essaie d08 47 R60 sexand(10)e détourner la tête.

- Plus jamais ça, tu m’entends ? Je vais t’apprendre à te contrôler, tu vas voir ! A partir de maintenant tu ne prendras ton plaisir que lorsque ta maîtresse t’en donnera expressément l’autorisation ! C’est bien compris ?

- Oui, Monsieur.

- Et non seulement lorsque tu seras en sa présence mais également en présence de ses invités.

- Bien, Monsi09 47 R60 165 1000eur.

- Naturellement, à partir d’aujourd’hui, je t’interdis tout geste déplacé lorsque tu seras seule et livrée à toi-même. Tu vois ce que je veux dire ?  

- Oui, Monsieur.

- Est-ce qu’il t’arrive de te caresser, Béatrice ?

Harry se retourne vers la console placée derrière lui et se saisit d’une pince qu’il agite à la hauteur de son visage, l’ouvrant et la refermant à plusieurs reprises pour lui en faire écouter le claquement métallique.

- Jamais aucune pensée impure en cours de journée ?  

- ………….

- Oh je sais, c’est difficile à avouer mais réfléchis un peu… j’ai tout mon temps.

Harry se penche vers la jeune fille et après avoir écarté ses petites lèvres moites de ses deux doigts en « V », referme l10 47 R60 H 418 1000a pince sur la lèvre de gauche.

- Aaaaaaaaaahhhhhhhh ! (Béatrice étouffe un cri tandis que de grosses larmes roulent sur ses joues).

- Rien ? Pas de mauvaises habitudes ? Par exemple le matin, lorsque tu fais ta toilette ?  

- Aaaaaahhhh ! Ou… Ou… Oui…..

- J’en étais sûr ! Et quand encore ?

- …………. 11 47 R60 026 

Le docteur s’empare d’une autre pince et la referme, cette fois, sur la lèvre de droite.

- Le soir, quand ton service est fini ? Que tu peux te détendre ? Que tu es allongée sur ton lit, que tu penses à des choses agréables et que tu t’apprêtes à t’endormir ?

- Aaaaaaaaaahhhhhhhh ! Ou… Oui…..………….

Il contemple avec cynisme la soubrette devenue rouge comme un coq, en train de trépigner de douleur.

- Rien d’autre ? (Ses doigts s’attardent sur la pince qui lui mord le clitoris).

- Aaaaaaaaaahhhhhhhh ! Arrêtez, par pitié ! !12 47 R60 360 1000 ! Ma… Madame…

- Continue, ma belle enfant, libère-toi de tes mauvaises pensées. Le docteur t’écoute ! Tu vas voir comme tu seras soulagée lorsque tu m’auras tout avoué.

- Eh bien, Madame me reproche aussi de faire la fine bouche et 13 47 R60 015 2(2)d’accorder mes faveurs à certains de ses invités plutôt qu’à d’autres…  

- Tiens donc, voilà qui est intéressant ! Et avec qui te montres-tu la plus accueillante ?

- Avec les invités qui ont de la classe, ceux qui sont bien habillés, qui ont de bonnes manières, qui s’expriment avec distinction, qui sentent bon, qui ont les mains douces et caressantes…

- Et les autres ?

- Les autres, je fais tout pour les éviter. Ce sont des gros rustauds sanguins, fagotés comme l’as de pique, avec des poils partout, la peau rêche et calleuse, l’haleine avinée, qui vous empoignent, qui vous troussent et qui vous culbutent comme une fille d’auberge en débitant des plaisanteries salaces et en gloussant d’un gros rire gras.

- En résumé, Mademoiselle n’est qu’une petite vicieuse obsédée par son unique plaisir qu’elle prend quand elle en a env14 47 R60 357 1000ie, seule ou en compagnie de personnes agréables. Elle oublie qu’elle est une simple domestique. Une bonne à tout faire. Qu’elle est ici pour obéir aux ordres. Pour servir et non pas pour s’octroyer du bon temps.

- Oh Monsieur, j’ai honte, vous savez… mais à partir de maintenant, je vous le promets, je vais tout faire pour ne pas recommencer.

- Mais bien sûr ! Comme c’est bizarre ! Béatrice la magicienne promet tout à coup monts et merveilles ! Elle croit sans doute que je peux me contenter de ses belles paroles. Que ses larmes de crocodile vont finir par m’attendrir. Ce serait bien mal me connaître ! Ha, ha, ha !

 

 

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Dimanche 6 janvier 2013 7 06 /01 /Jan /2013 06:00

BR FV 48 00Attachée à sa colonne, au plus profond des caves de Glendale, Béatrice croit entrevoir sa délivrance imminente quand Harry s’approche d’elle pour la libérer de ses liens. D’abord la barre d’écartement qui lui tient les chevilles et les cuisses douloureusement tendues. Puis la fine chaînette qui relie ses poignets à son collier de chien. Enfin, et volontairement en dernier, les pinces qui meurtrissent la pointe de ses seins et le bord de ses lèvres intimes. Le bon docteur procède avec une lenteur calculée, sachant pertinemment qu’à l’instant précis où il desserrera son étreinte, la circulation sanguine reprendra aussitôt, ravivant la douleur avec une intensité redoublée, comme si une multitude de têtes d’épingle s’apprêtaient à darder sa peau de piqûres insupportables.

