Béatrice ou l'éducation d'une jeune soubrette

09 01Loin du collège austère où il poursuit ses études et où les apparitions féminines sont quasi inexistantes, le jeune William est en vacances pour quelques semaines chez sa tante, à Glendale, et tombe rapidement sous le charme de Béatrice. Celle-ci, de son côté, ne fait rien pour le décourager. Tirant parti de la présence de son neveu, Lady Alexandra décide d’initier sa soubrette à des travaux pratiques d’un genre particulier.

- Béatrice, il est grand temps que je complète ton éducation. Faire le ménage ou servir le thé, c’est bien mais il n’y a pas que ça qui compte. Il faut que tu apprennes aussi à te plier aux moindres désirs de mes invités. Alors nous allons reprendre ensemble les bases de ce que tu dois impérativement connaître. Et pour commencer, je vais t’apprendre à masturber un homme. Tu verras, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas et tu en auras toujours besoin par la suite.

- [Enthousiaste] Oh oui, Madame, c’est une excellente idée, je n’osais pas vous le demander. 09 02 

- [Lady Alexandra, s’adressant à son neveu] Au lieu de rester planté là comme un piquet, viens par ici, petit puceau, pour une fois que tu peux te rendre utile !

- [William] Mais, ma tante…

- Tais-toi et contente-toi d’obéir. Tu vas rester debout devant nous bien gentiment. Toi, Béatrice, mets-toi face à lui. Tu commenceras dans cette position, mais rien ne t’empêche, une autre fois, de t’asseoir o09 03u de t’agenouiller devant ton partenaire.

- [William] Mais, ma tante, arrêtez, mais qu’est-ce que vous faites ?

- Tu ne vas pas tarder à le savoir, tiens-toi droit et souris, le petit oiseau va bientôt sortir ! Béatrice, n’oublie jamais un point capital : un homme bien élevé se sentira toujours intimidé d’ouvrir son pantalon devant une dame. Par conséquent, c’est à toi de prendre l’initiative. Approche-toi de lui, applique la paume de ta main délicatement sur sa poitrine et descends sans te presser, par touches très légères, jusqu’à sa braguette.

- Comme ça, Madame ?

- Non, tu vas beaucoup trop vite, plus lentement ! Tu as tout ton temps, rien ne t’interdit de faire quelques écarts en cours de route, d’emprunter des chemins de traverse selon ton inspiration du moment, il faut que tu crées l’ambiance et09 04 que tu laisses le contact s’installer. Ton partenaire doit se sentir en confiance et comprendre que tu lui veux du bien. Le point essentiel à retenir dans cette première approche est qu’à partir du moment où ta main est posée sur lui, elle ne doit plus quitter son poste jusqu’à la fin.

- Bien, Madame.

- Regarde-moi faire. Lorsque j’ai atteint l’entre-jambe, j’accentue un peu la pression de manière à identifier l09 05es courbes du terrain et à repérer la queue qui « dort » encore. Une fois que je l’ai sentie, je passe la main sur toute sa longueur, une fois, deux fois, trois fois, pour la sortir de sa torpeur, puis je la quitte pour m’attarder à l’intérieur des cuisses, avant d’y revenir à plusieurs reprises. Tiens, touche, tu la sens, elle commence à se raidir ?

- Oh oui, Madame, on dirait un cornet.

- Un cornet ?

- Oui, vous savez bien, un cornet à deux boules !

- Cesse de plaisanter, Béatrice, tout ceci est très sérieux. Maintenant à toi de jouer, je te laisse continuer. Sans te précipiter, tu vas baisser sa fermeture éclair et introduir09 06e ta main à l’intérieur de son pantalon pour le masser de plus près. Fais-le d’abord à travers le tissu de son slip, en veillant à ne rien exposer au regard, comme si ton geste était totalement naturel, il aura l’impression de rester habillé [sourire] et puis, si tu sens qu’il est bien disposé, prends directement les choses en main.

09 070- Mais, Madame, il ne se passe rien !

- Ne t’en fais pas, au début, c’est tout à fait normal. Continue posément, tranquillement, sans manifester le moindre signe d’impatience. Presque comme si tu t’y attendais. Il est peut-être lui-même surpris ou inquiet. C’est à toi de trouver les gestes qui sauront le rassurer.

- Mais comment, Madame ?

- Surtout pas en t’acharnant comme ça, on dirait que tu es en train de l’astiquer comme une rampe d’escalier ! Ce n’est pas le moment de faire les cuivres ! Procède au contraire tout en douceur. Echauffe-le lentement. Tu ne dois pas seulement lui faire plaisir, tu dois surtout lui montrer que, toi aussi, tu ressens du plaisir ! Alors,09 08 essaie de rester la plus souriante possible. Prends par exemple un petit air mutin en même temps que tu baisses son pantalon et que tu en fais autant avec son slip.

- Pftttttt !

- Oui, je sais, quand on ne s’y attend pas, 09 09ça fait tout drôle de voir un monsieur avec son caleçon enroulé autour de ses chevilles ! Mais dans de telles circonstances, tu dois apprendre à garder ton sérieux car ta réaction pourrait être mal interprétée et aboutir à bloquer ses élans. Dans l’idéal, il faudrait que tu réagisses comme une petite oie blanche qui découvre un sexe en érection pour la première fois. Avec les talents de comédienne que je te connais, tu ne devrais avoir aucun mal !

- Oh, Madame !

- Ne fais pas l’innocente, tu vois très bien ce que je veux dire ! Alors si c’est vraiment nécessaire, n’hésite pas à lui servir des compliments longs comme le bras. Avoue-lui que tu n’en reviens pas, que c’est la plus grosse que tu aies jamais vue, que tu as du mal à y croire, que c’est Noël avant Noël… !!!

- J’ai compris, il faut que je mette le paquet !

- N’en fais pas trop tout de même, c’est une question de mesure ! Mais si tu trouves09 10 la formule qui convient, tu n’auras pas à attendre longtemps pour en constater les résultats. Ton extase va le flatter. Il va se sentir plus à l’aise et conforté dans sa virilité. Alors, puisque tu es sur le bon chemin, continue, ne baisse jamais les paupières, garde toujours un petit sourire au coin des lèvres et, de temps en temps, fixe-le dans le blanc des yeux. Il doit lire dans ton regard que tu adores ce que tu lui fais et que sa jouissance va être comme un cadeau qui t’est destiné.

- [La soubrette, rougissante] Je la sens grossir, elle devient dure !

- Qu’est-ce que je te disais, tu y es presque ! Ne me regarde pas comme ça, c’est à lui que tu dois t’adresser !09 11

- C’est magnifique !

- Sans doute, Béatrice, sans doute, mais ne te réjouis pas trop vite, reste concentrée, le moindre coup de vent risque d’éteindre la bougie. Quoi qu’il advienne, il faut que tu puisses garder une totale maîtrise de la situation. Maintenant que son excitation est visible, tu peux te permettre de le laisser un peu sur sa faim. Regarde, ma main s’aventure sur son ventre, bien à plat, en évitant soigneusement de descendre trop bas. Si ton partenaire n’est pas épilé, tu peux te contenter de rester en bordure de sa toison et de prendre le temps 09 12d’en démêler les boucles avec les doigts. Je m’insinue ensuite à l’intérieur de ses cuisses afin d’évaluer le degré de moiteur de sa peau.

- Pour ressentir la même chaleur que si l’on me caressait à cet endroit, juste à la lisière de mes bas ?

- C’est exactement ça, tu as très bien compris ! Je continue à musarder et je pousse vers l’intérieur, jusqu’à ses petites fesses potelées, que je caresse longuement. Je reviens ensuite vers l’avant, j’empaume délicatement ses bourses, je les soupèse dans le creux de mes mains et je les agace par-dessous avec mes ongles. Tu vois, il se met au garde-à-vous comme un petit soldat !

- Et après ?