- Non, non, Mademoiselle, ne vous réjouissez pas trop vite ! Ça n’est pas fini, ça ne fait au contraire que commencer !BR FV 48 01

Visiblement, Harry, le Prince des ténèbres, semble trouver très divertissant son tête-à-tête avec la soubrette et ne donne pas l’impression de vouloir abandonner la partie de sitôt. Trop content de pouvoir mettre en œuvre ses talents de grand inquisiteur. Voilà une activité qui semble loin de lui déplaire et à laquelle il se livre sans état d’âme, en se donnaBR FV 48 02nt la bonne conscience d’agir dans le strict respect des ordres de la maîtresse des lieux, Lady Alexandra.

- Mets-toi à quatre pattes. Oui, comme la petite chienne que tu es, et cambre-toi davantage, comme si tu m’offrais tes fesses.

Tandis que Béatrice obéit et patiente en silence, le bon docteur décroche du mur une sorte de long manche en bois dont l’extrémité, articulée par une rotule, est prolongée par un énorme godemiché. En moins de temps qu’il en faut pour le dire, Harry introduit ce dernier entre les reins de la soubrette, puis se saisissant de l’instrument, l’enfonce en elle jusqu’à la garde.

- Maintenant, avance jusqu’au lieu de ta punition !

Béatrice n’a guère le choix de résister. Au bout du BR FV 48 03manche coudé, l’engin pénètre en elle comme s’il allait la traverser. Le mieux qu’elle puisse faire est de s’exécuter au plus vite pour tenter d’atténuer cette poussée insoutenable. Mais sa progression est douloureuse. La position à quatre pattes s’avère pénible. D’autant plus qu’en dépit du rythme élevé qu’elle s’impose, la pression entre ses reins ne se relâche pas. Elle a mêmeBR FV 48 04 tendance à s’accentuer au fur et à mesure que, la fatigue pesant, son déplacement se fait plus lent. Et puis au contact des dalles de pierre rêches et froides qui les écorchent, ses genoux se raidissent et s’enflamment.

- Dépêche-toi !

La soubrette se demande quand son calvaire prendra fin. Elle traverse une salle puis une autre. Puis une autre encore. Au moindre arrêt, à la moindre pause pour reprendre son souffle, la tige qui l’empale se fait plus insistante et la pousse en avant pour la contraindre à repartir. Encore une vingtaine de mètres, interminables, et la voilà qui arrive au but, près d’une cheminée gigantesque devant laquelle se dresse un fauteuil imposant à haut dossier. On dirait un trône sorti tout droit d’un contBR FV 48 05e des mille et une nuits, sorte de fantasmagorie allégorique ouvragée de nymphes dénudées aux larges hanches, aux cuisses pleines et aux seins turgescents. Au bout de chaque accoudoir, sculpté en forme de bourses, un phallus en palissandre est érigé vers le plafond comme un trophée.

Harry s’y installe avec componction et écarte largement les jambes, découvrant un slip rouge en vinyle très échancrBR FV 48 06é dont la braguette zippée en strass est équipée d’un anneau métallique. Béatrice est à genoux devant lui.

- Voyons un peu si tu as progressé !

La soubrette n’a pas besoin d’explication. Elle se souvient parfaitement des mensurations exceptionnelles de l’essayeur et de la première " visite " que ce dernier lui a fait subir, peu de temps après son arrivée au château. Avec une adresse consommée, ses petites dents nacrées se resserrent sur l’anneau du slip et le font glisser vers le bas, libérant un pénis énorme, long et épais. Tant qu’il s’agit de débuter par les préliminaires, de retrousser délicatement la peau qui recouvre le gland, de lécher la prune luisante et de la titiller avec la pointe de sa langue, elle connaît sa leçon les yeux fermés mais Harry manifeste rapidement son impatience et l’interrompt.

- Abrège tes minauderies, tu vas finir par m’exaspérer !

Elle comprend qu’il faut accélérer la caBR FV 48 07dence et enfourner franchement le braquemart pointé vers elle. Mais introduire au plus profond de sa gorge cet énorme barreau de chair, aux veines saillantes, déclenche chez elle un réflexe de haut le cœur, une sensation de nausée.

- C’est bien ce que je craignais, Mademoiselle fait la fine bouche, la délicate ! Elle ménage sa peine ! Je vais lui apprendre, moi, à jouer la difficile !

En un éclair, BR FV 48 08Harry détache du mur l’accessoire qui va lui permettre de remédier à la situation. Un bâillon en forme d’anneau qu’il insère entre les dents de la soubrette en forçant celle-ci à écarter les mâchoires au maximum et à ouvrir la bouche démesurément. Il est relié à un harnais formé de lanières de cuir qui lui enserrent étroitement le visage de part et d’autre des ailes du nez, sous le menton et derrière la nuque, la contraignant à maintenir la tête relevée dans une position douloureuse comme si elle allait subir les soins d’un chirurgien dentiste. Les muscles de son visage sont étirés à l’extrême et ses joues tendues.