- Après, nous arrivons à une étape cruciale qui e09 13xige d’infinies précautions. Chez l’homme, c’est l’extrémité du pénis qui est la partie la plus sensible. Pour libérer le gland, je tire le plus doucement possible la peau vers l’arrière, en plusieurs fois, jusqu’à ce qu’il soit complètement exposé. Il faut que le prépuce soit bien replié derrière l'ourlet du gland pour que celui-ci reste toujours dégagé. Tu peux alors le cajoler, mais il faut le faire tout avec une douceur infinie, en l’effleurant avec l’intérieur de la paume, ou bien en passant tes doigts dessus et en le titillant avec tes ongles. Après, ce n’est qu’une question de temps. La plupart de tes partenaires seront incapables de résister à tes caresses.

- [William] Ah…….., ma tante, je vous en supplie !

- Tiens, tu vois, je te l’avais dit ! Reste donc tranquille, je te sens tout tendu [Sourire]. Béatrice, si ton partenaire bande aussi bien que ce jeune homme, amuse-toi à lui faire faire « le beau » ! Invite-le à redresser sa queue le plus possible à la verticale en lui faisant un petit signe avec ton doigt, comme une dompteuse qui apprend à un s09 14exe à se lever en présence d’une dame. Manifeste ta satisfaction. Emerveille-toi de ses prouesses. Incite-le à recommencer. S’il s’est montré docile, à défaut de lui donner un sucre, tu pourras par exemple déposer un petit baiser au sommet de son gland pour le remercier.

- Et après, Madame, c’est fini ? On replie les gaules ?

- Mais non, petite bécasse, tu vas toujours trop vite ! Pour qu’une masturbation soit réussie, il faut qu’elle aille jusqu’au bout et nous en sommes tout juste à la moitié ! Pendant que ta main s’active sur sa verge, n’oublie pas de glisser l’autre sur sa poitrine, pour lui pincer les tétons, par exemple, puis redescends et agace ses testicules, caresse-les. Bien entendu, il faut, de temps en temps, attraper son sexe entre tes deux mains. Roule-le comme09 15 lorsque tu fais de la pâtisserie, ou bien frotte-le comme si tu allais provoquer l’étincelle pour allumer le feu ! Encourage-le. Tu dois le convaincre de t’en donner encore plus et que tu ne seras satisfaite que lorsqu’il aura éclaté entre tes doigts. Comme si tu n’y étais pour rien et que tout venait de lui, c’est le moment de le prier de t’accorder le spectacle de son plaisir.

- Mais, Madame, il ne se passe rien !

- Eh bien, reste calme. Si tu veux éviter l’échec, tu dois te garder à tout prix de montrer des signes d’énervement. En te sentant crispée, il le deviendra aussi. Alors résigne-toi à jouer du poignet et à redoubler d’attention et de sourires.

- J’ai envie de le laisser contempler mes cuisses et ma petite culotte, je peux, Madame ?

- Bien sûr, petite garce, c’est une excellente idée, mais il faut aussi forcer la cadence. Pour le faire bien jouir, enserre fermement son membre juste au-dessous du gland, comme si tu saisissais un trophée, et accélère sans interruption ton mouvement de va-et-vient. Ne ch09 16erche pas à peaufiner, à ce stade, ce n’est plus nécessaire, contente-toi d’un geste purement mécanique et admire plutôt les signes de l’heureux dénouement : l’accélération de sa respiration, la montée et la descente de ses testicules, la couleur violacée de son gland, l’ultime gonflement de son sexe. C’est beau un homme qui s’apprête à jouir entre les mains d’une femme !

- Oh oui, Madame, voilà, il vient !

- C’est le premier jet, continue, n’arrête surtout pas, ce n’est pas fini, accompagne-le jusqu’au bout et profite du spectacle ! L’intensité et la durée de son plaisir seront la récompense de ton savoir-faire.

- Madame, mon chemisier est tout taché !

- Peu importe, c’est le résultat qui compte. Tu te débrouilles très bien pour une première fois ! Voilà, maintenant tu peux ralentir et cesser progressivement. Ne retire pas ta main tout de suite. Laisse-la encore un peu sur son sexe jusqu’à ce que tu le sentes se dégonfler. Il ne faut pas rompre le charme immédiatement. Profites-en pour le féliciter. Ne lui demande pas si c’était bon, c’est une évidence, mais dis-lui que c’était très beau et remercie-le. Il sera à la fois émerveillé et reconnaissant.

 

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Mar 6 oct 2009 Aucun commentaire