Visiblement ravi, Harry s’empresse de plonger son sexe à l’intérieur de l’orifice et de le faire aller et venir au pluBR FV 48 09s profond, jusqu’à écraser le nez de Béatrice contre son bas-ventre en l’empêchant de respirer.

- Qu’est-ce que je disais ! Ça glisse comme dans du beurre ! On pourrait même en faire entrer deux comme la mienne !

La soubrette essaie de se dégager en grimaçant.

- Parfaitement, tu m’as très bien entendu, un garage à bites, voilà ce que ta bouche va devenir !

Enchanté de ceBR FV 48 10tte fine plaisanterie et emporté par le plaisir, le bon docteur ne tarde pas à décharger par saccades de chaudes giclées au fond de la gorge de Béatrice.

- Ce n’est qu’une mise en appétit ! Qu’est-ce que ce sera quand tu auras affaire à un gros lourdaud en rut, poilu comme un singe, l’haleine chargée de relents de bière et de saucisson à l’ail, et qui fera jaillir de ses vêtements douteux une queue bien grasse et bien baveuse, imprégnée d’odeurs d’urine et de sperme !

- Nooonnn… Urggghh… Gluuub… Humpfff…

- Et je ne te parle pas de Max ! Comment ? Tu n’oserais tout de même pas me faire croire que tu n’as jamais rencontré Max, surnommé « Grosse Pine », le comble du bon goût, le summum de la distinction, le raffinement fait homme ! Tiens, je l’entends déjà te héler au passage : « Viens là, ma poulette, tonBR FV 48 11ton Max va te faire goûter à son boudin créole ! »

- Aaaaaaa… Aaaaaaarrrrr… Aaaaaarrrrrrghhhhh…

- Tu vas me garder cet appareil entre les dents jusqu’à demain matin, cela te fera le plus grand bien ! Je passerai de temps en temps pour vérifier la jauge et pour remettre à niveau le réservoir !!!!!!!!!!!!!

- Humpfff…

- En attendant, suis-moi, je t’ai préparé un petit nid douillet pBR FV 48 12our passer la nuit.

En fait de nid douillet, Harry conduit Béatrice devant un pilori, monumental et terrifiant comme un gibet du moyen-âge dressé sur ses poteaux de bois massif.

Après avoir forcé la soubrette à se courber derrière l’appareil, les jambes écartées, il lui introduit les chevilles dans les découpes circulaires d’une barre en bois posée au sol et fait ensuite descendre sur ses glissières la lourde demi-planche de bois destinée à emprisonner le cou et les poignets des suppliciées. Il en règle la hauteur avec le plus grand soin. Ni trop élevée ni trop basse, pour qu’elle ait, par-devant, la bouche juste au niveauBR FV 48 13 des pénis qui se présenteront, et qu’elle soit obligée, par-derrière, de cambrer les reins dans une position humiliante.

Au contact de ce carcan rugueux qui vient se refermer sur sa nuque, Béatrice est prise de désespoir.

- Voilà qui est mieux ! Grâce à ce traitement, tu auras tout le loisir de méditer les recommandations de Madame. Nous l’appliquerons aussi longtemps qu’il sera nécessaire. Ah oui, j’allais oublier, il faut que tu sois aussi accueillante par-derrière que par-devant !

BR FV 48 14Contournant le pilori, Harry écarte les fesses de la soubrette sans ménagement, dégage son petit œillet plissé et y introduit une puis deux phalanges.

- Aaaaaaa… Aaaaaaarrrrr…

- C’est bien ce que je craignais, Lady Alexandra avait raison, encore beaucoup trop étroit ! Ma pauvre fille, ce n’est pas un anus que tu as, c’est un taille-crayon ! Tu ne veux tout de même pas la décevoir, n’est-ce pas ? Ni indisposer ses invités ? Heureusement que le docteur est là pour penser à tout !

Harry se penche au-dessus d’une malle remplie d’un bric-à-brac indescriptible d’accessoires en tous genres et en extirpe un plug qu’il insère en un tournemain au creux des reins de Béatrice. Le diamètre de l’engin, déjà de bonne taille, présente la particularité d’être réglable à volonté au moyen d’une mollette qu’il suffit de remonter comme le ressort d’un réveil.

- Après toute une nuit avec ça, je peux te garantir que tu te sentiras beaucoup mieux !

- Aaaaaaa… Arrgghh…

 

 

Par Béatrice - Publié dans : Soumission - Communauté : Soumission et appartenance
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Présentation

  • : Béatrice ou l'éducation d'une jeune soubrette
  • : Quelques épisodes marquants de la vie de Béatrice, jeune soubrette débutante, au service de Lady Alexandra, son implacable maîtresse.
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  • : 05/02/2009

Résumé et sommaire des épisodes

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